Les traînées féministes organisent maintenant leur génocide différé en se stérilisant

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 octobre 2019

L’auto-génocide d’un nombre croissant de traînées féministes a commencé.

Des personnes essaient de convaincre ces folles de faire des gosses.

Imaginez que ces créatures à la tête fracturée ne se reproduisent, laissant divaguer dans la nature des gamins névrosés par des années de féminisme, de xénophilie pathologique et de véganisme ?

Cela démultiplierait le nombres de cerveaux désarticulés à une période charnière où la société française est déjà en voie d’atomisation avancée.

Nous avons déjà beaucoup trop de cas psychiatriques lourds déguisés en activistes anarcho-nihilistes pour ne pas charger la barque.

Les pulsions de mort appellent les pulsions de mort. Il est dans l’ordre des choses que ces dégénérées aillent vers le néant.

C’est la beauté de la loi cosmique.

Certains diront que c’est désastreux, démographiquement parlant. Je n’y crois pas du tout car ces stérilisations seront toujours marginales au plan statistique. Ce sont les plus dingues du cheptel féministe qui sombrent à ce niveau-là de haine de soi et de nihilisme.

En revanche, ce sont logiquement les plus enragées, donc les plus virulentes politiquement ou médiatiquement.

Imaginez un peu les dégâts qu’entraînerait la création de lignées de tarées de ce type.

Non, vraiment pas.

Je rejoins Nietzsche.

Ô mes frères, suis-je donc cruel ? Mais je vous dis : ce qui tombe il faut encore le pousser !

Tout ce qui est d’aujourd’hui — tombe et se décompose : qui donc voudrait le retenir ? Mais moi — moi je veux encore le pousser !  

Encourageons ces malades à faire le bon choix, celui de l’extinction génétique. Notre organisme ne s’en portera que mieux.