Mandaté par le Diable, la bête juive Bernard Henri-Lévy s’installe dans la capitale autrichienne pour déclarer la guerre au gouvernement du pays

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
24 février 2018

Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, pour mesurer l’ampleur du problème juif, il faut prendre le temps d’analyser toutes les opérations du réseau planétaire que met en oeuvre la juiverie.

Si vous le faites, vous découvrez que chaque jour, partout sur terre, les juifs attaquent sans cesse des nations entières.

Cette fois-ci, c’est l’Autriche qui a été ciblée.

Bernard Henri-Lévy :

Bernard-Henri Lévy a participé aux cinq jours de conférences de l’European Jewish Congress organisés à Vienne et intitulés cette année « Une fin à l’antisémitisme« , du 18 au 22 février 2018.

L’écrivain et philosophe a délivré une allocution d’ouverture ce dimanche dernier devant une salle comble à l’Université de la capitale autrichienne, devant un parterre d’officiels, de représentants de la communauté juive, de l’UNESCO ou encore de Yad Vashem.

Dans son discours, il a estimé que l’antisémitisme « ne sera pas éradiqué« , mais, a-t-il ajouté, « il peut être combattu ».

« Nous, les Juifs, les amis des Juifs et les amis de la liberté en général – nous pouvons être plus forts que l’antisémitisme. C’est le vrai but: être assez fort pour être plus fort que l’antisémitisme ».

Selon le Dr Moshe Kantor, président de l’organisation organisatrice de l’évènement, l’antisémitisme est aujourd’hui caractérisé par plusieurs phénomènes dangereux : « racines islamistes, anti-israéliennes, partis antisémites entrant dans les parlements locaux et l’entrée effective de ces partis dans les gouvernements »– précisément ce qu’il se passe en Autriche.

L’objectif de cette conférence, a expliqué le Dr Kantor, est de trouver des solutions pratiques pour gérer « l’antisémitisme grandissant » .

Lors de la session de clôture de ces 5 journées de réflexions et alors que le ministre de l’Education Heinz Fassmann était invité à s’exprimer, des étudiants ont perturbé le discours de ce dernier contestant la participation de membres du FPÖ à son gouvernement.

Sebastian Kurz a été élu chancelier autrichien en octobre dernier. Il dirige le Parti populaire autrichien, un mouvement de centre-droit. En décembre, son parti de Kurz a formé un gouvernement de coalition avec le parti d’extrême droite du FPÖ, créé par les nazis dans les années 1950.

Voilà comment opèrent ces juifs.

Le peuple autrichien vote pour un parti vaguement patriotique, les juifs de la planète décrètent que cette élection est une déclaration de guerre car l’Autriche, disent-ils, leur appartient.

Aussitôt, ils organisent un véritable camp nomade au beau milieu de la capitale du pays ciblé où, pendant près d’une semaine, ils couvrent d’injures le pays et son peuple, menacent, exigent.

Un représentant du gouvernement nouvellement élu vient ramper devant ce ramassis hébraïque infect. Naturellement, cet acte de soumission aiguise encore davantage l’appétit de la juiverie qui redouble dans ces attaques et organise même une prise à partie du ministre par des agitateurs stipendiés.

L’humiliation remplit d’aise cette pourriture sémitique qui vient de rappeler au laquais quel est son rang.

La youpinerie ne s’arrête que lorsque le peuple a décidé de s’ébrouer de la vermine une fois pour toute.

Telle est l’histoire de l’antisémitisme : la lutte pour la liberté contre l’oppression juive.