Lyon : le larbin des juifs Collomb fait fermer le Bastion Social

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 novembre 2018

La répression judéo-gouvernementale s’intensifie contre Bastion Social. Après la tentative d’incendie du local de Clermont-Ferrand et la demande de plus 70 députés, sur ordre des juifs, de dissoudre l’association, c’est la momie Gérard Collomb, franc-maçon socialiste, qui a fait fermer d’autorité le local du mouvement à Lyon.

Lyon Mag :

Le local du Bastion Social a été fermé ce mardi par la Ville de Lyon. Selon Rue89, le local qui servait de bar associatif au groupuscule d’extrême-droite est fermé par arrêté municipal.

La Ville a ainsi utilisé ses compétences en matière de contrôle de la sécurité des petits locaux accueillant du public, précisent nos confrères, qui ont pu consulter l’arrêté signé par Jean-Yves Secheresse, l’adjoint au maire chargé de la sécurité.

Ce n’est pas la première fois que la Ville de Lyon prend un arrêté pour fermer le local d’une association d’extrême-droite. Le dernier en date remonte à décembre 2017 et concernait le local situé rue des Farges, à St Just.

N’importe quel prétexte est bon. Une prise électrique décalée d’un centimètre, un extincteur dont le rouge n’est pas assez rouge, une fente dans un velux.

Inutile de dire que tous les squats rouges pour camés de la ville ne reçoivent jamais ce genre de visites. Ils reçoivent plutôt des subventions déguisées.

Collomb est de retour à Lyon et ce larbin de la judéo-maçonnerie en campagne pour sa réélection a tenu à donner le ton, espérant ainsi s’attirer la bienveillance de l’extrême-gauche locale. Et de vermine juive de la ville.

D’une manière générale, cet état français judéo-communiste en voie de tiers-mondisation avancée a décidé que rien ne doit plus s’organiser autour des idées nationalistes, populistes ou identitaires. Pas même une association de quelques dizaines de membres dans une ville.

Le pouvoir juif voit les états tombés les uns après les autres dans les mains de nationalistes, ils prennent donc les devants. D’ailleurs c’est le discours officiel de Macron : « moi ou les Nazis ».

La juiverie financière internationale qui tient fermement cette république entre ses mains n’entend pas la lâcher. C’est son dernier joker en Europe. L’Allemagne est en train d’imploser politiquement et n’a plus de capacité d’entraînement.