Macron dénonce la menace apocalyptique que représente la bite des nègres

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
11 juillet 2017

C’est vraiment dur de suivre Macron. Un jour il déclare que la « culture française n’existe pas », un autre il dit que le problème de l’Afrique, ce sont les nègres.

Russia Today :

Interrogé lors de sa conférence de presse en marge du G20 le 8 juillet dernier sur la question du développement de l’Afrique, le président français a eu quelques mots propres à la controverse sur la natalité africaine. Selon lui, le problème majeur du continent africain n’est pas économique, écologique ou politique, mais démographique.

«Le défi de l’Afrique, il est civilisationnel aujourd’hui», a déclaré Emmanuel Macron. Identifiant plusieurs facteurs de trouble, comme les «Etats faillis ou les transitions démocratiques complexes» dans certains pays africains, le président français a toutefois jugé que ceux-ci étaient secondaires :

« Quand des pays ont encore sept à huit enfants par femme, vous pouvez décider d’y dépenser des milliards d’euros, vous ne stabiliserez rien. »

 

 

Il faut être honnête et quand Macron dit quelque chose de bon sens, l’admettre. Voire s’en féliciter.

J’en profite pour rappeler les propos lumineux de Pascal Sevran sur cette question : « la bite des noirs est responsable de la famine en Afrique ».

Il avait ajouté :

« Des enfants, on en ramasse à la pelle dans ce pays [le Niger] — est-ce un pays ou un cimetière ? — où le taux de fécondité des femmes est le plus élevé du monde, neuf enfants en moyenne par couple. Un carnage. Les coupables sont facilement identifiables, ils signent leurs crimes en copulant à tout va, la mort est au bout de leur bite, ils peuvent continuer parce que ça les amuse, personne n’osera leur reprocher cela, qui est aussi un crime contre l’humanité : faire des enfants, le seul crime impuni. On enverra même de l’argent pour qu’ils puissent continuer à répandre, à semer la mort ».

Interrogé à nouveau sur la question, il avait persisté :

« Et alors ? C’est la vérité ! L’Afrique crève de tous les enfants qui y naissent sans que leurs parents aient les moyens de les nourrir. Je ne suis pas le seul à le dire. Il faudrait stériliser la moitié de la planète ! »

Dix ans plus tard, Macron fait du Sevran. Du moins, au détour d’un discours.