Loukachenko déclare que l’Amérique et l’UE mènent une « guerre hybride » à la Biélorussie

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 mai 2021

Le Très Respecté Loukachenko est sorti du silence après l’opération antiterroriste menée ces derniers jours en Biélorussie contre un bandit financé par Soros.

Le Point :

Il faudra plus que les affirmations du président biélorusse pour convaincre. Les Européens et les États-Unis ont appelé mercredi à une « enquête urgente » sur le détournement d’un avion de ligne par la Biélorussie, dont le président Alexandre Loukachenko est resté, lui, droit dans ses bottes et assuré avoir agi « légalement ». Dénonçant un incident « sans précédent et inacceptable », qui a vu Minsk intercepter un vol Ryanair au-dessus de son territoire sous prétexte d’une alerte à la bombe et arrêter un journaliste d’opposition, les membres européens du Conseil de sécurité de l’ONU et Washington ont appelé dans une déclaration conjointe « l’Organisation de l’aviation civile internationale à enquêter d’urgence » .

Donc l’UE a sanctionné la Biélorussie avant même la fin de « l’enquête » qu’ils ont initié. Cela prouve par l’absurde que c’est de la désinformation.

Si un état ne peut pas contrôler un avion privé qui emprunte son espace aérien, cet état n’existe pas.

Aucun état ne fonctionnerait sur un tel principe.

Imaginez qu’un individu dangereux appelant à renverser le gouvernement français avec le soutien de la Russie soit à bord d’un avion commercial transitant par la France, vous croyez que les autorités françaises resteraient les bras croisés ?

Pas plus qu’une voiture face à un contrôle de douanes, un avion commercial ne peut prétendre à quelque immunité que ce soit dans l’espace aérien d’un état souverain.

Toute cette histoire est une indignation fabriquée ex nihilo par les médias juifs pour les besoins de leur campagne antirusse.

C’est la dernière d’une longue série. Pendant un temps, un groupe de prostituées oubliées depuis avait été hissé au rang « d’opposants » intouchables par les mêmes médias occidentaux. Les « Pussy Riot ».

Euronews faisait au moins un sujet par semaine dessus à l’époque.

Personne n’en avait rien à faire en Europe, mais les médias présentaient ces trois traînées psychotiques comme un sujet central toutes les semaines.

C’est la même chose avec cette histoire d’avion et de terroriste arrêté. C’est censé avoir de l’importance, mais tout le monde s’en moque.

Si les juifs ne donnaient pas l’ordre à leurs médias de saturer les ondes avec cette non-affaire, nous n’en parlerions même pas.

Ils ont également appelé à la « libération immédiate » de Roman Protassevitch et de son amie russe Sofia Sapega, tous deux interpellés alors qu’ils se trouvaient à bord du vol qui devait effectuer la liaison Athènes-Vilnius dimanche. Face à l’avalanche de condamnations occidentales et de nouvelles sanctions de l’UE à l’encontre du régime qu’il dirige depuis 1994, le président biélorusse Alexandre Loukachenko a affirmé avoir agi « légalement » en déroutant un avion civil sur Minsk après une alerte à la bombe, rejetant l’accusation d’avoir détourné le vol pour arrêter un opposant. « J’ai agi légalement, protégeant mes gens », a-t-il dit, selon l’agence d’État Belta, lors d’un discours devant des élus et d’autres hauts responsables du régime.

Alexandre Loukachenko a jugé que l’accuser d’avoir envoyé un avion de chasse Mig-29 pour forcer l’atterrissage du vol Ryanair était un « mensonge ». « C’est un mensonge absolu [de dire] que l’avion a été forcé d’atterrir par un Mig 29, a-t-il martelé, la mission de l’avion de chasse était d’établir la communication, d’accompagner l’atterrissage de l’avion de passagers en cas de situation d’urgence ».

C’est totalement banal.

Ces médias parviennent à créer une réalité parallèle au point où ce qui se passe régulièrement en France devient scandaleux en Biélorussie. Ou en Russie. Ou en Chine. En fait, partout où les juifs veulent imposer leur deux poids deux mesures.

Le plus fatiguant là dedans étant les réactions des veaux regardant le train médiatique juif passer en beuglant leur acquiescement. C’est là dessus que repose la démocratie.

Le président Loukachenko a aussi dénoncé mercredi des « attaques » franchissant « des lignes rouges » en réponse au tollé international suscité par le déroutage de l’avion vers Minsk. « Nos adversaires de l’étranger et à l’intérieur du pays ont changé leurs méthodes pour attaquer notre État. Ils ont franchi une multitude de lignes rouges, dépassant les limites de l’entendement et de la morale humaine », a-t-il dit, selon l’agence d’État Belta. « Ils sont passés de l’organisation d’émeutes à l’étape de strangulation », a-t-il dénoncé, dans une référence apparente au mouvement de contestation de 2020 qu’il attribue à une opposition pilotée par l’Occident.

Il a dénoncé une « guerre hybride moderne » contre son pays, qui est un « théâtre d’expérimentation pour ensuite aller vers l’Est ». Alexandre Loukachenko accuse régulièrement Américains et Européens de vouloir le renverser pour ensuite s’attaquer à la Russie de Vladimir Poutine, son principal allié. Quant au journaliste d’opposition Roman Protassevitch, arrêté à l’issue du déroutage de son vol Athènes-Vilnius, Alexandre Loukachenko l’a qualifié de « terroriste ».

Oui c’est un terroriste, selon toutes les normes en vigueur.

Si en France un quidam peut être emprisonné pour terrorisme pour avoir écrit des trucs sur Facebook en France, participer à une organisation internationale soutenue par la CIA et l’UE pour renverser par la force le gouvernement biélorusse relève bien du terrorisme.

Quand on veut savoir si quelqu’un est un terroriste, on consulte le compte Twitter de Bernard-Henri Lévy Botul.

De toute façon, ce n’est pas le problème.

Quand le juif veut piquer son goy, il l’accuse d’avoir la rage. Peu importe ce que fait ou pas Loukachenko, ce ne sera jamais suffisant car les juifs veulent mettre la main sur la Biélorussie comme ils l’ont fait en Ukraine.

Mais c’est surtout ce que n’a pas fait Loukanchenko qui a convaincu les juifs de lui déclarer la guerre, à savoir son refus de confiner son pays en échange de quelques milliards de dollars de pots de vin offerts par le FMI – c’est-à-dire la finance juive new-yorkaise.

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