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Capitaine Harlock
Démocratie Participative
31 janvier 2018
Le degré d’insanité de l’ennemi n’a pas de limite. Comme nous le répétons ici invariablement : pour détruire l’homme blanc, une seule méthode est réellement efficace et elle se situe au niveau de la terreur psychologique.
La vidéo ci-dessous a été financée par Amnesty International.
En résumé, l’opération est simple.
Le caractère sadique n’est même pas édulcoré : il est volontairement amplifié. Même si l’hypothèse d’acteurs payés au rabais pour feindre d’être sous hypnose est possible.
Bien sûr, il s’agit du recours à la seule et unique arme dont dispose l’ennemi : la culpabilisation à outrance, jusqu’à la capitulation.
Le mécanisme adopté est simple : mettre en scène des cobayes blancs qui s’identifient sous la contrainte – par l’hypnose – aux migrants dans le but de susciter, dans le public blanc, une identification consentie. Une fois l’opération réalisée, la cible ne distingue plus sa personne ni son milieu de celui des autres. En l’occurrence, des migrants.
Le but est donc de casser les repères d’identification spatiaux, temporels, culturels afin d’empêcher la victime de défendre son intégrité physique et ses intérêts. Définition même de la guerre psychologique.
La guerre psychologique est l’utilisation de techniques psychologiques pour amener l’adversaire à penser qu’il est en position de faiblesse ou qu’il a intérêt à se rendre.
Ce qui ici nous : « Voyez comme vous vous sentez mal, vous aussi. C’est insoutenable n’est-ce pas ? Mais il existe un chemin de délivrance pour le malaise que vous éprouvez : accepter que ces migrants viennent ici. »
La situation est au surplus volontairement mensongère. Les fameux « réfugiés » sont en effet des victimes de la guerre.
Cette opération est d’autant plus obscène que l’on fait croire aux Blancs ciblés qu’ils ressentent ce que vivent ces hordes de nègres ou d’égorgeurs musulmans. Ce qui est, par évidence, du délire complet.
Encore et toujours, la bonté et la naïveté naturelles des Blancs d’Europe est exploitée à outrance par l’ennemi.
Alors qui pousse à cette nouvelle campagne de terreur contre les populations blanches d’Europe pour les pousser à accepter l’invasion, la soumission puis l’égorgement ?
Notons déjà que le fondateur d’Amnesty International est Peterson Benenson.
Fils unique d’Harold Solomon et Flora Benenson, Peter Benenson est né à Londres dans une famille juive. Son père, officier dans l’armée, est mort quand Benenson avait neuf ans. À l’âge de seize ans, avec des camarades de classe, il aide à établir des fonds pour venir en aide à des enfants orphelins victimes de la guerre d’Espagne. Il a pris le nom de Benenson comme hommage à son grand-père maternel, Grigori Benenson.
Il s’inscrit ensuite à l’université de Balliol, à Oxford, mais la Seconde Guerre mondiale interrompt ses études. De 1941 à 1945, Peter Benenson travaille au Bletchley Park, un manoir anglais qui fut le quartier général des services de renseignement britanniques durant la Seconde Guerre mondiale; les cryptologues alliés y déchiffraient les messages allemands codés avec Enigma et la machine de Lorenz.
Juif, affilié au services de renseignements britanniques durant la Deuxième Guerre Mondiale.
Il y a plus.
En premier lieu nous pouvons voir que l’ONG dispose de plusieurs strates. Amnesty International est la première façade mais derrière nous retrouvons Amnesty International Charity Limited qui est une association enregistrée comme charitable et c’est par celle-ci que passe les financements d’Etats et de groupes corporatistes.
Georges Soros, milliardaire notamment accusé de délit d’initiés en France par la Société Générale est à la tête de la fondation Open Society Institute, qui promeut la démocratie, est l’un des plus gros donateurs d’Amnesty International Charity Limited. Il a déjà investi plus de 100 millions de dollars au sein de l’ONG. (Peut-être dans un souci de conscience et de transparence vis à vis des Etats).
Derrière, le juif international.
