Lyon : retour sur les affrontements interethniques entre arméniens et suprémacistes turcs

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 août 2020

Capture d’écran de la vidéo postée sur le compte Instagram de « 1francoturc » lors d’un raid des « Loups gris » à l’occasion d’un rassemblement de soutien à l’Arménie.

Après les affrontements entre tchétchènes et maghrébins à Dijon, c’est à Lyon que des tensions ethniques entre turcs et arméniens ont éclatées.

Et moi qui croyais que la France multiculturelle, débarrassée des Français, allait devenir un véritable paradis égalitaire où le racisme et les conflits interethniques n’existeraient plus. D’ailleurs, c’est le site de l’intellectuel juif Bernard-Henri Lévy, promoteur historique de l’utopie pluriethnique en France, qui se lamente des conséquences des causes qu’il chérit.

La règle du jeu :

Le fait est passé inaperçu. Comme si Décines ne se trouvait pas en France et que les événements qui s’y sont déroulés le 24 juillet dernier ne remettaient pas en cause la sécurité des citoyens et les fondamentaux de la République.

Pourtant, le raid anti-arménien qui s’y est produit et les images que tout un chacun peut regarder sur la page Instagram intitulée 1francoturc sont sidérantes. On y voit tout d’abord le détenteur de ce compte haranguer en turc un groupe de jeunes qui répètent en choeur derrière lui : « Nous ne connaissons pas la peur ! Nous sommes les soldats des montagnes ! Notre maison c’est le ciel ! Aux endroits qui font tourner la tête ! Nous ne connaissons aucun obstacle, on le franchit ! Je suis le commando turc. Je suis le commando turc. Je suis le commando turc ». Arborant les T-shirt à l’effigie des « Loups gris », ils font avec leurs doigts le signe de l’organisation fasciste et se mettent en condition pour passer à l’attaque.

L’attaque a été moins impressionnante que prévue initialement par les turcs, principalement parce que les arméniens étaient au moins aussi nombreux et que les turcs, comme tous les bons musulmans, n’attaquent jamais à moins de 5 contre 1.

Comme au Kosovo ou au Liban, vous pouvez voir les casques bleus français séparer les populations locales.

Leur cible : quelques centaines d’Arméniens, venus en famille dire leur solidarité à l’Arménie, après les affrontements militaires sur sa frontière avec l’Azerbaïdjan du 12 juillet et des jours suivants. Ce rassemblement pacifique et autorisé auquel participait Laurence Fautra, maire LR de la ville, et Danièle Cazarian, députée LAREM de la circonscription, a toutefois pu se tenir. Mais ce fût au prix d’une bataille rangée de plusieurs heures entre les CRS et les affidés des « Loups gris », dont certains étaient munis de couteaux et de barres à mine, comme en témoignent les vidéos postées sur l’événement.

Deux de ces extrémistes ont été arrêtés et relâchés. Mais l’organisateur de ce raid qui s’inspire à la fois des méthodes des Loups gris et de la vieille tradition anti-arménienne du djihadisme panturc, ne serait, à ce jour, toujours pas inquiété.

Nous sommes en France, en 2020, à 6 stations de tramway de gare de Lyon Pardieu… Ainsi, cent ans après le génocide de 1915, à des milliers de kilomètres de la Turquie, rien n’a visiblement changé. Du moins pour ces jeunes particulièrement conditionnés par la propagande anti-arménienne et négationniste d’Ankara. Résultat : A leurs yeux, les Arméniens constituent l’entité honnie. Comme au temps de l’Empire ottoman. Et qu’importe s’ils vivent aujourd’hui en France. Leur racisme revendiqué, qui alimente hélas en retour sur les réseaux sociaux des réactions primaires d’Arméniens excédés, fait désormais partie intégrante de leur panoplie identitaire. Dès lors, tous les ingrédients d’une explosion sont là. Il suffit pour s’en convaincre d’entendre le leader des fauteurs de trouble proclamer sans ambages dans une vidéo : « Que le gouvernement me donne 2000 euros et une arme, et je ferai ce qu’il y a à faire, où que ce soit en France ».

Après des décennies de conditionnement antiblanc et de court-termisme individualiste, les Français de souche se découvrent, stupéfaits, cernés de races, d’ethnies et de tribus qui s’affrontent en plein jour et qui sont organisées sur de stricts critères d’appartenance raciale. Le slogan « Liberté Égalité Fraternité » sent plus que jamais la pisse algérienne et de plus en plus de braves Français commencent à le comprendre. Qu’il s’agisse des juifs, des arméniens, des turcs, bref, de tous les étrangers à papiers français établis sur le territoire, la race que le système déclarait « obsolète » est devenue le grand principe organisateur des rapports sociaux.

Ce principe, il ne reste plus guère que Jean-gauchiste et Jean-Boomer qui continuent de le nier dès lors qu’il concerne les Blancs, préférant raisonner en termes « sociaux » comme au temps de la CGT triomphante et des films de Louis de Funès. Il y a aussi les juifs qui le nient hypocritement, simplement pour pouvoir en garder un usage privilégié pour se mouvoir collectivement à leur aise dans un océan de goyim atomisés. Si cette stratégie juive fonctionnait avec les Blancs, il n’en va pas de même avec les races sombres qui n’entendent nullement abandonner leur soif de tribalisme pour complaire à un carré d’intellectuels ashkénazes.

Notez que les arméniens ne sont pas exactement des gens désarmés. Ils disposent d’un lobby politique puissant et d’un avantage moral considérable en termes de communication avec leur « génocide » copié sur le modèle juif. Sauf que ce génocide-là a bien eu lieu. Mais aussi influents soient-ils, les arméniens pèsent trop peu face aux millions de mahométans vivant en France et l’Etat, à part limiter l’ampleur des violences interethniques, ne réagit pas. Tout simplement parce qu’il trouve normal et légitime que les musulmans défendent le droit inaliénable de l’oumma de lyncher des infidèles s’ils en ressentent le besoin.

Les jeunes Blancs qui veulent survivre dans la France libanisée du 21ème siècle n’ont pas d’autre choix que de développer un puissant sentiment d’appartenance collective fondée sur la race et de bâtir des organisations sur ce sentiment.

Commentez l’article sur EELB.su