L’islam, un cadeau de la Providence pour la destruction de cette république juive antiblanche

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 mars 2021

 

Deux dates sont à effacer de l’histoire : 1789 et 1945.

Avant d’effacer 1945, il faut d’abord effacer 1789.

Bonne nouvelle, c’est exactement ce qui se passe sous l’effet de l’immigration afro-musulmane qu’ont organisé les doctrinaires de l’Une-et-Indivisible pour « faire table rase » de la France blanche.

Mais désormais c’est la panique générale au sein de la bourgeoisie judéo-maçonnique.  Elle prend conscience que le scénario écrit par elle n’allait pas évoluer dans le sens prévu.

C’était tout l’objet du sondage commandé par les juifs de la LICRA qui indique qu’une majorité écrasante de noirs et d’arabes exigent la charia partout. « Des lycéens », disent-ils pudiquement.

La presse rouge a préféré y voir les aspirations d’une « jeunesse anglo-saxonne ».

« Mohammed, l’anglo-saxon » – JeanJournaliste dit La Pute.

Lol.

Peu importe comment les plumitifs désinforment sur le sujet, la réalité ne varie pas pour autant : l’islamisation intégrale de la société est aux portes. Ce n’est plus qu’une question de temps avant que Marianne finisse égorgée dans le caniveau par Kader et ses frères après une tournante règlementaire au fond d’une cave.

Je suis très attentivement pour vous les états d’âme de la bourgeoisie républicaine, socle de la juiverie en France qui peuple les ministères, les préfectures, les machins administratifs, les médias. La même bourgeoisie qui utilise l’appareil d’état pour nous persécuter, imposer des nègres dans nos villages et surveiller le moindre mot que nous disons sur les réseaux sociaux quand nous n’en avons pas été exclus sur ordre du gouvernement.

Et la terreur a visiblement changé de camp.

Pierre ne sait même pas distinguer des jeunes Français de bougnoules et de nègres mais il va nous expliquer le « pourquoi ».

Le retour brutal de la psychologie évolutionniste dans la salle à manger des salonards parisiens signe la victoire du déterminisme racial. Donc, par procuration, de notre victoire idéologique.

Aucun bouquin écrit par un charlatan juif ne peut combler des dizaines de millénaires d’évolution et tous ces bourgeois sont en train d’en faire la cruelle expérience. Après « La dialectique peut-elle casser des briques », voici « Les Droits de l’Homme peuvent-ils ajouter 20 points de QI à des cafres ? ».

Au sein de cette bourgeoisie inquiète qui a façonné le système depuis 200 ans, il faut distinguer deux catégories : les demeurés et les juifs.

Les demeurés sont tous ces post-chrétiens optimistes qui professent stupidement leur rêve de société idéale sans frontières sous la direction étroite du juif. « Marxistes », « humanistes » ou « démocrates », peu importe, ce sont les mêmes.

Le dernier entretien d’Onfray est parfaitement représentatif de cette classe. Il n’est pas du tout surprenant que ce type venu du gauchisme universitaire soit devenu la coqueluche de la réaction républicaine.

Au fond, ce type est un esclave des juifs qui feint de s’ignorer.

Je ne sais pas comment cet escroc a pu se revendiquer de Nietzsche tant il pue la démocratie émolliente.

Les juifs quant à eux n’ont jamais consommé du poison qu’ils versaient dans les puits de la bourgeoisie française. Ils n’ont jamais cessé d’être une entité tribale étrangère parfaitement consciente de l’être. Pour les intellectuels juifs, promouvoir l’individualisme au sein de la bourgeoisie n’a jamais été qu’un moyen de dissoudre les défenses collectives des autochtones pour s’infiltrer au sommet de l’appareil d’état et faire de la France un état juif.

Ce que l’on appelle la République.

La juiverie aidée de ses golems républicains et marxistes pensait pouvoir dissoudre les masses immigrées de la même façon que les Français de souche. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle elle les a importé en premier lieu : pour dissoudre biologiquement la France dans un bain créole où les juifs seraient la seule force collective capable de se mouvoir de manière coordonnée, aidée seulement d’une autre force collective destructrice que sont les sodomites.

Toute la politique des juifs a consisté à interdire aux Blancs de s’organiser en force collective consciente d’elle-même. Ce qu’ils appellent le « racisme », privilège que les juifs se sont arrogés  institutionnellement, notamment grâce à la religion de l’holocauste.

La stratégie des juifs souffre cependant d’un écueil majeur : nègres et arabes sont incapables d’accéder à toute forme de pensée individuelle en raison d’un QI trop faible. Leur cervelle ne peut pas penser l’individu. Ils restent un agrégat indifférencié régi par le mimétisme, mimétisme encore renforcé par des millénaires d’une endogamie effrayante. Nègres et arabes sont donc incapables de se dissocier de leur groupe racial dont la « religion » n’est que leur surmoi racial à travers les siècles.

Les nègres étant incapables de créer quelque système religieux que ce soit, l’islam leur offre une personnalité collective facilement assimilable. C’est ce qui permet aux arabes de disposer de millions de supplétifs dociles qu’ils agitent contre l’ordre démocratique juif. Du coup, loin de dissoudre quoi que ce soit, les juifs ont importé un bloc de 15 millions d’allogènes inamovibles dont la structure mentale est façonnée par le sémitisme islamique. Et le propre du sémitisme est la domination par la terreur.

L’essentialisme tribal des masses islamiques redevient la force sociale organisatrice. Ce que les juifs appellent fielleusement le « communautarisme » – comme si ces hébreux n’étaient pas organisés en communauté.

Platon, le détraqué fondamental

Le platonisme atavique de la bourgeoisie blanche, habilement instrumentalisé par les juifs, est en train de se briser sur le mur de la génétique, faisant s’effondrer du même coup l’illusion égalitaire grâce à laquelle les juifs ont instauré leur cosmopolitisme d’état et leur dictature raciale de droit divin.

Pour ceux qui ne comprennent pas le problème fondamental qu’affronte la race blanche, tout se passe au niveau de la structure psychologique des Blancs. La maladie mentale qu’on appelle le platonisme, passé en contrebande sous la forme du christianisme puis du marxisme, a fini par convaincre les Blancs que la réalité est régie par des « idées » qui existent en tant que telles dans une dimension parallèle, comme des objets en suspension.

C’est un peu comme ces nègres animistes qui croient que les arbres ont un esprit même s’il est infiniment plus décent de dire que les arbres ont un esprit que de bâtir une société sur des abstractions théoriques censées exister dans une dimension invisible.

C’est le truc de ce vieux maniaque de Platon qu’on appelle le « mythe de la caverne ».

Le plus drôle est que ce marchand d’illusions qui prétendait déniaiser les gens est sans conteste le plus grand sophiste de l’histoire de la philosophie.

Platon croyait que la terre était au centre de l’univers, ce qui résume parfaitement le problème qu’ont les gens qui souffrent de cette pathologie qu’on appelle le platonisme : ils inventent un truc et décrète que l’univers entier doit être indexé dessus, simplement parce que.

Avec Saül de Tarse, Platon aurait dû être cloué par les couilles sur deux planches.

Habituellement, les Blancs atteints de cette maladie parlent de « valeurs morales » qu’ils décrètent universelles – par définition une abstraction est valable partout – mais qui sont simplement des trucs qu’ils inventent de toutes pièces.

Comme les « droits de l’homme » par exemple.

Toutes les utopies dégénératives sont le résultat de cette matrice fondamentale.

Au XVIIIème siècle, comme Saül lorsqu’il débarqua en Grèce, les juifs comprirent très vite tout l’avantage qu’il y avait à s’emparer de ces « représentations » invisibles promues par les « Lumières » pour les infecter progressivement par des idées juives de nature à servir les intérêts très terrestres et immédiats de la race juive.

C’est ce que nous voyons en permanence : le juif utilise la naïveté de l’idéaliste blanc en retournant ses abstractions contre lui-même. Le juif prêche l’antiracisme universel pour encourager l’homme blanc à se suicider de bon cœur pour mieux imposer sa propre dictature raciale. Au final, vous finissez dans un système où vous entendez parler de lutte contre le racisme tous les jours par un million de bouches blanches stupides alors que vous vous trouvez au milieu d’une féroce tyrannie hébraïque où le racisme juif se met en scène à toute heure du jour et de la nuit.

Il ne vient bien évidemment jamais à l’esprit d’aucun de ces Blancs sidérés d’établir un lien logique entre leurs hallucinations « morales » et l’omnipotence des juifs.

La survenue des masses du tiers-monde islamique et de leur tribalisme inoxydable vient de briser ce piège dialectique dans lequel les juifs nous avaient enfermés avec l’aide de tout ce qui est blanc en Occident et qui utilise un stylo.

Ces masses allogènes n’ont rien à foutre de leurs « valeurs » sorties de leurs cervelles malades.

Elles ne croient qu’en leur propre dictature raciale, contestant de facto l’imperium juif.

La bourgeoisie blanche sémitisée est actuellement en pleine dissonance cognitive et continue, comme un robot pété, d’essayer d’évangéliser les bougnoules et les nègres pour les amener à leur monothéisme démocratique. Et plus cette bourgeoisie enjuivée tente de rappeler à l’ordre ces masses afro-musulmanes, plus elles se radicalisent. La dynamique démographique étant ce qu’elle est, elle mène une bataille perdue d’avance pour sauver une république juive condamnée.

Le signe le plus fiable pour déterminer la mort d’une idée est de regarder si elle est partie mourir dans le cimetière politique qu’on appelle l’extrême-droite – qui n’est pas le fascisme.

Quand l’extrême-droite commence à braire sur le thème de la laïcité, c’est qu’il est temps d’éteindre les lumières. Au reste, on peut toujours compter sur l’extrême-droite française pour identifier le vrai problème : en l’occurrence, les cowboys du Texas.

L’islam, bannière de l’invasion non-blanche en Europe, va sûrement amener quelques Blancs à se convertir. Mais le plus gros va plus prosaïquement comprendre qu’il n’y a rien « d’universel » face à une invasion étrangère, que la démocratie n’est que la loi du nombre, ce qui, dans un pays où l’on devient minoritaire, n’est jamais une solution viable. Le communautarisme et le séparatisme blancs sont amenés à progresser rapidement dans les masses blanches.

Accueillons avec joie la guerre raciale qui va enfin nous libérer de cette syphilis de l’âme qu’est l’idéalisme égalitariste.

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