Mantes-la-Jolie : un gorille du Congo en rut explose à coup de tête deux passantes de 18 et 22 ans pour les violer

Leutnant
Démocratie Participative
10 janvier 2020

La colonisation fait souffrir les Congolais.

Actu 17 :

« Prédateur ». C’est le mot employé pour qualifier le suspect arrêté en début d’après-midi à Mantes-la-Jolie (Yvelines) après plusieurs tentatives d’agressions sexuelles dans les rues de la commune. Deux femmes ont été, tour à tour, assaillies par un pervers, en plein centre-ville ce jeudi 9 janvier 2020. L’auteur présumé présente un profil plus qu’inquiétant. Selon l’identité qu’il a donnée aux forces de police, ce ressortissant congolais, âgé de 32 ans et demeurant la commune, a déjà été condamné pour viol par le passé.

Vers 12 h 30, la première victime, âgée de 18 ans, est abordée par un inconnu au physique imposant devant une boutique de la rue Nationale. « Je vais te baiser, je vais te baiser », lance-t-il à la jeune femme qui, naturellement, prend peur et tente de s’enfuir. Le pervers la retient et lui assène plusieurs gifles au visage pour tenter d’arriver à ses fins. Avec beaucoup de sang-froid, elle parvient à se défaire de son emprise et court trouver refuge au commissariat. « Elle s’est présentée à l’accueil, apeurée », nous précise un fonctionnaire.

Une patrouille se lance à sa traque. Pendant ce temps, une femme de 22 ans compose le 17 pour dénoncer une agression similaire subie quelques minutes plus tôt à proximité de la gare. Même description physique, mêmes mots prononcés, même mode opératoire. Le pervers là aussi s’est montré violent. Il lui a donné un coup de tête au visage.

Les policiers comprennent qu’ils ont affaire au même homme. Vers 14 heures, ils repèrent un individu, l’air « agité », qui semble-t-il « rôde » aux abords du cinéma. Il correspond au signalement fourni par les victimes.

Le suspect devient incontrôlable à la vue des fonctionnaires venus l’interpeller. Il donne un premier coup de pied à l’un d’eux, au niveau de la main, et le blesse. « Il y a une suspicion de fracture », précise une source proche du dossier. Un deuxième écope, lui, d’un coup de tête à la mâchoire. Le troisième parvient à le maîtriser tant bien que mal. « Il était alcoolisé. Les expertises le diront, mais il semble souffrir aussi de troubles psychologiques », poursuit cette source. Les trois policiers, légèrement blessés, ont été admis à l’hôpital.

Il a été placé en garde à vue pour « tentative d’agression sexuelle » et « violences sur personne dépositaire de l’autorité publique ». Les enquêteurs, par comparaison ADN et recoupements de fichiers, vont d’abord vérifier la véracité de son identité.

Les deux jeunes femmes agressées n’ont pas subi de blessures physiques importantes. L’une d’elle, choquée, a cependant fait un malaise.

Ouga bouga.