Macron veut « arrimer » la poubelle africaine à l’Europe

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
29 août 2017

 

Nous allons maintenant « arrimer ensemble » l’Afrique et l’Europe parce que, selon Macron, « l’avenir du monde » se joue à Ouagadougou. Ou quelque chose comme ça.

Derrière ce langage obscur et ampoulé, le projet est assez simple à comprendre.

Je tiens Macron pour un demi-fou qui ne doit pas même comprendre la moitié des phrases qu’il prononce.

En fait, même moi je ne comprends pas la moitié des phrases qu’il prononce. On peut cependant deviner, dans les grandes lignes, qu’il s’agit d’accélérer la négrification de l’Europe dont la France sera l’avant-garde.

D’ailleurs, c’est ce qu’il a déjà annoncé.

Le Figaro :

Cette procédure, qui permettra de « donner cet asile en commençant la procédure dès le territoire africain », sera menée « dans des zones identifiées pleinement sûres au Niger et au Tchad, sous supervision du HCR » (Haut commissariat aux réfugiés de l’ONU), a-t-il précisé […] L’identification se fera « sur des listes du HCR, fermées », et concernera « des migrants d’ores et déjà identifiés par le HCR et résidant dans ces pays de passage », a-t-il ajouté, en estimant que cela permettra d’éviter « à des femmes et des hommes de prendre des risques inconsidérés dans une zone extrêmement dangereuse puis en Méditerranée ».

Des pompes à nègres directement installées par le gouvernement français au Niger. Au Niger.

 

Dans le meilleur cas, les nègres de ce seul pays africain seront 200 millions en 2100. Et dans le pire, 1 milliard. UN MILLIARD.

Wikipédia :

Le taux de fécondité au Niger est le plus élevé au monde avec 7,6 enfants par femme en 2012, en augmentation par rapport à 2006 quand la fécondité était de 7 enfants par femme5. D’après une étude des Nations unies, la population du Niger devrait atteindre 79 millions d’habitants en 2050 puis 209 millions en 21006. Toutefois, comme l’explique le quotidien The Guardian7, cette projection implique que le taux de fécondité au Niger va progressivement diminuer vers 2,5 enfants par femme d’ici la fin du siècle. Dans le cas contraire, si le taux de fécondité devait se maintenir au niveau actuel (on assiste même à une augmentation de la fécondité depuis plusieurs années5), alors la population du Niger pourrait s’approcher du milliard d’habitants en 2100.

En d’autres termes, le sort de l’humanité est menacée par la lèpre nègre qui progresse à une vitesse stupéfiante et dont les cohortes actuelles en Europe ne sont qu’une goutte d’eau en comparaison du torrent qui va s’abattre.

L’urgence consiste à réduire radicalement la population de ce foyer de pestilence.