Macron dénonce le « féminicide », i.e. l’holocauste des traînées

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 mars 2019

Cette fiotte qui nous sert de chef de l’état a placé la barre à un niveau de pédalisation record.

« Féminicide ».

Connaissez-vous un mâle beta français plus soumis que lui ?

A part les anciens révolutionnaires de Lutte Ouvrière, j’entends ?

Moi non.

Si je veux trouver une tanche puante de démagogie victimaire qui se soumet ostensiblement aux pieds des féministes, je dois aller au Canada où Trudeau a fait monter le niveau de cringe à des sommets jamais atteints jusque là.

Cette société où les mâles blancs sont progressivement émasculés au terme de la guerre totale que leur font les juifs et leurs zombies féministes devient un immense cloaque androgyne.

Jusque dans l’orthographe.

Ce virus sémitique de la lutte des sexes associée à celle de la lutte des classes et de la lutte des races est le cocktail idéal qu’ont concocté les juifs pour faire imploser les sociétés occidentales.

Chaque mot marqué du masculin doit donc avoir son pendant féminin.

Mais pas seulement. Car « féminicide » renvoie, inconsciemment, à « génocide » là où « homicide » avait un caractère neutre.

Le génocide des femmes.

Nous génocidons les femmes. Vous génocidez les femmes. Chaque jour.

Une centaine de femmes sont tuées par leurs mecs chaque année. Pour un pays de 67 millions d’habitants qui compte 10 millions de mahométans qui, curieusement, ont disparu du tableau.

Je vous garantis que les maghrébines sont sexuellement excitées à l’idée que leurs bougnoules de mecs les tabassent à coups de ceinturon.

De cette centaine de gonzesses tuées, la moitié sont des maghrébines ou des négresses en délicatesse avec leurs mâles. Le reste a trompé, au moins une fois sur deux, le mari dans une histoire sordide où alcool et argent se mêlent.

Bref, une réalité marginale de l’ordre de la statistique.

Mais c’est devenu le moyen pour ces traînées de féministes de bolosser les hommes blancs.

La traite des hommes blancs sur laquelle capitalise cette sale fiotte négrophile de Macron.

Maintenant, tout ça est de notre faute. Nous avons admis ce principe aberrant selon lequel une femme peut donner son avis, voter, parler au milieu des hommes et, finalement, se prendre pour un bonhomme.

Un des signes les plus évidents de cette masculinisation des femmes est le port généralisé du pantalon par les gonzesses. Jadis, la robe était la norme. Cela n’a l’air de rien mais à l’échelle de l’histoire de l’Occident, ce détail est absolument inédit.

Qu’il s’agisse de la Grèce ou de la Rome antiques, du Moyen-Âge ou de l’époque moderne.

La robe est la marque de la féminité pour plusieurs raisons. Tout d’abord parce qu’elle masque les jambes et donne, dans une certaine mesure, une impression d’immobilité et de passivité.

Elle est, paradoxalement, suggestive. Elle cache quelque chose – les jambes et le bas ventre – ce qui renforce la spéculation imaginaire érotique. Elle laisse, aux pieds, une ouverture qui rappelle qu’à chaque instant la matrice de la femme n’est pas matériellement rendue inaccessible.

Elle est un exercice vestimentaire imposé. La robe est moins pratique que les pantalons pour travailler mais pourtant les femmes s’efforcent de le faire pour marquer la distinction des sexes et respecter l’ordonnancement des fonctions.

Après guerre, en mettant les femmes au travail au milieu des hommes, le pantalon et la clope sont devenus la règle de base du comportement des femmes masculinisées.

Jusque dans les années 60, la robe est restée la norme.

Et ensuite les boomeuses ont surgi, dans les années 70, du haut de leur 25 ans, avec leurs jeans à la con.

Evidemment, vous avez toujours des femmes qui portent des robes avec des collants, etc.. Mais les femmes en pantalons sont devenues banales.

Ce n’est même pas une interrogation et pourtant, c’est un symptome majeur.

Paradoxalement, plus les femmes masculinisent leur tenue vestimentaire, plus les hommes voient le détail de leur corps et deviennent donc, implicitement ou non, sexuellement agressives.

L’agressivité sexuelle était jusque là réservée aux mecs.

Nous nous retrouvons dans cette situation où les femmes castratrices essaient désespérément de se saisir du phallus symbolique tout en devenant, par leur comportement masculin, plus sexualisées que jamais.

Des traînées dominatrices qui hurlent au « féminicide ».

Tout ce que cela nous dit, c’est que l’Occident ne tient plus ses femmes pour le plus grand bonheur des juifs.

Et vous savez qui a créé la journée de la femme que nous subissons aujourd’hui même ? La juive marxiste d’origine russe Theresa Malkiel.

Nous vivons dans une dystopie hébraïque et les traînées en sont l’épicentre.

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