Macron accueilli en libérateur à Mayotte !

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 octobre 2019

On pourrait peut-être réfléchir à demander l’annexion des régions françaises encore blanches par la Pologne ou la Biélorussie.

Au vu du voyage officiel de Macron à Mayotte « au contact de nos compatriotes », c’est probablement la dernière option que nous ayons avant de finir dans le ventre d’une tribu bistre des Yvelines.

La négraille est surexcitée, fascinée par le Grand Sorcier Blanc qui fait pleuvoir les milliards d’euros sur cet îlot islamique.

J’ai bien dit milliard.

1,6 milliard d’euros, exactement. En guise de hors d’œuvre.

C’est simple, la popularité de Macron auprès des nègres est inversement proportionnelle à celle qui est la sienne auprès des Français.

Il faut dire que le flux d’argent public qui entre dans les poches des nègres est l’équivalent de celui qui quitte les poches des Blancs.

Il faut bien ça pour cette région européenne sinistrée.

Sinistrée par les nègres.

Comme vous le savez, la maternité de Mayotte tourne à plein régime, produisant du Français à un rythme d’enfer. Plus de 10,000 négrillons sortent chaque année de cette forge du Mordor.

Regardez-moi ces lits médicalisés, ces chambres immaculées, cette machinerie ultra-moderne.

Ne vous laissez pas abuser par ces photos : ce sont des Blanches qui pilotent le navire amiral de la natalité française.

Des Blondes, Normandes et Bretonnes radicalisées.

Un travail patient et méthodique, in situ, pour s’assurer que des centaines de milliers de négrillons supplémentaires puissent ultérieurement déborder sur la métropole et gonfler les rues, les services sociaux et les ventres des Blanches jusque dans les terroirs les plus reculés de la Gaule Chevelue.

C’est l’inattendu du 21ème siècle : la science médicale la plus avancée au service de l’ADN archaïque nègroïde.

Rien n’arrive par hasard.

Cette opiniâtreté méticuleuse, vicieuse, obsessionnelle à vouloir porter le nègre à bout de bras est une passion criminelle, certes, mais une passion tout de même et on ne prive pas un amoureux de l’objet de son brûlant désir sans s’exposer à de violentes scènes d’hystérie parcourues d’imprécations et de menaces.

Allez, je m’en réfère à Louis-Ferdinand.

La France est une colonie juive, sans insurrection possible sans discussion, ni murmure… Il faudrait pour nous libérer un véritable Sinn-Fein… Un instinct de race implacable… Mais nous n’avons pas la « classe » des Sinn Feiners !… Beaucoup trop enfiotés déjà avinés, avilis, efféminés, enjuivés, maçonnisés, mufflisés de toutes les manières. Des chancres pourris d’alcool et toujours plus avides rongeurs rongés. Atroce !… Des petites fistules bien honteuses !… Pour vaincre, s’affranchir du Juif, il faudrait pouvoir, avant tout lui annoncer en plein pif : « Toi, ton puant, pourri pognon, tu peux te le filer dans la fente, et puis maintenant trisse ! Infect ! Ou je te bute !… » Qui c’est qui peut causer comme ça ?… C’est pas notre cheptel… Ivrogne, mégotier, resquilleur, vénal, imbécile, et survendu !… Aucune chance ! Toutes les chouanneries d’ailleurs en France échouent piteusement !… Grand malheur !… Toute malédiction à celui que l’envie peut prendre de s’occuper des Français !… Relisez, relisez donc, un petit peu les plus effarantes histoires des Dupleix… des La Salle… des Montcalm… vous serez pour toujours édifiés !… Quel Peuple porte, à sa honte, d’aussi prodigieuses pages de vertigineuse muflerie ?… Rien à dire, le sort en est jeté ! Et puis la guerre viendra toute seule, justicière, à l’heure de « l’Intelligence Service »… Et puis nous aurons trois fronts à garnir… Et puis tous les Juifs planqués à l’arrière… Chez les généraux francs-maçons… à la présidence du Conseil… Je vais te dire, tiens, moi, Ferdinand, le secret des astres.

La Diplomatie c’est jamais, en somme, à l’abri des mots spécieux, des petites ristournes de formules, que l’Art, la Manière de préparer le partage, le démembrement, le hachis de l’État le plus pourri d’une époque, d’un continent… pour la curée générale… la pâtée des plus voraces… Après la Pologne, la Turquie, l’Autriche… C’est à présent notre tour… C’est simple… c’est normal… Les Juifs décidément, faut qu’on y passe !… Pourquoi tous ces pauvres chichis ?… Veaux vous êtes ?… Veaux ?… Oui ou flûte ?… Résister qui ?… Résister quoi ?… On a jamais vu des veaux « objecteurs de conscience » ?… Veux-tu te faire bien buter salope ?… Toi le premier ! toi tout d’abord !… Tu vas voir un peu les martyrs ! Comment ils vont se mettre en quart… comment ils vont rappliquer !… T’as chié à présent sur tout le monde ! tu vas payer ! bulleux crabe !… Tu peux plus compter sur personne… T’es tout seul !… C’est méchant, tu sais, les martyrs… Tu vas te faire drôlement étendre… Et puis t’iras même pas au ciel… parce que j’aime mieux te prévenir tout de suite, le Bon Dieu est juif. T’excèdes tout le monde… tu vas gagner quoi ?… Dans ce grand latin pays, tout, parfaitement tout est à vendre, retiens ceci, et d’ailleurs parfaitement vendu… La bourgeoisie tout en gueuletons, cupide, crétine et cancaneuse, est à foutre en avant, derrière !… Elle sait plus où tendre ses vieilles miches pour se faire enculer quand même !… toujours !… davantage !… se faire fourrer en sauvette par la première bite qui régale !… la plus offrante… Elle est propice comme un vieux fiacre, elle a fourgué tout aux youtres, tout ce qu’elle savait, toutes les clefs de la ville et des champs… Ses fils… ses filles… ses fausses dents… au plus offrant !…

La noblesse, cette vieille imposture, se roule et quémande des sursis… Sous tous les lits de Juifs on en trouve… La noblesse c’est un lupanar pour youtres… une basse tribu sous-juive, quelque chose comme des Ouednails toujours à la traîne des Bat d’Af. Les nobles ils suivent les Juifs de même pour manger… pour tenir… La noblesse c’est la vraie capote des youtres à travers les âges, tellement les youtres s’en sont filé des vierges de nobles sur le panais. La noblesse française a sucé plus de foutre nègre qu’il n’en faut pour noyer la plaine d’Azincourt… Ce sont les gloutons du prépuce. Quant aux Rois de France, pour tout bien dire, je trouve qu’ils ont des drôles de nez… Ferdinand !… des vraiment drôles de nez « bourbons « … Vers le Trois ou Quatrième siècle, maman la Reine, quelque part… a bien dû se faire régaler, un tout petit peu… par quelque joli Commissaire… Judéo-chrétien… bolchévique d’alors. Crépu… ne trouves-tu pas Ferdinand ?… Qu’ils ont vraiment des drôles de nez ?… qu’ils ont un peu l’air abyssin, nos grand rois de France ? Qu’ils sont tous un peu Tafaresques ?… Regarde Henri IV.

Oui, le Louis XIV, à y penser, à bien considérer.

C’est pas totalement hors de portée, de constater que cet appel du sang nègre remonte, que des banquiers de Cordoue n’ont pas fait que prêter de l’or aux « élites françaises ».

Si on fait le bilan de l’histoire de France, les maîtres du pays sous tous les régimes se sont ingéniés à torturer le petit peuple des campagnes, par racisme instinctif.

« Le vieux sang pourri ».

C’est la seule permanence, la France [juive] éternelle.