L’horrible Marine Le Pen dénonce Julien Odoul pour avoir qualifié Adama Traoré de « racaille » et s’engage à lutter contre tous ceux qui ne croient pas à l’égalité des Blancs avec les singes

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 Juin 2020

Après une semaine d’insurrection raciale, nous avons enfin des nouvelles de l’alcoolo-tabagique à la tête du Rassemblement National.

Marine Le Pen donc.

S’exprimant sur la radio juive France Inter en la présence du plumitif israélite Nicolas Demorand, cette vieille éponge imbibée de vin blanc a réussi à formuler à peu près deux choses. Premièrement que son élu homosexuel Julien Odoul était un idiot pour avoir qualifié Adama Traoré de « racaille » ayant mérité son sort et deuxièmement que le « racialisme » était incompatible avec la France antillaise à laquelle elle aspire.

Le Figaro :

Un recadrage en règle. Invitée de France Inter ce mercredi, Marine Le Pen a vivement désapprouvé les propos de Julien Odoul sur la mort d’Adama Traoré, dénonçant une «belle sottise». En cause, la récente sortie du conseiller régional RN, qui a estimé mardi sur CNews que le jeune homme, décédé lors d’une interpellation en 2016, «n’a pas été tué parce qu’il était noir» mais «parce que c’est une racaille».

«Je le dis de la manière la plus claire qui soit. Cela ne justifie pas, évidemment, que l’on considère que, parce qu’on est délinquant, on doit prendre le risque de mourir», lui a répondu Marine Le Pen. Pour rappel Julien Odoul avait déjà suscité la polémique en octobre 2019, lorsqu’il avait publiquement exhorté une accompagnatrice scolaire – devant plusieurs enfants dont son propre fils – à enlever son voile, lors d’une assemblée plénière du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté.

Apparemment, Marine Le Pen estime qu’un « délinquant » ne doit pas mourir, jamais.

Du moins si c’est un nègre.

Je crois pouvoir dire que c’est nouveau, même pour le premier parti LGBT de France. Jusqu’à présent, le RN mariniste feignait encore d’approuver, ici ou là et à dose homéopathique, un semblant de position sécuritaire. Désormais pour Marine Le Pen, plus aucun de ces nègres agressifs dealer de dope ne doit mourir du fait de ses activités professionnelles.

Mais Marine Le Pen voit quelque chose de plus grave : le racisme.

Concernant les revendications du collectif de soutien à Adama Traoré, la patronne du RN a appelé au refus du «mouvement racialiste» en France. «Le racialisme, c’est l’idée qu’il faut organiser la société en fonction de communautés envisagées autour de leur origine ou de leur couleur de peau. C’est fondamentalement l’inverse de la vision française qui est en réalité l’individualisation des rapports humains», a-t-elle établi.

Au moment où la fin du mythe de l’égalité raciale approche et où l’utopie multiraciale s’effondre sous le poids de ses contradictions bio-anthropologiques, le RN annonce vouloir devenir le parti antiraciste de France, loin devant les autres et très loin devant Macron.

Marine Le Pen veut empêcher des races incompatibles de se séparer. Cette horrible femme veut défendre coûte que coûte le lupanar multiracial républicain et vous l’imposer, à vous, pendant qu’elle se sucre avec des mandats électifs, loin des bougnoules et des nègres de banlieue. En raison des droits de l’homme ou de 1789, ou allez savoir de quelle autre ineptie.

Ceci dit, Marine Le Pen aime trop le rhum et ses mulâtres antillais pour formuler autre chose qu’un resucé de ce que dit déjà la Licra.

Ceux qui lisent régulièrement les colonnes de ce site savent que j’ai annoncé l’inévitable dégénérescence antiraciste de la droite hexagonale.

Lire : Avec l’aide des racialistes allogènes, nous allons enterrer le dogme antiraciste des Boomers

Je pourrais revenir sur cette farce grotesque que sont ces divagations du RN mariniste mais ce serait une perte de temps et d’énergie. Il me suffit de dire que, quoi qu’il arrive, l’implosion de la France en une myriade d’enclaves raciales et religieuses est inéluctable. La guerre raciale est inéluctable, que cela vous plaise ou non.

Ce que propose l’alcoolo-tabagique, sur conseil de l’obscur scribouillard qui lui fait ses fiches les lendemains de cuite, c’est de placer la Yougoslavie hexagonale en soins palliatifs pour faire durer l’agonie quelques années supplémentaires. Je ne suis pas favorable à l’acharnement thérapeutique, surtout pour faire vivre un jour de plus cette République juive en voie de négrification finale avec ses slogans antifas.

Lorsque Jean-Marie Bigard a déclaré vouloir tenter sa chance en 2022, j’ai immédiatement été enthousiaste. Pour une raison essentielle : asphyxier électoralement la grosse Le Pen au premier tour est une question de salut public.

La délepénisation du nationalisme est une nécessité urgente, sauf à vouloir finir avec une dynastie de rombières multidivorcées qui nous chanteront le miracle républicain mahorais.

J’espère vraiment que Jean-Marie va franchir le pas. Vraiment.

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