Lyon : dire vouloir expulser les clandestins est maintenant interdit d’après la justice judéo-communiste

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
01 août 2018

Justice démocratique, allégorie

Quand nous avons parlé de l’inique manoeuvre du juif Fabius à la tête du Conseil Constitutionnel afin de légaliser l’invasion, nous avons dit que, bientôt, le seul fait de s’opposer à l’immigration clandestine donnerait lieu à des persécutions de type judéo-bolchevique.

Nous avions raison, bien évidemment.

C’est une conseillère Front National qui en fait l’expérience.

Lyon Capitale :

Une enquête pour “provocation à la haine” a été ouverte à l’encontre de Muriel Coativy, la déléguée RN du Rhône, qui a posé à côté de Lyon derrière une affiche “Français d’abord, clandestins dehors !”

Dans un communiqué, le Rassemblement national (ex-FN) a dénoncé l’ouverture d’une enquête pour “provocation à la haine en raison, à l’égard d’un groupe de personnes à raison de leur origine, de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion”, à l’encontre de la déléguée RN du Rhône, Muriel Coativy qui a participé à une action à La Mulatière lors du passage à Lyon de la “Marche solidaires pour les migrants” fin mai dernier. Une action durant laquelle l’élue a posé derrière une banderole “Français d’abord, clandestins dehors !”. “Une atteinte grave à la liberté d’expression et de convictions, qui annonce ce que sera la France d’Emmanuel Macron quand la loi dite ‘Fake News’ sera appliquée”, a déclaré le parti de Marine Le Pen dans un communiqué intitulé “Alerte démocratie”.

De son côté, Muriel Coativy a parlé “d’une persécution” sur Twitter.

Contacté, le procureur de la République n’a pas donné suite. L’article 24 de la loi du 29 juillet 1881 punit d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende la “provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée”.

Ces lois « antiracistes » ne sont que la somme des mesures expéditives dont dispose le pouvoir hébraïque pour immobiliser sa victime et lui inoculer son venin mortel : du sang nègre.

Le parquet, c’est-à-dire le gouvernement juif d’occupation, classe désormais comme un crime le seul fait d’appeler à expulser les migrants clandestins.

Ce qui signifie, de facto, que cette république reconnaît la suprématie de ces métèques clandestins sur les Français eux-mêmes.

Logée au coeur de l’Etat, le vermine sémitique utilise tous les leviers pour écraser la résistance autochtone, aussi symbolique soit-elle.

Elle entend bien tenir en respect les autochtones grâce aux deux mâchoires de sa tenaille que sont auxiliaires raciaux d’une part et répression étatique d’autre part.

Tant que cette vermine ne sera pas extirpée, l’Etat Français ne sera que le golem faisant les volontés de son maître.

Il est possible que des lecteurs doutent encore des machinations entreprises par les juifs pour s’assurer du caractère irréversible de la révolution raciale qu’ils mènent en France afin d’y établir, définitivement, leur domination.

Ce nouvel exemple illustre cette réalité.