Les truands du Medef exigent la réduction en esclavage des travailleurs blancs pour s’engraisser encore plus après le confinement

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 Avril 2020

Nez en quart de brie, paupière tombante, oeil délavé et inexpressif, oreilles basses en forme de chou-fleur, lèvres obscènes, cheveux crépus. Ce Bézieux a une tête d’hébreu. Il en a aussi la voracité.

Grâce à cette grosse grippe, le Système a trouvé le moyen de ne plus cacher ses intentions.

Le rétablissement du servage.

Le Parisien :

Comment l’économie française va-t-elle se relever de la crise du coronavirus? Avec un produit intérieur brut (PIB) qui a chuté de 6 % au premier trimestre – le faisant entrer en récession – et un plus mauvais chiffre annuel de croissance depuis 1945 à venir, le pays va avoir fort à faire pour se relancer après le confinement. Pour le Medef, il va falloir que les salariés fassent des sacrifices. Notamment sur leurs horaires.

« Il faudra bien se poser la question tôt ou tard du temps de travail, des jours fériés et des congés payés pour accompagner la reprise et faciliter, en travaillant un peu plus, la création de croissance supplémentaire », lance le président du syndicat patronal, Geoffroy Roux de Bézieux, dans une interview accordée vendredi au Figaro.

Ces chacals du CAC40 ne reculent devant rien.

Ils sont en train de s’engraisser comme jamais.

Ce n’est pas un hasard si ces aristocrates se sont mélangés depuis deux siècles avec des banquiers juifs. Comme leurs frères de Judée, ces parasites ne ratent jamais une occasion d’exploiter le prolétariat pour le presser comme un citron.

Si j’ai une chose à dire à ce Bézieux, c’est de se préparer à la levée du confinement car ce sera l’heure du plus grand mouvement de rue de l’histoire de France. Ce sera bien plus spectaculaire que le petit Mai 68 des fils de la bourgeoisie ashkénaze.

Le gouvernement n’a pas attendu le Medef pour permettre d’augmenter le temps de travail des salariés. Fin mars, le ministère du Travail a accordé des dérogations à certains secteurs pour passer de 48 à 60 heures par semaine. Sont notamment concernés : « l’énergie », « les télécoms », « la logistique », « les transports » ou encore « l’agroalimentaire ».

Comme je l’avais dit lors de l’annonce de cette mesure, elle ne sera pas abolie. Au contraire, le gouvernement, en concertation avec la finance internationale et le grand patronat, la prolongera indéfiniment. Avant d’en ajouter d’autres.

Parce que les Boomers ont peur de la grippe.

Interrogée sur France Info samedi, la secrétaire d’Etat Agnès Pannier-Runacher a estimé qu’il « faudra probablement travailler plus que nous ne l’avons fait avant ».

Cette Pannier-Runacher est la traînée macroniste qui appelait cyniquement les petits porteurs à investir en bourse en plein crack boursier.

Pour couvrir les pertes du CAC40. C’est-à-dire les hyènes représentées par Bézieux.

«La reprise, c’est maintenant !, martèle Geoffroy Roux de Bézieux. J’appelle donc tous les entrepreneurs qui le peuvent à reprendre dès maintenant leur activité, en respectant bien entendu les règles sanitaires de sécurité pour les salariés et en négociant des accords de reprise avec les représentants du personnel. »

Le représentant des patrons français appelle aussi l’Etat à diminuer certaines charges des sociétés françaises pour accompagner le retour à la normale. « Il faudra d’abord accompagner l’offre des entreprises, en soutenant massivement leurs investissements, qui aura évidemment tendance à se contracter, et accélérer la baisse des impôts de production pour rendre le « made in France » compétitif », souligne-t-il.

Laissez-moi formuler ça d’une façon synthétique : la compétitivité des machines à cash des oligarques qui contrôlent le pays n’a aucune importance.

Pour vous, concrètement, il s’agira de travailler plus pour gagner moins tandis que les vampires du CAC40 et les banquiers internationaux travailleront encore moins pour gagner beaucoup plus.

Ces gens escomptent bien effacer leurs pertes en saignant à blanc le prolétariat blanc.

Ces parasites deviennent subitement « patriotes »

Tous ces affairistes n’ont soudainement plus que le mot « patriotisme » à la bouche. Les mêmes qui, il y a quelques semaines encore, étaient les chantres du sans-frontiérisme migratoire et financier sont miraculeusement devenus soucieux du sort du pays.

Ces rapaces enjuivés pensent pouvoir justifier leur voracité en agitant un drapeau tricolore.

Cette histoire de « patriotisme » financier est une escroquerie fomentée par les banques, le grand patronat et la clique macroniste. C’est du patriotisme de portefeuille. Du patriotisme juif, consubstantiellement juif.

Laissez-moi vous dire ceci : si on doit commencer à parler d’efforts, ce ne sont pas les travailleurs blancs qui doivent être sollicités. Ce sont les millions de parasites raciaux qui nous sucent le sang via la CAF et la « politique de la ville », sans parler des budgets ministériels hallucinants dont ces bêtes sauvages disposent et de la redistribution organisée par les collectivités territoriales en leur faveur. Il y a 15 millions de ces sous-hommes à soumettre à la plus brutale des famines.

Nous pouvons économiser des dizaines de milliards d’euros rien qu’en traitant ce problème.

Ensuite, il y a toute cette bureaucratie communiste, tout spécialement dans l’Education Nationale. Combien de greluches sont payées à rien foutre dans les départements, régions, communes de ce pays ?

Et puis, finalement, les Boomers en retraite. Notamment de la fonction publique. Ils sont à eux seuls la cause de ce désastre. C’est pour sauver quelques milliers de ces goules infâmes que le Système justifie le confinement, la surveillance globale et désormais le rétablissement du servage pour les actifs blancs.

Vous n’entendrez pas le grand patronat ou le gouvernement parler de ça. Au contraire, encore un peu de patience et ils expliqueront qu’il faut déverser encore plus d’argent sur ces races de boue et ces vieux qui nous vampirisent. Ils vont exiger encore plus d’immigration pour « payer nos retraites » dont vous ne verrez, bien entendu, jamais la couleur.

Il est temps de préparer le déconfinement.

C’est-à-dire les manifestations de rue contre ces truands.

Un mouvement type Gilets Jaunes 100 fois plus puissant.

Parmi les premières revendications, outre l’austérité pour les Boomers et les métèques, l’allongement des congés-payés et le quatorzième mois pour les travailleurs de race blanche. Et l’expulsion des juifs, en intégralité.

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