Macron admet perdre totalement le contrôle de la situation au Mali et propose comme solution de donner beaucoup plus d’argent aux noirs d’Afrique

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 mai 2021

Macron recommence ses facéties africaines.

Après s’être mis à plat ventre devant l’Algérie qui déverse sa population chez nous en nous insultant, il a réitéré au Rwanda où il a expliqué que les nègres qui s’y sont entretués il y a 25 ans l’avaient fait à cause des Blancs. Il a ensuite filé en Afrique du Sud pour donner de l’argent français aux marxistes noirs de l’ANC.

Et maintenant, il propose un plan inédit : donner beaucoup, beaucoup plus d’argent aux nègres.

Mais avant, il a reconnu que sa soupe au Sahel tournait au fiasco.

Le Figaro :

Emmanuel Macron a affirmé que la France retirerait ses troupes si le Mali allait «dans le sens» d’un islamisme radical, dans un entretien au JDD diffusé dimanche, après un deuxième coup d’État en neuf mois.

La France, qui engage environ 5.100 hommes au sein de Barkhane, soutient le Mali qui fait face depuis 2012 à une poussée jihadiste partie du Nord, qui a plongé le pays dans une crise sécuritaire et s’est étendue au centre du pays. Mais Paris, comme l’UE, a dénoncé mardi un «coup d’État inacceptable» après l’arrestation du président Bah Ndaw et du Premier ministre Moctar Ouane décidée par l’homme fort du pays le colonel Assimi Goïta.

«Au président malien Bah N’Daw, qui était très rigoureux sur l’étanchéité entre le pouvoir et les djihadistes, j’avais dit: ‘L’islamisme radical au Mali avec nos soldats sur place ? Jamais de la vie!’ Il y a aujourd’hui cette tentation au Mali. Mais si cela va dans ce sens, je me retirerai», a mis en garde le président français, dans un entretien au JDD à l’occasion d’un voyage au Rwanda et en Afrique du Sud.

Le chef d’État français affirme également avoir «passé le message» aux dirigeants d’Afrique de l’Ouest qu’il «ne resterait pas aux côtés d’un pays où il n’y a plus de légitimité démocratique ni de transition». Il rappelle avoir dit depuis trois ans, «au sein de plusieurs Conseils de défense que nous devions penser à la sortie».

Les dirigeants ouest-africains se réunissent dimanche pour trancher la question épineuse de leur réponse au double putsch des militaires maliens en neuf mois. Au sommet du G5 Sahel à Pau en janvier 2020, «j’ai préparé un chemin de sortie. Je suis resté à la demande des États, parce que je pensais que la sortie était un point de déstabilisation. Mais la question se pose, et nous n’avons pas vocation à rester éternellement là-bas», a-t-il répété.

Concernant le Tchad, où un Conseil militaire de transition (CMT) présidé par l’un des fils d’Idriss Déby, Mahamat, après sa mort brutale en avril, Emmanuel Macron estime que «les choses sont claires». «Nous venons au secours et en soutien d’un État souverain pour qu’il ne soit pas déstabilisé ou envahi par des groupements rebelles et armés. Mais nous demandons la transition et l’inclusivité politique», assure-t-il.

Il explique que lorsqu’il s’est rendu aux obsèques d’Idriss Déby, il a eu «un long échange» avec Mahamat Déby à la veille du G5 Sahel. «Le lendemain matin, avec les autres chefs d’État, nous sommes allés le voir pour lui demander cette ouverture politique avec le soutien de l’Union africaine».

Le « G5 Sahel ». Comme si ces non-états nègres étaient autre chose que des fictions.

Il n’y a pas de plan de sortie valable si le but est d’empêcher les noirs de s’entretuer. Les noirs continueront à s’entretuer parce que ce que font tous les noirs, partout en Afrique.

C’est pour ça qu’ils veulent que nous partions : pour pouvoir s’entretuer.

En réalité Macron n’a aucune intention de partir de cette région.

Emmanuel Macron met aussi en garde contre un échec d’une politique de développement en Afrique. «Je le dis avec lucidité, si on est complices de l’échec de l’Afrique, on aura des comptes à rendre mais on le paiera cher aussi, notamment sur le plan migratoire», estime-t-il.

Il réaffirme qu’il faut donc «investir massivement» au sortir de la pandémie de Covid-19 «avec l’équivalent d’un plan Marshall» et que la communauté internationale doit avoir «la générosité de dire qu’on efface une partie de la dette pour aider les Africains à bâtir leur avenir».

Nous en revenons toujours au même point : déverser l’argent des contribuables blancs sur les noirs indolents d’Afrique dans l’espoir de les voir se mettre au travail.

Sauf qu’à la place, ils mangent et se reproduisent comme des lapins, saturent encore plus les espaces où ils s’entassent, crèvent encore plus de faim et reçoivent donc encore plus d’argent pour recommencer un cycle.

Au final, ils finissent toujours par atterrir chez nous.

Ce qu’il faut, c’est l’inverse de ce que dit Macron ; arrêter de vouloir aider l’Afrique et laisser la nature réguler cette faune.

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