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Captain Harlock
Démocratie Participative
13 Avril 2020
Macron a pris la parole hier soir, à 20h02 très exactement afin de laisser les bots applaudir les infirmières débordées, submergées, fatiguées.
Je dois dire que je n’attendais aucune annonce spectaculaire. Uniquement le prolongement de l’agonie. Ce qui est effectivement le cas avec l’annonce du maintien du confinement jusqu’au 11 mai.
«Le confinement le plus strict doit encore se poursuivre jusqu’au lundi 11 mai», annonce le président de la République Emmanuel Macron pic.twitter.com/rxvn0o2EWr
— CNEWS (@CNEWS) April 13, 2020
Mais en fait, ce confinement durera jusqu’en novembre 2020. Voire en octobre 2021 ou même jusqu’en juillet 2023. Macron est contraint de donner une date, pour lâcher un peu de lest, mais c’est faux. Il sera « partiellement » levé, selon des conditions si complexes et réversibles, que cela ne peut en aucun cas être qualifié de « fin » du confinement.
La « seconde vague » entraînera un nouveau blocage général. L’idée étant de torturer les masses jusqu’à ce qu’elle capitule face au projet véritable derrière cette campagne de terreur économique orchestré par l’OMS et les financiers qui le contrôlent. A savoir l’étiquetage du bétail et le contrôle de tous les mouvements des populations.
«La première voie pour sortir de l’épidémie est celle des vaccins. Tout ce que le monde compte de talents de chercheurs y travaillent», déclare le président de la République Emmanuel Macron pic.twitter.com/38rGFEAyHN
— CNEWS (@CNEWS) April 13, 2020
Cette grosse grippe n’est plus un sujet. Le véritable sujet, c’est l’apocalypse économique et sociale qui approche, laquelle sera accompagnée de l’instauration d’une dictature sanitaire.
Concrètement, pour les ahuris qui applaudissent encore depuis leurs clapiers, ce n’est que le début des difficultés.
Le tourisme et l’hôtellerie-restauration vont être pulvérisés. Ils ont interdiction de reprendre leurs activités jusqu’à la mi-juillet. L’idée, pour Macron, est de ne pas avoir à passer à la caisse pour la saison haute, c’est-à-dire du 15 juillet au 15 août. Or, il est évident que dès lors que les grands rassemblements continueront d’être interdits, l’été 2020 sera catastrophique. Le soviet de Bercy n’est pas fou.
Je ne sais pas combien d’hôtels, de restaurants, de bars, de gites, etc., vont faire faillite mais c’est de grande ampleur. Ces établissements seront fermés 4 mois au total et leur saison est déjà ruinée. La menace d’une seconde vague à l’automne, déjà annoncée par les médias, va forcément réduire les réservations pour les fêtes de fin d’année, faute de visibilité.
Sans parler des restrictions des vols internationaux.
Et ce n’est qu’une part de l’économie, le tourisme pesant 7% du PIB français.
Il est inutile d’entrer dans les détails, ce qu’il faut retenir, c’est que l’économie est en train de s’effondrer et bientôt l’Etat Français suivra, emporté par sa pile de dettes. Une fois que l’argent cessera d’être déversé sur les millions de fonctionnaires, de retraités et de métèques qui en dépendent, ce sera l’anarchie.
Le bilan final de ce confinement sera autrement plus létal que ce virus hollywoodien.
Je ne sais pas si vous planifiez de retourner vivre dans une grande ville mais ce n’est pas une très bonne idée. Vivre au milieu de hordes d’africains affamés comporte des risques très importants, surtout dans des zones où la police, déjà inactive, se sera volatisée.
Au fond, les seuls qui vont gagner quelque chose de ce virus, ce sont les nègres d’Afrique. Leur président a annoncé que masses d’argent blanc allait pleuvoir sur leurs têtes.
«Nous devons aussi savoir aider nos voisins d’Afrique sur le plan économique en annulant massivement leur dette», déclare le président de la République Emmanuel Macron pic.twitter.com/sBY3SDgA1h
— CNEWS (@CNEWS) April 13, 2020
Vos impôts, donc.
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