L’euthanasie écologique des Boomers promue par les Verts radicaux m’a convaincu d’adhérer à l’éco-Nazisme

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 juin 2019

 

Je suis devenu un écofasciste. Un éco-Nazi.

Ma conversion remonte à hier après avoir visionné ce court extrait de l’émission d’Yves Calvi sur RTL. Une écologiste néerlandaise a proposé récemment d’interdire de soins des personnes des plus de 70 ans.

C’est-à-dire l’interdiction des soins pour les Boomers qui nous ont apporté en 50 ans :

  • La putisation des Blanches avec la pilule, l’avortement et le divorce
  • La tiers-mondisation raciale de la France
  • Le chômage de masse et la précarité professionnelle
  • L’endettement payé par l’austérité pour les futures générations
  • L’islamisation et ses dérivés halal
  • L’effondrement des arts
  • La baisse générale du QI
  • Le démantèlement du système éducatif
  • L’enlaidissement des villes à coups de rond-points et de zones commerciales
  • Le Sida LGBT
  • La délocalisation de l’industrie
  • L’euthanasie des petites communes
  • L’américanisation alimentaire
  • La religion de l’holocauste et la culpabilisation éternelle des jeunes Blancs
  • Un championnat de football digne de la CAN
  • L’explosion de la criminalité
  • Les émeutes raciales
  • Le retour de la gale, la tuberculose et autres maladies migratoires
  • Le djihadisme médiéval

Ou, en résumé, la destruction de 3,000 ans de développement civilisationnel par une seule génération d’antifas voulant baiser.

Avant de revenir sur cette proposition révolutionnaire, un rappel.

Aux élections, nous avons pu voir le succès électoral remporté par le système pour vendre l’austérité fiscale au nom de la lutte contre le réchauffement climatique.

Cette thématique est donc installée par les médias juifs qui en font un puissant levier de propagande. Le programme judéo-globaliste sera vendu au nom de la lutte pour le climat.

Qu’il s’agisse des taxes ou des migrants.

Jean-Marie Le Pen a comme moi senti l’importance de remettre l’écologie au coeur du National-socialisme dont elle découle.

Oui. Sans remettre les pendules à l’heure, les trains seront en retard. Et les trains sont très à la mode.

Je suis résolument pro-train.

L’idée de pouvoir génocider les Boomers en les laissant s’étouffer de diarrhée et de déshydratation dans le but de faire baisser la température a radicalement transformé mon approche de la question.

Nous allons pouvoir proposer notre projet de IVe Reich vert grâce à l’urgence écologique.

Outre le génocide naturel des Boomers, nous allons pouvoir également interdire l’immigration de masse au nom de la lutte contre la surpopulation ainsi que la stérilisation des nègres et des mahométans.

Nous allons pouvoir interdire la nourriture halal et kasher au nom du bien-être animal.

Arracher l’écologie des mains des juifs est une priorité fondamentale. Ces sales juifs ne peuvent pas s’empêcher de souiller et détruire tout ce qu’ils touchent, c’est-à-dire la création elle-même.

Le juif n’a de cesse de saccager la nature là où l’homme blanc, libre de toute influence sémitique, recherche l’harmonie avec elle.

Pour une raison simple : l’homme blanc, partout où il s’installe, se met immédiatement au travail et doit créer un équilibre de long terme entre la terre qui le nourrit et lui-même.

Du cerveau de l’aryen jaillit alors l’idée créatrice qui aide la nature à produire son plein potentiel. L’homme blanc façonne, génération après génération, son milieu afin d’atteindre cet équilibre optimal entre lui et la nature.

C’est particulièrement vrai en France où la diversité des climats et la créativité de la race gauloise ont produit des paysages d’une extrême variation et qu’admirent les peuples du monde entier.

L’homme blanc ne se met jamais en mouvement de bonne grâce et s’il le fait, c’est avec une seule question en tête, « Où trouver une terre fertile ? ».

Il doit immédiatement se mettre au travail pour bâtir quelque chose, mettre en valeur, produire.

L’esprit juif est totalement hermétique à cet esprit. Le juif, contrairement à l’Aryen, ne se sédentarise jamais et si jamais il en a l’air, c’est en réalité parce qu’il a trouvé un endroit d’où il peut exploiter le travail et les ressources d’autrui.

L’univers du juif est le même depuis des millénaires : la ville.

Il migre d’une ville à une autre, à la recherche d’une opportunité d’échange d’où retirer son or.

Il en va de même pour le sémite en général.

Il n’y a rien de commun entre le concept de ville aryenne et celui de ville africaine ou sémite. Ce que l’on nomme une ville en Afrique n’est qu’une agrégation démographique là où une ville aryenne est entièrement tournée vers le travail et l’échange du fruit du travail.

Une « ville » en Afrique n’est qu’une tribu de taille biblique. Elle n’a aucune finalité autre que d’agréger les nègres en un point fixe. Aujourd’hui comme dans mille ans, une ville nègre sera une grappe de nègres ahuris coagulés en un point sans autre raison que l’aimantation mutuelle qu’ils s’infligent les uns aux autres.

La notion même d’écologie est inconnue de la sous-humanité afro-orientale.

Les villes sémites quant à elles, lorsqu’elles existent, ne sont que des ports d’où le sémite tient ses comptes à jour entre deux opérations de brigandage commercial. Il était fatal que ce qu’on appelle abusivement « l’état juif » en Palestine ne soit que cela : un comptoir mordant sur la bande côtière du proche-Orient.

C’est d’ailleurs ce qui explique la grande maîtrise diplomatique du juif qui doit constamment jouer les intérêts des uns contre ceux des autres pour se maintenir, n’étant rien de par lui-même.

Le juif cependant préfère de beaucoup sémitiser une cité aryenne, en décapiter la direction organique pour s’y établir en nabab. On peut mesurer, avec une précision scientifique, l’état de sémitisation d’une cité ou de la capitale d’un état à la modification de sa composition raciale.

Plus un état est enjuivé, plus sa ville principale devient une Babylone des races.

La ville et l’état qu’elle porte s’émancipent de la terre et de la race pour devenir un parasite mortel.

Il n’y a ici aucun mystère : la moisissure ne peut se développer que sur ce qui pourrit.

L’Aryen, parqué à la ville comme c’est le cas depuis moins d’un siècle, devient un dégénéré, c’est-à-dire un sous-juif de synthèse. Un déraciné devenu une simple pièce rapportée dans le réseau urbain international qui suce l’énergie vitale de la partie productive et racialement saine de l’arrière-pays.

Le potentiel génétique de cet Aryen implanté dans une cité sémitisée ne sert plus qu’aux desseins juifs de réduction en esclavage des travailleurs blancs restés dans les replis des contrées rurales. En se levant chaque matin, il travaille à la destruction routinière de son peuple, le cerveau placé dans l’étau vigilant de la presse juive et des antidépresseurs.

Une mycose d’imitation.

Adolf Hitler, écologiste radical

Le système d’exploitation cohérent du juif ne peut être balayé que par un système non moins cohérent, total, qui libère l’Aryen en lui proposant une alternative raciale et sociale complète. Une alternative qui ne peut que procéder de l’esprit aryen et de sa relation étroite à la terre qu’il travaille et façonne.

Une révolte du sédentaire, du particulier, de la continuité, de la frontière contre le vagabondage destructeur que promeut le juif, pollueur du sang et voleur de terre.

Adolf Hitler, héros et martyr de la race blanche, a été mortellement persécuté par les juifs pour avoir arraché le peuple allemand à la déchéance mortelle que lui promettait le juif et son bolchevisme culturel.

Et si Adolf Hitler a pu être le Saint Jean-Baptiste de la révélation aryenne, c’est parce que cet être, profondément humain, était puissamment connecté à la terre de ses ancêtres comme à la nature en général, puisant sa force spirituelle de cette reconnection opérée en dépit de la décadence moderne.

Adolf Hitler, un être rongé par la cruauté ? Lui, profondément affecté de ne pas avoir d’enfant en raison de son sacrifice total pour sa patrie, serait donc plus cruel que toute la juiverie coalisée qui, chaque jour que Dieu fait, nous vomit ses rêves génocidaires contre le monde blanc ?

Seuls les juifs menteurs et les cervelles rongées par le sémitisme peuvent oser répandre de telles insanités.

L’homme était tout de sensibilité et de sincérité.

Et surtout, l’homme de la montagne comme du lac et du torrent. L’homme de la méditation à l’écoute de la nature.

C’est cet homme-là que les juifs ont poursuivi de leur haine et persécuté. Mais la mort d’un tel homme ne suffit pas au démon juif, cette bête a un appétit beaucoup trop énorme pour se satisfaire de la mort d’un homme, fût-ce un géant comme Adolf Hitler.

Il lui faut encore le faire maudire par ceux qu’il a essayé de sauver de la damnation juive.

Aujourd’hui, Adolf Hitler, l’homme qui a libéré son peuple, est insulté quotidiennement par ce même peuple retombé en esclavage.

Le juif a voulu avertir quiconque oserait vouloir rompre les chaînes de l’esclavage, que non seulement la mort l’attendait mais que tous ses efforts et ses actes d’héroïsme seraient transformés, par l’art du mensonge juif, en crimes éternels dans les yeux mêmes de ceux pour qui ils ont été consentis.

Le juif veut voir votre famille, vos parents comme vos enfants, vous haïr et souhaiter votre mort

Ce que veut voir le juif sadique, c’est l’inceste meurtrier dans chaque famille blanche, lui le yid qui couche avec sa propre mère, génération après génération.

C’est à ce régime qu’est soumise l’Allemagne et, avec elle, toutes les nations blanches depuis le 8 mai 1945.

Et le juif entend bien que cet inceste meurtrier soit célébré par ses propres victimes.

Quel est l’enseignement d’Adolf Hitler, militant écologiste radical ?

« Aussi faut-il étudier les lois de la Nature pour ne pas agir contre elle, autrement, ce serait s’insurger contre le ciel. S’il me faut croire à un ordre divin, c’est celui-ci : préserver l’espèce. »

Voilà l’enseignement fondamental.

Le juif savait que le retour à la nature de l’humanité aryenne était inévitable. Ce calculateur savait que ce serait, pour l’homme blanc, le début d’un gigantesque réveil spirituel. Il ne pouvait pas ne pas subvertir, détourner, singer, récupérer, spéculer sur une telle évolution.

Quelles sont les figures de proue du pseudo écologisme messianique et financier actuel ? Les Cohn-Bendit, les Benhamias, les Waechter, les Le Page.

Le bolchevisme juif a changé de caftan mais il pue toujours autant.

Alors qui, de ceux qui défendent l’instinct de vie ou l’instinct de mort sont les véritables écologistes ?

Qui, des racistes ou des pollueurs de sang sont ceux qui défendent la diversité biologique de la création ?

Le juif et son troupeau d’esclaves doit être confronté sur cette question comme sur les autres.

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