Macron décide de capitaliser sur sa mythomanie

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
21 juillet 2017

 

OK, c’est officiel, Macron est en fait un amateur de Jeu de Rôle Grandeur Nature.

Hier, à Istres, il a fait un énième numéro situé à mi-chemin entre du Poutine et du Bush.

Sauf que Bush est un véritable pilote de chasse.

Je veux dire, un vrai pilote de chasse.

Ce qui se profile, c’est une interminable série d’opérations de shooting destinées à donner à ce mâle beta un semblant de virilité. Inutile de dire que chez l’électrice blanche de plus de 50 ans, le succès est garanti.

 

Il est aussi coach sur le Tour de France.

Maintenant, c’est une question de mental @RomainBardet ! Nous sommes très fiers de vous et attendons dimanche avec impatience. #TDF2017 pic.twitter.com/2Q6jajWxBg

— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 19 juillet 2017

Nous allons devoir subir un mytho mégalomane pendant des années. Peut-être dix ans. Le Trudeau français.

C’est-à-dire un type qui veut susciter de l’empathie pour lui en se mettant en scène en permanence auprès des innombrables clientèles ethniques, sexuelles et autres qu’il courtise.

Et même avec les victimes d’attentats djihadistes, une catégorie en émergence.

Avec Macron, nous allons alterner entre le « free hug » et le cirque hollywoodien du pauvre.

Quand on un véritable chef, les seuls actes suffisent.

Napoléon a repris la France en 1815 par la seule force de sa personnalité et de son charisme. Il n’a pas eu à livrer une seule bataille pour atteindre Paris et s’emparer du gouvernement. Sa seule présence suffisant à faire s’effondrer la monarchie d’occupation.

Les actes font les hommes. La volonté fait les actes.