Démocratie Participative 卐 Le site le plus censuré d'Europe 卐
Captain Harlock
Démocratie Participative
16 septembre 2018
Démocratie Participative prend une nouvelle dimension avec cette nouvelle phase dans la guerre d’extermination qu’a déclaré la juiverie internationale aux Blancs d’Europe.
Me Rémi-Pierre Drai, l’avocat parisien de Me Denis Dreyfus, ancien bâtonnier du barreau de Grenoble récemment visé par des propos antisémites sur un site internet, a indiqué qu’en collaboration avec un cabinet d’avocats américain, il avait saisi les autorités américaines.
Le site baptisé “Démocratie Participative” sur lequel ces propos avaient été publiés, est en effet hébergé aux États-Unis et se trouve donc protégé par le 1er amendement de la constitution américaine relatif à la liberté d’expression mais, selon Me Drai, il est néanmoins possible qu’il soit sanctionné pour “crime de haine”.
«Nous avons demandé à une cour fédérale qu’elle ordonne la fermeture de ce site, nous avons également déposé une plainte auprès de la plateforme du FBI chargée de recueillir les plaintes IC3 (pour Internet Crime Complaint Center) et, enfin, nous avons adressé une lettre aux responsables de l’hébergeur du site, en l’occurrence “Cloud Fare”, pour les accuser le “Federal Hate Crime” », a indiqué l’avocat parisien.
Pour mémoire, Me Denis Dreyfus est l’avocat de la famille d’Adrien Perez, ce jeune homme de 26 ans poignardé à mort devant une discothèque de Meylan le 29 juillet dernier.
Au nom de ses clients, il avait dénoncé la récupération politique et les incitations au racisme orchestrées par les Identitaires après que ceux-ci eurent manifesté devant le palais de justice de Grenoble, le 11 août, pour réclamer “Justice pour Adrien”.
Le site “Démocratie participative”, ouvertement pro-nazi, avait alors publié un communiqué titré “Assassinat d’Adrien : le perfide avocat juif dénonce les blancs qui veulent se défendre contre la sauvagerie arabe” et illustré par une photo de Me Dreyfus dont la robe d’avocat était marquée d’une étoile jaune.
OY VEY !
C’est la première fois, DE TOUTE L’HISTOIRE, qu’une publication d’expression française est visée par une opération de destruction aux USA. Et cette première, nous la devons à la juiverie internationale.
Celle que l’on voit ici à l’oeuvre, au grand jour.
C’est pourquoi nous avons adopté l’offensive contre la structure de pouvoir juive : elle la contraint à sortir de la pénombre dans laquelle elle conspire.
Les juifs redoutent la lumière du jour comme les vampires la craignent.
Effectivement, ce juif Dreyfus avait immédiatement été mandaté pour transformer le cas emblématique d’Adrien Perez en campagne de haine antiblanche, l’instrumentalisant pour criminaliser la résistance des Français de souche qui s’était notamment exprimée devant le tribunal par le groupe « Les Identitaires ».
Pourquoi maintenant ?
Cette ignoble opération avait illustré toute la perfidie génocidaire de ces juifs, déterminés à anéantir la France comme l’Europe.
Ce qu’il faut retenir, en premier lieu, c’est que cette attaque sémitique intervient au moment où les juifs étaient occupés à dénaturer le sens d’un énième meurtre commis par l’envahisseur et qui avait déclenché un véritable choc dans l’opinion publique blanche avec des retombées politiques potentiellement catastrophiques pour le pouvoir juif. Le fait d’être dénoncés pour leur action subversive dans cette affaire a une dimension stratégique qui n’échappe pas à cette race maudite.
Pas un Blanc ne doit pouvoir parler librement sous peine d’être traqué, persécuté par le pouvoir juif.
A ce stade, il apparaît que le juif Dreyfus n’a plus l’initiative sur ce dossier : il a été repris en main par la structure de pouvoir juive internationale dans le but d’anéantir Démocratie Participative.
Rappelons que le B’naï Brith, la maçonnerie juive internationale, a appelé à anéantir DP il y a quelques semaines seulement.
Mais ces juifs pensent qu’en mettant davantage de moyens et en mobilisant leur branche terroriste aux USA, ils parviendront à nous écraser sans difficulté.
Ces juifs vont avoir quelques surprises.
Nous avons besoin de shekels
Si certains doutaient de l’efficacité de Démocratie Participative, les juifs viennent de leur donner la preuve qui leur manquait pour se forger une opinion définitive.
Nous montons en première ligne et consacrons énormément de temps, de moyens et d’énergie pour vous apporter une source d’information totalement libérée de l’emprise juive et permettre au plus grand nombre de comprendre ce qui passe réellement en France et en Europe.
En échange, votre soutien est crucial.
La LIBERTÉ A UN PRIX, aussi pour remporter cette guerre judiciaire, nous allons avoir besoin de fonds. De beaucoup de fonds. La jurisprudence américaine est limpide sur la question et notre parole est protégée par le Premier Amendement de la Constitution des Etats-Unis, peu importe ce que peuvent vociférer ces juifs.
Faites-nous des donations en crypto-monnaies. Tout est expliqué ici.
FAITES-LE.
La victoire en dépend.
Ce qui est en jeu
La soif de destruction des juifs comme leur détermination à édifier sur les ruines de l’Europe un empire d’où aura été effacée l’humanité européenne sont totales. Ce que nous vivons aujourd’hui s’inscrit dans la stricte continuité de la révolution bolchevique en Russie comme de la Seconde Guerre Mondiale.
Tout ce que vous avez jamais cru savoir de ces faits historiques majeurs est un mensonge et nous connaissons le père du mensonge qui en est à l’origine : le juif.
Il n’est pas jusqu’aux faits les plus récents qui n’illustrent pas cette guerre juive contre notre peuple.
Les cas d’Esteban Morillo et de Samuel Dufour – persécutés par la juiverie représentée par les Tubiana et compagnie – en sont les plus récents exemples.
L’empire financier juif édifié en 1945 est au bord de l’effondrement. Goldman Sachs est la tête de cet empire hébraïque. Il va donc consacrer toutes ses forces restantes et tous ses réseaux pour écraser la révolution populaire en voie de formation.
Le juif ne redoute réellement qu’une chose : que les masses accèdent à la vérité sans passer par leur presse mensongère.
La première étape consiste à propager, le plus largement possible, la vérité sur ce qui se passe. Ce qui implique de défendre notre presse par tous les moyens.
