L’ex premier ministre israélien révèle qu’il a convaincu Poutine de ne pas assassiner Zelensky

La rédaction
Démocratie Participative
05 février 2023

Naftali Bennett a réussi à sauver la tête du juif Zelensky, plongeant le monde dans une nouvelle guerre mondiale

Au moins, ce n’est pas une source antisémite.

The Times of Israël :

L’ancien Premier ministre Naftali Bennett a déclaré dans une vidéo publiée samedi que le président russe Vladimir Poutine lui a assuré, aux premiers jours de la guerre, qu’il ne tuerait pas le président ukrainien Volodymyr Zelensky…

« Il m’a fait deux grandes concessions », a déclaré Bennett à propos de sa rencontre avec Poutine le 5 mars 2022, lorsqu’il s’est rendu à Moscou dans un effort de médiation peu après le début de l’invasion russe.

« Je savais que Zelensky était menacé, dans un bunker… J’ai dit à [Poutine] : « Avez-vous l’intention de tuer Zelensky ? » Il a répondu : « Je ne tuerai pas Zelensky »« , s’est souvenu Bennett dans l’interview, qui a été publiée sur sa propre chaîne YouTube.

Bennett a déclaré qu’il avait appelé le président ukrainien immédiatement après la rencontre de trois heures avec Poutine, et lui avait dit : « Je viens de sortir d’une réunion – [Poutine] ne va pas vous tuer ».

Zelensky] m’a demandé : « Vous êtes sûr ? ». J’ai répondu à 100 %. [Poutine] ne va pas te tuer « .

Bennett se souvient : « Deux heures plus tard, Zelensky est allé dans son bureau, et a fait un selfie dans le bureau, [dans lequel le président ukrainien a dit :] ‘Je n’ai pas peur’. »

Ton héros à la rescousse de la démocratie, goy !

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« J’ai besoin de comprendre. Me donnez-vous votre parole que vous ne tuerez pas Zelensky ? » Bennett dit avoir demandé à Poutine.

Bennett a dit que le président russe a répété : « Je ne tuerai pas Zelensky. »

Selon des rapports non confirmés, de multiples tentatives d’assassinat contre Zelensky ont été déjouées depuis le début de l’invasion russe. Ces complots auraient impliqué des mercenaires du groupe Wagner, une société de sécurité contrôlée par l’allié de Poutine Yevgeny Prigozhin, ainsi que des forces spéciales tchétchènes.

Bennett a également déclaré que « tout ce que j’ai fait [dans l’effort de médiation] était coordonné avec les États-Unis ».

À l’époque, la réunion était la première rencontre de Poutine avec un dirigeant étranger depuis l’invasion de l’Ukraine par les forces russes. Lors de ce voyage, Bennett était accompagné de Ze’ev Elkin, alors ministre du logement, qui faisait office de traducteur et de conseiller.

M. Bennett, premier Premier ministre orthodoxe d’Israël, s’est rendu à Moscou le jour du Shabbat, ce que la loi juive interdit aux juifs pratiquants, bien que des exceptions soient prévues pour les situations médicales ou de sécurité dans lesquelles la vie est menacée. Elkin est également religieux.

Le juif Bennett a violé le shabbat pour sauver la peau du juif Zelensky. Aussitôt cette concession obtenue par les juifs, leur juif à Kiev s’est immédiatement mis à exploiter la situation pour tourner Poutine en ridicule.

Les médias juifs ont vendu ce rat épargné par Poutine comme l’épitome du mâle alpha made in Marvel

Cela ne loupe jamais, à aucune époque et dans aucun pays : faites preuve de faiblesse avec ces juifs et ils vous dévorent dans la demi-heure.

Le manque de lucidité à propos de la race juive a poussé Poutine à commettre cette erreur.

Zelensky devait être la cible prioritaire de l’opération, dès la première minute de son lancement. Le contrecoup aurait été la palme du martyre démocratique offert au juif, mais cela aurait été compensé par l’effroi de la presse occidentale. C’est une erreur que n’aurait pas commis Adolf Hitler. Le Führer se serait assuré d’avoir le juif pendu à un lampadaire sur la plus large avenue de Kiev le soir même avant d’en diffuser les clichés aux agences de presse du monde entier.

Le manque de détermination de Poutine a coûté à la Russie un temps précieux. Sa modération a laissé à ses ennemis le temps de s’organiser. À présent, ils sont tous unis pour anéantir la Russie.

L’Ukraine, comme état, devait être détruite dès le premier jour, son gouvernement décapité à la première opportunité.

Personnellement, j’aurais utilisé l’arme nucléaire immédiatement contre toutes les concentrations de forces ukrainiennes. Non seulement cela aurait précipité l’effondrement de l’armée ukrainienne, mais cela aurait semé une telle terreur chez les membres de l’OTAN qu’aucun n’aurait osé livrer un seul casque à Zelensky.

L’affaire était conclue en une semaine et la paix garantie en Europe pour ce siècle.

Tergiverser démultiplie la durée et l’ampleur des destructions nécessaires à l’atteinte d’objectifs qui, avec l’agressivité, la rapidité et la surprise adéquates, seraient conquis en un court laps de temps.

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