Lituanie : le pape des juifs annonce aux Baltes qu’ils doivent accepter d’être submergés de nègres pour accomplir la volonté de Dieu

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 septembre 2018

« – Qui est ton maître ? 

-Bergoglio ! »

Bergoglio se déchaîne pour mettre à profit le peu de temps qu’il lui reste pour faire tomber toutes les défenses de l’Europe.

RFI :

Le pape a entamé samedi 22 septembre une visite de quatre jours dans les pays baltes. Les trois pays marquent cette année le centenaire de leur indépendance. Sa première journée en Lituanie, le plus catholique des trois pays, a été marquée autant par des rencontres avec des familles et des jeunes que des temps de prière.

L’arrivée du pape était certainement l’événement le plus attendu de 2018 en Lituanie. Sa descente de l’avion a donc été retransmise en direct par toutes les télévisions et les sites d’informations.

Kristina, étudiante, le suit depuis son arrivée, sur son téléphone portable, puis ensuite sur la place de la cathédrale. « C’est un événement historique pour la Lituanie. C’est l’une des personnes les plus influentes. Il arrive à réunir les gens et c’est beau à voir », confie-t-elle.

Des mains de la présidente, le pape François a reçu une cloche. Un cadeau symbolique. Il y a 100 ans, comme pendant l’époque soviétique, l’Eglise a joué un rôle primordial dans les processus d’indépendance. Et le souverain pontife a fait de l’histoire lituanienne et de ses traumatismes l’un des moments-clés de son allocution devant les autorités.

Arunas, un retraité, a pris ses jumelles pour l’apercevoir près la porte de l’Aurore, un lieu de pèlerinage. Il a particulièrement apprécié qu’il cite l’hymne lituanien dans son discours. « Il nous rappelle, comme un symbole, que notre pays est libre. Il y a encore peu, cette visite aurait été impossible. »

Ces gens vivent dans un autre univers.

Ce n’est pas étonnant en soi, après tout, nous avons bien nos boomers antifascistes qui pensent avoir été libérés en 1945 et se félicitent de voir leurs filles se faire violer par des nègres et des arabes au nom des droits de l’homme.

Mais ils ressassent leur anti-soviétisme sans avoir compris qu’ils sont désormais sous l’occupation de l’Union Européenne qui d’ici peu les fera regretter l’URSS dont la brutalité archaïque était loin d’égaler le nocivité destructrice du judéo-socialisme occidental.

Car ce ne seront pas quelques divisions soviétiques qui les occuperont bientôt mais des hordes de nègres et de djihadistes.

Et c’est précisément l’agent des juifs Bergoglio qui est venu le leur expliquer.

Arrivé sur le sol lituanien, le pape François a d’abord évoqué, sans les nommer, « les voix qui sèment la division et l’affrontement », en instrumentalisant l’insécurité ou les conflits, ou « proclament que l’unique manière possible de garantir la sécurité et la survie d’une culture réside dans l’effort pour éliminer, effacer ou expulser les autres ».

Puis, pour mieux contraster, il a loué « la tolérance et l’hospitalité » des Lituaniens. Pour le souverain pontife ce pays à un message à transmettre au monde, 25 ans après la chute de l’URSS : celui d’avoir su garder une âme généreuse et hospitalière malgré l’oppression. Comme il l’a demandé devant les autorités du pays, la Lituanie, nation exemplaire, doit revendiquer ces valeurs. Pour le pape, ce message doit particulièrement être porté auprès de l’Union européenne, alors que certains, dit-il, voient dans le repli sur soi le seul moyen de sauver leur culture. Référence non voilée aux pays anti-immigration d’Europe de l’Est. Cette nécessité de l’accueil des autres est même un devoir pour les chrétiens, a insisté le pape dans un autre discours. Ne pas le faire, c’est refuser Dieu.

Braves goyim.

Vous n’alliez pas refuser Dieu, si ?

Il ne sert à rien de s’opposer à sa volonté.

La perfide flatterie de ce pape juif signe l’origine satanique de ses oeuvres.

Ses propos critiques, prononcés en Europe de l’Est, ont paru viser surtout les pays du groupe de Visegrad (Pologne, Hongrie, République tchèque est Slovaquie), dont les autorités n’ont pas voulu accueillir sur leur territoire les réfugiés et les migrants économiques arrivés massivement en Grèce et en Italie. « Vous, Lituaniens, vous avez une parole originale à apporter: « accueillir les différences ». Par le dialogue, par l’ouverture et la compréhension, celles-ci peuvent devenir un pont qui unit l’Orient et l’Occident de l’Europe. »

De facto, l’Eglise Catholique est un simple appendice de la juiverie qui vient s’ajouter à ce qu’est déjà la franc-maçonnerie et l’Internationale Socialiste. Je ne vois pas pourquoi nous continuons à considérer cette organisation différemment, au motif que nous aurions des églises – vides – dans nos villages.

Ce qui reste de cette église a juré d’utiliser toute son énergie à détruire l’Europe, c’est factuel.

On peut même dire que la droite juive, avec son papisme débilitant, participe de cette subversion alors que cette organisation mafieuse ne rate jamais une occasion de cracher sur les partis de droite du continent pour mieux se jeter aux pieds des marxistes et des juifs qui la méprisent pourtant ostensiblement.

Dites-moi ce que nous sommes censés en faire puisque, concrètement, ceux qui l’encadrent de bas en haut – et je ne parle pas ici des sédévacantistes qui sont une portion infime des Catholiques – sont nos ennemis déclarés ?