L’idée d’une république sécessionniste blanche remporte un franc succès parmi les Democrates

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 Juin 2020

Défends ta peau, défends ton drapeau !

C’est avec plaisir que j’ai constaté l’enthousiasme des Democrates pour le projet d’une république blanche de Bourgogne. Cet embryon d’idée est déjà vivement discuté, ce qui est un premier pas important. Cette idée aurait paru totalement absurde il y a encore 5 ans. Le fait qu’elle entre en résonance avec un certain nombre de personnes traduit bien la prise de conscience progressive des bouleversements historiques que nous vivons.

Naturellement, elle suscitera une très vive opposition, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite, mais c’est indifférent. Il faut un horizon concret pour les nôtres, un horizon qui soit capable de raviver l’espoir en eux, un horizon qu’ils savent pouvoir atteindre s’ils osent.

Bien évidemment, cette idée sera encore tournée en dérision pendant une certaine période mais ce n’est pas important. Ce qui importe, c’est d’anticiper ce qui va se passer d’ici à la moitié de ce siècle, plus encore à la fin du 21ème siècle. Les perspectives démographiques en France sont sans appel : les Blancs y seront minoritaires d’ici à 2060 environ. Immigration de masse, dénatalité autochtone, surnatalité allogène, émigration des Français de souche par manque d’opportunité économique, métissage marginal mais réel, sont autant de phénomènes systémiques qui produiront des effets parfaitement prévisibles. Des villes et départements entiers  basculeront bien avant la moitié du siècle. Ou ont déjà basculé, comme en Seine-Saint-Denis.

Tout cela entraînera des bouleversements inédits dans l’histoire de France et de l’Europe. Ce à quoi il faut ajouter la faillite financière inévitable de l’Etat Français sous le poids des dettes et des retraites.

Face à une situation aussi radicalement nouvelle, il faut des solutions radicalement nouvelles.

J’entends bien sûr que d’autres parties de la France pourraient s’organiser en corps d’états blancs. Mais comme je le disais hier, il faut bien commencer quelque part.

Puisque nous en sommes au stade de la discussion libre, voici une première ébauche territoriale d’un état blanc de Bourgogne. C’est une suggestion. Vous observerez que ce territoire ne se limite pas à la Bourgogne à proprement parler. J’y ai adjoint la Lorraine, l’Alsace et la Savoie. Des Belges ont également proposé d’associer le Luxembourg belge, jusqu’à Bouillon, à ce projet d’état racial.

Il existe un fort sentiment ethno-autonomiste en Alsace-Moselle et il est possible que des Alsaciens et Mosellans protestent face à ce projet bourguignon. Ce que je leur dirais, c’est que cet ensemble fédératif offrirait à l’Alsace des libertés sans commune mesure avec ce que lui offre aujourd’hui cette république judéo-africaine dont la tête est située à Paris. Il en va de même pour la Savoie dont l’histoire étatique ne doit pas être négligée.

Un tel ensemble compterait 10 millions d’habitants et occuperait un espace stratégique avec de nombreux débouchés vers l’Italie, la Suisse, l’Allemagne et les Pays-Bas. L’accès au Rhin est particulièrement important, ce qui rend la participation de l’Alsace à un tel projet essentielle. Sa superficie est considérable, la Bourgogne – Franche Comté ayant une densité assez faible, il y a énormément de terres disponibles.

Cette ébauche territoriale est naturellement ouverte à débat.

Ce concept de république blanche de Bourgogne peut exercer une puissante force d’attraction sur les esprits qui cherchent une étoile polaire dans la nuit actuelle. Et l’imaginaire est un élément crucial pour mobiliser des hommes.

Je n’ignore pas qu’un état de Bourgogne était le projet de Léon Degrelle. Degrelle lui-même cherchait un grand mythe historique qui soit de nature à sortir les Belges de leur complexe d’infériorité face à leurs puissants voisins, Allemands y compris.

Les Democrates qui adhèrent à l’idée se demandent bien sûr comment commencer. Ce ne sera pas un chemin de roses, je pense que tout le monde en est conscient mais je préfère le souligner d’emblée. Le sécessionnisme, surtout s’il est motivé racialement, ne sera pas identifié comme une initiative anodine par le régime républicain. Aux premiers mouvements, il en saisira tout de suite la gravité systémique. Il faut comprendre ici qu’un tel projet avant même d’arriver à terme suffirait à faire s’effondrer la république française comme jadis s’est effondrée la Yougoslavie communiste sous le poids des forces centrifuges ethniques et religieuses.

Une telle perspective plongerait les juifs dans l’effroi total.

Le spectre démocratique

Après avoir parcouru les premières suggestions de la part des Democrates, certains ont évoqué la participation aux élections. Il va sans dire que notre projet n’est pas démocratique, au sens populacier du terme, et qu’importer les maux de la démocratie ne ferait que proroger la situation actuelle sous un autre nom. Je ne suis cependant pas formellement opposé à l’idée de participation électorale pour des raisons de pure propagande.

Ceci dit, l’idée étant raciste et sécessionniste, le régime juif empêcherait légalement toute participation électorale qui évoquerait explicitement les buts fondamentaux d’une république blanche dite « bourguignonne ». Mais encore une fois, l’agitation électorale offre un réel avantage en terme de propagande. C’est donc ouvert à débat, je suppose.

Pour des raisons évidentes, nous, à Democratie Participative, ne pouvons pas lancer d’initiatives directement sur le terrain. La police politique interviendrait immédiatement en recourant à sa traditionnelle méthodologie : écraser très tôt les têtes pour éviter que le mouvement ne s’étende. Que le mouvement résiste aux premiers assauts de l’Etat Français et vous verrez la résolution de Paris s’évanouir aussi vite que sa fureur s’est manifestée. Tel est le caractère immuable de l’Etat Français : aussi brutal qu’indécis.

Il revient donc aux volontaires Democrates de s’organiser sans revendiquer de lien avec notre média. Aussi hostile que soit Paris, il lui sera de la sorte difficile de réagir, faute de liens organiques.

Première priorité : la propagande

La première tâche du mouvement bourguignon consiste à faire connaître l’idée bourguignonne comme idée séparatiste et inviter à la création d’autres républiques blanches (l’hypothèse d’une fédération de républiques blanches doit être étudiée). Nous devons donc nous focaliser sur la propagande afin que le dernier Blanc de France y soit exposé à un moment ou un autre. Marteler cette idée jusqu’à ce qu’elle devienne connue du grand public. Son potentiel médiatique est énorme tant le projet est explosif. Face à l’inévitable torrent de fiel hébraïque que nous subirons de la part de la presse juive, nous aurons bien évidemment le droit à l’évocation du « mysticisme nazi », citation de Saint Loup à l’appui. C’est une des raisons pour laquelle j’ai choisi la Bourgogne : le mythe existe déjà à l’état latent, il suffit de l’alimenter pour lui donner vie et stupéfier les esprits. Même si l’affaire est sérieuse, ce doit être aussi divertissant et captivant.

Personne, aujourd’hui, ne s’attend à la survenue d’un tel mouvement. Un mouvement qui n’a rien à voir avec le régionalisme habituel, généralement marxisant et tiers-mondiste, dans un territoire très largement épargné par les miasmes du cosmopolitisme dominant. C’est un Ovni politique.

Pour répandre l’idée, il faut un symbole facilement reproductible pour représenter cette idée, y compris sur les murs. Il faut aussi des slogans.

Certains demandent des signes de reconnaissance. S’ils sont discrets, c’est une possibilité. Des pin’s frappés de la Croix de Bourgogne sont disponibles dans le commerce, tout comme des drapeaux.

Deuxième priorité : s’organiser

Pour répandre l’idée, il faut un instrument dédié à la propagande. C’est ici que débute l’organisation. Des initiatives doivent être proposées en dehors de DP.

La création d’une organisation officielle est une possibilité mais cela implique pour elle de limiter ses initiatives à ce que la loi du régime permet. Ce qui est par définition très limitatif. S’y ajoute automatiquement la surveillance par la police. La police n’aime rien tant que de pouvoir ficher et infiltrer.

J’ai déjà dit ici que je suis personnellement opposé à la constitution de partis et de mouvements officiels qui finissent de toute façon par être dissouts, une fois le fichage opéré. Certains sont en désaccord avec moi à ce sujet mais ils ne doivent pas oublier que contrairement aux antifas, le régime met tous les moyens contre les nationalistes. Encore plus dans le cas d’un projet sécessioniste blanc. Surtout dans l’environnement de guerre raciale actuel.

Un réseau discret peut d’ores et déjà agir de manière asymétrique (non-violentes, cela va sans dire) pour faire avancer l’idée. Là encore, c’est ouvert à la discussion.

Troisième priorité : la narration historique

Une autre étape importante, au sein du mouvement, consiste à forger une histoire « nationale » bourguignonne (étendue aux différentes régions constitutives de la république de Bourgogne) en lisant et faisant lire des ouvrages sur l’histoire du pays. Cette histoire est bien évidemment orientée en ce sens qu’elle vise à donner une profondeur historique à l’action raciale présente et future.

Quatrième priorité : la colonisation

Ce terme peut paraître impropre : les Français ne peuvent pas « coloniser » leurs propres terres. Mais chacun comprendra qu’il s’agit de décrire l’installation des Blancs sur le territoire de l’état blanc de Bourgogne.

Il est d’ores et déjà possible d’appeler les Français de race blanche à s’établir dans le futur état.  Tout spécialement ceux qui cherchent à fuir les grandes villes racialement sinistrées. Sans être forcément facile pour tous, une telle installation est autrement plus aisée pour un Français que pour un juif qui veut faire son alyah en Israël. Cette transition géographique est quasiment indolore pour un Français de souche.

Ce qu’il faut éviter

Je sais que certains voudront des réponses immédiates et des plans complexes mais ce n’est généralement pas comme cela que les choses fonctionnent en politique. Il faut une grande flexibilité, une capacité à s’adapter et à inventer. Il faut aussi rester très minimaliste dans son approche d’un problème et éviter de s’éparpiller en cherchant des réponses sophistiquées.

L’idée reste simple et doit être promue simplement : une république blanche créée par et pour des Blancs sur une partie du territoire français actuel. La pression raciale induite par l’immigration extra-européenne portera 90% du projet. Nous n’avons aucun soucis à nous faire à ce sujet.

Au minimum, ce projet pourra marquer une prise de conscience raciale et communautaire blanche (« communautariste » selon la terminologie républicaine) en France.

J’invite aussi à rester pratique pour conjurer la mythomanie.

Il ne faut pas tenir compte des oppositions ou des démoralisateurs. Partez du principe que vous serez insultés comme vous l’êtes déjà tous les jours. Seul le motif des injures changera. Il y aura par définition une opposition extrêmement vive, de tous les bords. Mais l’idée se suffit à elle-même et n’a pas besoin d’être validée par nos opposants pour exister. Croire.

Il ne faut pas cultiver ce qui divise mais ce qui rassemble. Si une question secondaire divise, elle doit être ignorée. Unir.

Il ne faut pas commencer en se disant ce qui ne peut pas être fait mais, au contraire, ce qui peut l’être. Agir.

Une sous section spéciale sur EELB sera créée par sa modération pour permettre aux Democrates de discuter dans le détail de ce grand projet.

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