Marine Le Pen a un projet révolutionnaire : lutter contre les robots et le progrès technologique

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 avril 2018

Certains disent que mettre des lunettes donne l’air intelligent.

Curieusement, quand Marine Le Pen en porte, elle l’air encore plus idiote et perdue qu’auparavant.

La poissonnière alcoolo-tabagique a fait montre d’audace hier en annonçant que l’un des axes principaux de l’ex-FN serait désormais de lutter contre les robots, l’intelligence artificielle et, je suppose, le progrès technologique au sens large.

Quand vous donnez à une femme des responsabilités politiques, vous donnez délibérément à quelqu’un qui ne sait pas planter un clou son mot à dire sur des choses aussi sérieuses que les biotechnologies, la génétique, la robotique.

Marine Le Pen, comme toutes les femmes, n’a qu’un but dans la vie : attirer l’attention. Quoi de mieux pour attirer l’attention que d’aller à contre courant, sur tous les sujets, pour se faire remarquer ?

Pendant que les Chinois font de l’eugénisme, développent des programmes spatiaux révolutionnaires et que les Sud-Coréens étudient des robots tueurs, nous avons des ménagères jouant les cuistres pour amuser la galerie judéo-parisienne.

« Oh mais des robots tueurs, ça fait peur ! ».

Marine Le Pen, c’est la tenancière de PMU qui sert de porte-drapeau à toute cette pauvre droite réactionnaire enjuivée qui fait dans le contrarien par principe. Cette droite qui baigne dans la lose et la dépression et qui cherche à nous convaincre que ces petits pédés prétentieux ont quelque chose à dire sur quoi que ce soit.

Bien sûr, la grosse Le Pen, comme la gauche obscurantiste tendance Hamon, a peur du futur parce qu’il suppose de prendre des risques et que dans l’univers de ces gagne-petits assis sur leurs rentes de situation, le risque est un drame psychologique en soi.

Il faut plutôt faire du maternage. Du maternage de nègre plutôt que de s’inscrire dans les défis du 21ème siècle. C’est plus simple, moins fatiguant et, au fond, plus conforme aux penchants indolents du Français cégétisé.

Ces ratés de l’ex-FN, ce ramassis de fonctionnaires gauchistes et de planqués aux origines louches parfaitement conformes à la petite bourgeoisie française rentière et péteuse, veulent nous que nous validions leur projet de branlomanie intégrale et que nous les remercions de leur hauteur de vue.

Un projet consistant à devenir un pays du tiers-monde, arriéré, fièrement dressé sur les principes inhérents de la culture de l’échec égalitariste.

Ce fléau réactionnaire, petit-bourgeois, snobinard et puant l’intellectualisme youtre à 3 kilomètres, nous le devons à la clique de l’Incorrect.

Faire des robots, c’est chiant et complexe. Il faut travailler. Noircir du papier à leur sujet, c’est plus simple. Surtout quand on sort d’une fac de sciences molles.

C’est au sein de cette que baigne la 3ème Jeanne d’Arc, la Sainte déjà divorcée Marion Maréchal Le Pen. Et c’est la raison pour laquelle, cette élève médiocre de bientôt trente balais a régurgité les conneries de l’Incorrect sur le « transhumanisme », à Washington.

La France, seule contre la technologie. On se retrouve avec du Heidegger éco +. Notez qu’au vu de la négrification fulgurante en cours, cette bataille contre le progrès est en passe d’être gagnée.

La France pourrait bel et bien être préservée de l’Intelligence Artificielle et renouer avec le néolithique.

Et à l’Incorrect, on est très très incorrect. On pose les vraies questions, celles que personne n’ose poser.

Les médias juifs parleront-ils des petits malheurs des juifs ?

Telle est la question.

Nous n’avons pas besoin de tout ce fatras politique, qu’il soit marxiste ou « d’extrême-droite ». Nous avons besoin d’un système autoritaire où seul le mérite ouvre l’accès aux responsabilités.

Plus nous continuerons à pourrir dans le jus démocratique, plus la situation s’aggravera.