Mort en prison du martyr Claude Sinké, 84 ans, pour s’être défendu face à l’invasion islamique

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 Février 2020

Un artiste et un honnête homme est mort face à l’ennemi

L’artiste Claude Sinké est mort en martyr alors qu’il était emprisonné par le gouvernement juif pour un incident survenu aux abords de la base djihadiste avancée de Bayonne.

France Info :

Claude Sinké, principal suspect de l’attaque de la mosquée de Bayonne, est mort au centre hospitalier de Mont-de-Marsan (Landes) pendant sa détention provisoire, annonce le procureur de la République Olivier Janson, jeudi 27 février.

L’homme de 84 ans a été victime d’une « brusque détérioration de son état de santé » alors qu’il était incarcéré au centre pénitentiaire de la ville. Une autopsie doit maintenant être réalisée pour tirer au clair les raisons de sa mort, survenue mercredi dans la soirée.

Il n’y a qu’une seule interprétation possible des faits : mettre en prison un homme de 84 ans n’a d’autre but que de le tuer.

Claude Sinké a été assassiné par la tyrannie remplaciste.

C’est ainsi que ce Français galvanisé par l’esprit de Charles Martel est mort emprisonné dans son propre pays, sur ordre d’un régime juif allié aux envahisseurs mahométans dont il libère les djihadistes en masse.

C’est ce à quoi en est réduite une France livrée au pouvoir juif.

Cet octogénaire était accusé d’avoir grièvement blessé par balles deux personnes à l’entrée du lieu de culte musulman de Bayonne, fin octobre. Il avait ensuite été interpellé à son domicile puis mis en examen, notamment pour « tentative d’assassinats » et « destruction de bien par un moyen dangereux pour les personnes commis en raison de la race ou de la religion ».

Nous n’en savons rien.

C’est une version des faits avancée par la vermine arabo-djihadiste de ce secteur.

En outre, un Français est par définition en état d’autodéfense quand il est entraîné dans une confrontation avec des envahisseurs musulmans. Partant, Sinké était innocent.

Et c’est maintenant un martyr.

Claude Sinké était suivi médicalement au sein du centre pénitentiaire en raison de « diverses pathologies » précise le procureur dans son communiqué, cité par France Bleu Pays basque. Mercredi après-midi, en prison, un médecin de l’unité de consultation et de soins ambulatoires a prescrit « sa conduite aux urgences du centre hospitalier de Mont-de-Marsan. Celle-ci était immédiatement réalisée. Il y décédait à 21h07« .

Pour Claude Sinké, c’est la voie directe pour le Walhalla.

Il boit désormais de l’hydromel en compagnie d’Odin.

N’oubliez pas de trinquer à sa mémoire.