Captain Harlock
Démocratie Participative
25 mai 2019

« Et donc, j’ai été en retard au mariage de mon connard de beau-fils »

Une nouvelle victime de la folie meurtrière féminine.

La Montagne :

Un motard de 45 ans avait été tué dans un choc avec une voiture, l’été dernier, à Châtel-Guyon. La conductrice en cause a été condamnée a minima, ce mercredi, par le tribunal clermontois.

« Je suis persuadée d’avoir été prudente. Je fais toujours très attention. Toujours. » Face au tribunal clermontois, mercredi, la prévenue redit sa conviction de ne pas avoir commis de faute, le 27 juillet 2018, à Châtel-Guyon.

L’excuse merdique qu’une rombière sert dans n’importe quelle circonstance, qu’il s’agisse de votre téléphone qu’elle vient de bousiller et du père de famille qu’elle a tué.

Ce jour-là, vers 18 heures, la sexagénaire s’était engagée sur la RD 227 depuis un parking, au volant de son Scénic. Mais alors qu’elle traversait la chaussée à la perpendiculaire pour se mettre sur sa voie de circulation, une moto l’avait percutée de plein fouet à la sortie d’une courbe. Le pilote, un père de famille de 45 ans, n’avait pas survécu.

Faute d’expertise, la vitesse du deux-roues au moment du choc fatal n’a pas pu être estimée. Une incertitude soulevée par Me Chantelot, en défense, et qui a pesé dans la décision des juges. Reconnue coupable d’homicide involontaire, la conductrice écope d’une simple amende de 2.000 € avec sursis.

C’est incroyable.

Si cette Boomeuse n’avait pas été en tort, elle aurait été purement et simplement relaxée. Mais elle a bel et bien été condamnée.

Les magistrat-e-s ont donc reconnu sa responsabilité dans cet accident mortel.

« La prochaine fois Madame, vous paierez 2,000 euros. Alors faites attention sur la route, lol »

Mais ils ont tout simplement décidé de la laisser filer parce que bien sûr évidemment pourquoi pas.

En humiliant la famille du père et en crachant sur sa tombe au passage.

Carte blanche pour tuer des mecs

Je ne vois comment on pourrait interpréter autrement cette décision de justice que comme un permis de tuer des hommes sur la route délivré aux grognasses qui ont 4/10 à chaque oeil.

Et surtout les hommes à moto.

Les femmes fonctionnant normalement sont sexuellement attirées par les hommes à moto et veulent, a minima, monter derrière un homme à moto.

Les vaginocrates castratrices haïssent les hommes à moto.

Les plus masculines de ces goudous refoulées s’essaient à la moto pour pouvoir squatter cet espace de liberté 100% masculin.

Pour essayer de jouer aux mecs en essayant de s’emparer du phallus symbolique.

Rouler à moto est peut-être une des dernières expériences de réelle liberté que peut se payer un mec à bon marché avec la plongée, la randonnée et les sports de mer. Mais la moto a des qualités tout à fait particulières.

La moto est un domaine masculin

Inconsciemment, un homme à moto est forcément associé à la puissance de la machine qu’il conduit. Plus la moto est puissante, plus cela suppose de maîtrise.

Exactement comme les guerriers à cheval jadis.

Le risque inhérent à la conduite à moto excite les femmes parce qu’un homme qui prend des risques et se met en danger fait preuve des qualités combattives qu’une femme cherche à transmettre génétiquement à ses enfants.

C’est d’ailleurs vrai de toutes les professions à risque. Si d’aventure vous cherchez à choper une femme 9/10 en particulier, achetez une tenue de pompier complète et allez sonner à la porte de la gonzesse en baratinant que vous êtes en mission : vous serez stupéfait de la rapidité avec laquelle elle voudra coucher avec vous.

La seule position de l’homme sur une moto particulièrement puissante rappelle inconsciemment au cerveau archaïque féminin la position sexuelle dans laquelle une femme veut être soumise par un mâle dominant.

Le rapport intime d’un mec avec son jouet motorisé laisse cependant un goût amer dans la bouche des grognasses castratrices qui veulent dominer les hommes et non pas être dominées. Elles soupçonnent que ce genre de types ne fait pas réellement de distinction entre une femme et une moto.

Ce tribunal n’a pas laissé filer cette vieille Boomeuse par hasard.

Croyez-moi, ces bonnes femmes juges savent ce qu’elles font.

Femme au volant, mort au tournant

Les femmes sont de véritables dangers publics au volant : point barre. N’acceptez même pas d’entrer dans une discussion avec des gens qui nient ce fait archi établi.

Vous entendez maintenant comme une vérité révélée cette histoire de « surmortalité » masculine au volant.

Evidemment, les chiffres principaux sont caviardés par le lobby des rombières avec l’aide de leurs chevaliers blancs.

Déjà, le différentiel est lié à l’usage beaucoup plus important d’un véhicule par les hommes. Les mecs roulent par exemple 60% de plus par an en moyenne aux USA.

Ensuite, comme l’a démontré une étude britannique sur le sujet, les gonzesses sont une véritable menace dès lors qu’elles approchent des carrefours, des sorties de parking, des croisements.

Typiquement, une nana se fait percuter alors qu’elle s’engage parce qu’elle a été

INFOUTUE DE REGARDER PROPREMENT 

Et je ne parle pas de ce phénomène qui se reproduit systématiquement dès lors qu’une bonne femme en a l’occasion : passer devant un mec, coûte que coûte, quitte à bloquer une circulation entière.

Ajoutez-y le maquillage ou le SMARTPHONE parce que quand même, louper la dernière notification de sa copine de bureau au sujet de son autre copine de bureau à propos de sa coiffure de merde, ça vaut bien un crash fatal.

Et je ne parle même pas de l’objet du crime qui va devenir de plus en plus impliqué dans de telles affaires : les Boomeuses au volant.

Dans une démocratie vaginocrate et gay-friendly, l’homme blanc est la variable d’ajustement permanente de ces gens dont on peut dire qu’ils devraient être intégrés dans la catégorie des populations handicapées.

Et c’est vrai au Burkina, quand deux pédales vont faire un safari photo entre deux partouzes avec des gosses, ou bien à Clermont-Ferrand quand une vieille bique voyant aussi bien que le cul d’une taupe tue un quadra en pleine possession de ses moyens.

Cependant, il y a de l’espoir.

Cet espoir, c’est l’Intelligence Artificielle qui est sur le point de rendre les nègres obsolètes mais également les femmes au volant.

Encore un peu de patience et nous pourrons bientôt interdire aux femmes de toucher à quoi que ce soit dans une voiture.

La définition du progrès tel que tout homme à l’aise dans ses baskets la conçoit.

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