Macron dispense les boomers de sa réforme des retraites et veut leur offrir la défiscalisation des revenus de la location des leurs biens immobiliers

La rédaction
Démocratie Participative
05 décembre 2022

 

Nous sommes dans une judéocratie, une gérontocratie et une vaginocratie. Dans cet ordre.

Nous faisons constamment le tour de ces trois pôles qui structurent la société et ses priorités.

Macron est d’abord et avant tout élu par les boomers dont le seul et unique but dans la vie est le versement mensuel de leur pension. Tout le reste, sans exception, est secondaire.

Les deux dernières mesures annoncées par le gouvernement illustrent parfaitement cette réalité.

Tout d’abord – si cette mesure passe – les boomers qui ont accumulé un patrimoine immobilier énorme pourraient ne plus payer d’impôts sur les logements qu’ils mettent généreusement à disposition des éternels locataires que sont les actifs.

Cela rejoint le mécanisme équivalent qui permet de loger les migrants clandestins d’abord.

Il faut mettre le mot « humanisme » dedans et c’est bon.

Là, ce sera sûrement « solidarité ».

Si les aristocrates de l’Ancien régime avaient eu de la suite dans les idées, ils auraient appelés les corvées imposées aux paysans « Solidarité humaniste ».

Les paysans auraient dit « Ben si c’est pour être gentil, d’accord. »

L’Ancien régime serait encore en place.

L’autre dispositif, c’est la réforme des retraites. Elle a été conçue pour ne pas concerner les boomers.

La génération des Boomers, c’est précisément ça : 1945 – 1960.

Donc cette réforme commence en 1961 pour qu’ils y échappent. Évidemment, après 65 ans, ce sera ensuite 67 ans, puis 70 ans et enfin 75 ans.

Formulé autrement, il n’y a plus de retraites pour tous ceux qui sont nés dans les années 70 et après. Le système doit simplement les convaincre de continuer à se faire racketter par le gouvernement pour alimenter cette pyramide de Ponzi et ainsi éviter la faillite.

L’espérance de vie des paysans baisse aussi, ce qui va s’accélérer avec l’interdiction de la viande, la fin du chauffage et l’abolition des hôpitaux gratuits.

La solution ne peut pas être démocratique.

Vous aurez un bloc retraité de 20 millions d’unités d’ici 2030 et un bloc allogène de la même taille. L’ingénierie sociale a réorganisé la démographie du pays pour que les actifs (blancs) perdent automatiquement les élections.

Personne d’importance n’en parle, parce que si les paysans réalisent que le jeu est irréversiblement truqué, ils abandonneront immédiatement la démocratie et ses élections.

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