Londres : des tarlouzes déguisées en femmes veulent pouvoir montrer leurs bites dans les espaces réservés aux nanas

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 juillet 2018

 

Dystopie,  niveau 9000.

Le Monde :

Des féministes londoniennes ont manifesté contre le droit de femmes transgenres à se baigner parmi leurs semblables dans un étang, affirmant vouloir défendre les conquêtes féministes. Les militants LGBT dénoncent une « hostilité ».

L’été, la fraîcheur de l’eau un peu boueuse des étangs du somptueux parc de Hampstead Heath, au nord-ouest de Londres, est hautement appréciée. Chacun des trois « ponds » a ses habitués : les femmes désireuses de ne pas rencontrer la gent masculine fréquentent le « ladies’ bathing pond », les hommes gays préfèrent celui réservé exclusivement aux hommes, et tous les autres baigneurs choisissent l’étang « mixte ».

A la fin mai, le « men’s pond » a été le théâtre d’une scène étrange que les anthropologues des siècles futurs peineront à analyser. Des femmes portant de fausses barbes y ont fait irruption au milieu des messieurs en maillot de bain, abasourdis. Les manifestantes entendaient protester contre l’autorisation accordée aux femmes transgenres de se baigner dans l’étang réservé aux femmes. « Leur présence change l’atmosphère, a expliqué Amy Desir, qui conduisait la protestation. L’étang des femmes est un endroit où les femmes viennent nager avec leurs filles dans un environnement sans hommes. Elles doivent pouvoir se baigner seins nus sans se trouver aux prises avec une personne dotée d’un pénis. »

« Les femmes transgenres ».

Je ne me ferai jamais à ce type de phrases qui prétend parler le plus sérieusement du monde de ces dégénérés.

Quoiqu’il en soit, vous avez maintenant des femmes avec des « pénis » qui hurlent au génocide quand des femmes sans pénis tirent la gueule parce qu’ils déambulent à poil autour d’elles.

Mais ce n’est que le début.

Bientôt, vous aurez des hommes qui iront se baigner dans les endroits réservés aux femmes sans même se travestir. Ils feront tout un scandale en hurlant à la discrimination, parlant « d’identité de genre » et de trucs du même acabit.

Le mieux est d’attendre que ces cas psychiatriques poussent les gens normaux au point de rupture.

Parce qu’ils vont les pousser au point de rupture.