Les universités françaises instaurent officiellement la transexualité d’état

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 juin 2019

Je crois que nous sommes tous d’accord : en l’état actuel des choses, l’urgence pour l’université française est de promouvoir le traveloïsme dans les facs.

Le Progrès :

C’est une avancée pour les droits des personnes transgenres. La ministre de l’Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, avait fait part, fin mars, dans une interview à Têtu de sa volonté que le prénom d’usage, c’est-à-dire le prénom choisi par les personnes transgenres, devienne « un droit » dans l’ensemble des établissements du supérieur.

« Il faut que chaque personne puisse utiliser le prénom qu’elle souhaite sur les listes d’appel et d’examen, ainsi que sur les cartes étudiantes », avait-t-elle déclaré. Ou encore : « Il faut également simplifier les procédures afin de modifier les noms sur les diplômes une fois que le changement à l’état-civil a été fait. »

Vous avez probablement oublié qu’il y a deux ans, nous avions une maghrébine de l’Atlas pour ministre de l’Education se prénommant Najat Belkacem.

Et vous avez encore plus sûrement oublié qu’il y a 6 ans, fraîchement nommée par Hollande à la tête de ce ministère, elle avait nié l’existence de la théorie du genre.

Ce que le système devait encore nier sous la pression en 2013 est désormais la politique officielle de l’Etat.

Il a fallu moins de 5 ans pour y parvenir.

C’est à peine si quelqu’un l’a remarqué.

A la même période, le ministère avait publié une liste de mesures « pour favoriser l’inclusion des personnes transgenres dans la vie étudiante et des étudiants LGBT+ de manière générale ». Parmi elles : le prénom d’usage reconnu pour l’inscription, le changement de prénom reconnu sur le diplôme, les mentions Madame/Monsieur facultatives, la signature d’une charte, etc.

Le contenu a été mis à jour au début du mois de mai, pour préciser quels documents peuvent être modifiés avec le prénom d’usage, et lesquels nécessitent au préalable un changement à l’état civil.

À Lyon, plusieurs universités ont déjà appliqué ces consignes. Pour l’université Lumière Lyon 2, la mise en place du « prénom d’usage » date du 5 octobre dernier. C’est celui-là – et non le prénom indiqué à l’état civil – qui apparaît désormais sur les documents pédagogiques (listes d’émargement et d’appel utilisées en cours), les documents administratifs (relevés de notes, procès-verbaux de délibération des jurys de diplôme, certificats d’inscription), et sur la carte étudiante.

« Cette reconnaissance du prénom d’usage est une manière d’agir contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle et à l’identité de genre », avançait l’université dans son communiqué. Pour en bénéficier, l’étudiant doit remplir une lettre de « demande de modification du prénom d’usage ».

À l’université Claude-Bernard Lyon 1, c’est le même procédé : l’étudiant saisit le chargé de mission Egalité en remplissant un formulaire, puis fournit un « document justifiant de la démarche engagée auprès de l’état civil et un document justifiant de son identité », et indique « la liste des documents de scolarité pour lesquels il souhaite voir apparaître son prénom d’usage ».

En revanche, tous les documents ne sont pas concernés. Le certificat de scolarité, le dossier pour un transfert vers un autre établissement, et l’attestation de réussite, diplôme et supplément au diplôme restent liés à l’état civil.

Le système ne cible pas les universités par hasard : c’est là que sont formés les futurs cadres d’un pays. Cette toxine idéologique juive est inoculée dans les centres nerveux du pays pour zombifier de manière irréversible les couches supérieures de la société.

D’expérience, un esprit est formé de manière quasiment définitive entre 18 et 25 ans. C’est sur cette tranche d’âge que le système consacre le plus d’efforts.

Cette théorie du genre est un exsudat d’une première forme de freudo-marxisme qui applique le schéma de la lutte des classes aux rapports entre les sexes, principalement sous l’influence d’agitatrices juives américaines comme Betty Friedan, Gloria Steinem, Bella Abzug, etc..

L’idée centrale est de briser le patriarcat blanc en retournant les femmes blanches contre leurs partenaires naturels pour enrayer leur continuité biologique.

En semant le ferment révolutionnaire juif au coeur des familles d’Amérique puis du monde occidental grâce au féminisme, les agitateurs juifs sont parvenus à altérer à grande échelle la matrice reproductive européenne.

La militarisation de la sexualité féminine contre l’homme blanc et sa descendance est le coeur de ce militantisme hébraïque.

Avec l’avènement du subjectivisme radical des années 70 dans les universités US sous domination ashkénaze, le post-modernisme est devenu le cadre conceptuel majoritaire duquel a émergé cette fameuse théorie du genre où l’identité sexuelle est découplée de la biologie. Ce qui n’était pas le cas avec le féminisme dit de deuxième vague.

Promus par les médias de masse juifs, tous les tarés ont progressivement pu présenter leurs déviances comme une originalité opprimée par le fascisme qu’est le patriarcat blanc. Le but des révolutionnaires juifs était d’élargir leur base de recrutement en l’ouvrant notamment aux homosexuels et d’en augmenter le nombre.

Tout ce que nous vivons aujourd’hui est sorti de quelques cervelles juives aidées de quelques Français comme Lyotard ou Foucault.

Et c’est désormais la politique d’état du monde occidental sans laquelle la finance juive ne peut pas durablement maintenir les nations blanches sous sa botte.

Seul un bloc majoritaire pourrait y mettre un terme mais les mâles blancs sont si faibles et divisés, en plus d’être démoralisés en permanence par les médias et le gouvernement, que ces fiottes ne rencontrent aucune opposition.

Les seuls qui font preuve d’agressivité à l’égard des fiottes promues par les juifs sont les musulmans. Du moins, si cela les vise spécifiquement.

Les musulmans sont très amusés à la vue de ces malades mentaux tant qu’ils sont de race blanche. Cela les conforte dans l’idée que les Blancs seront écrasés sans difficulté une fois qu’ils seront assez nombreux.

Mais si vous leur mettez une fiotte maghrébine sous le nez, ces musulmans veulent la pendre.

Cela prend de telles proportions que d’ici quelques décennies, l’Etat judéo-transexuel fera face au califat dans les rues de France. Avec les flics entre les deux.

Manifestations étudiantes, Paris VIII, octobre 2047

Les Blancs auront depuis longtemps déserté tous les centres urbains de plus de 10,000 habitants tandis que les campus universitaires seront devenus des foyers d’agitation négro-communiste et islamiste d’où les Français de souche seront interdits de présence.

Nous devons commencer à créer un système d’enseignement supérieur parallèle, déconcentré grâce à l’internet et la 5G et focalisé sur l’acquisition d’expérience professionnelle pratique, dans le but de former nos jeunes hors de ce bourbier infâme qui prend corps sous nos yeux.

Nous ne devons plus accorder d’intérêt aux diplômes d’état ni même à ce que peut faire l’Etat sur quelque sujet que ce soit. Sauf bien sûr quand il s’agit d’un projet hostile nous concernant, en tant que communauté raciale. Nous devons créer notre propre état parallèle et miser sur la qualité plutôt que sur la quantité.

Cela passe obligatoirement par l’élitisme éducatif et le développement de nos entreprises, y compris internationalement pour réduire la capacité de cet état sémitisé à agir contre nous.

Plutôt que d’espérer quoique ce soit des urnes juives, notre énergie doit se concentrer sur des projets de cet ordre. Notre principal problème actuel, c’est que la productivité aryenne est mise au service de cette république juive dont l’objectif est le repeuplement de la France par le tiers-monde.

Nous devons changer cela en allouant des moyens pour nos propres projets stratégiques sur le long terme.

Commenter l’article sur /dempart/