Maquée à une tanche de gauche, la pute à nègre Géraldine se rattrape en se faisant bourriquer par Fodé, son migrant adopté

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
01 mars 2018

 

Bien sûr, nous avons déjà expliqué ici, à Démocratie Participative, les raisons qui poussent ces bourgeoises blanches à accueillir du migrant mineur de 38 ans : se faire bourriquer par des nègres.

Mais certains se disent que nous exagérons, que ce n’est pas vraiment vrai.

Sauf que.

Si.

Télérama :

C’est en France que Fodé apprend la mort de sa mère. « Sur Facebook, deux semaines après son décès. » Tout s’écroule. Lorsqu’il rencontre Fabien et Géraldine, il n’a plus aucune idée de son avenir. S’il écrit son histoire, avec application, c’est surtout pour conjurer son angoisse. Pendant des semaines, Fabien et lui se voient régulièrement, travaillent sur son texte. Peu à peu, le couple découvre l’histoire de Fodé, apprend comment il vit. Miraculeusement scolarisé dans un lycée public, grâce à l’intervention d’une dame qui travaille au Rectorat et s’est pris d’amitié pour lui, il partage une petite chambre d’un hôtel social, ne mange que le soir aux repas fournis par l’association, part au lycée avec les mêmes vêtements tous les jours.

En décembre 2016, Fabien et Géraldine lui proposent de l’héberger, et de devenir juridiquement ses « tiers de référence », puisqu’il est alors mineur. Depuis des années, le couple tente d’avoir un enfant, sans succès. « C’est par le biais de la solidarité que nous, couple dit “infertile”, sommes devenus parents », dit Géraldine. Engagés de longue date dans un parcours d’adoption, ils ont « beaucoup réfléchi à la parentalité ». « Et brusquement, nous nous sommes retrouvés dans le vif du sujet, avec un ado : les heures de sorties, le temps consacré aux révisions, l’orientation scolaire… » Installé chez les Vehlmann-Gourbe, Fodé rencontre petit à petit leur famille, leurs amis. Sur les photos de l’ordinateur, on le voit sur la plage lors de vacances en Bretagne, au musée de Saint Nazaire, baskets aux pieds pour un footing avec Géraldine… La première fois qu’ils l’emmènent chez la grand-mère de Géraldine, fermière de la campagne normande, la vieille dame observe qu’il est le premier Noir qu’elle voit depuis les soldats américains à la Libération, avant de l’appeler illico son « petit-fils ». Inscrit au club de foot local, Fodé s’entraîne trois fois par semaine, et le couple, « intellos pur jus », se retrouve à hurler dans les gradins pendant ses matches.

Ouai. Fabien n’arrive pas à foutre sa femme enceinte.

Elle opte donc pour du bamboula sidaïque.

 

Cette face de soumise.

Ce que l’article ne raconte pas, c’est que Fodé bourrique Géraldine 3 fois par semaine pendant que Fabien dort sur le canapé.

Nous vivons littéralement dans un pays où des putes à cafres de la bourgeoisie de gauche importent illégalement du nègre guinéen pour se faire sauter.

Bon, après, il y a des impondérables.