Les Talibans séquestrent des instaputes hystériques qui exigent de prendre le pouvoir à Kaboul !

La rédaction
Démocratie Participative
13 août 2022

 

Les Talibans savent comment discipliner leurs traînées de réseaux sociaux en manque d’attention.

C’est encore très doux cependant.

Cette scène se déroule à Kaboul, l’épicentre de la présence de ZOG dans ce pays pendant 20 ans. Les juifs ont investi des milliards dans la reprogrammation des bourgeoises locales en traînées assumées, tout particulièrement dans les universités de la capitale avec des cours de féminisme.

Les juifs savent qu’on ne subvertit et détruit un pays à occuper qu’en donnant le pouvoir aux femmes.

Les Talibans le savent. S’ils ont gagné contre la première puissance militaire du monde, c’est parce qu’ils ont toujours compris ça.

Ces « femmes persécutées » sont soigneusement maquillées et ont toutes des lunettes de marque qui doivent représenter 5 ans de salaire du paysan afghan moyen.

Si les Talibans ne les exécutent pas sur le champ, c’est qu’elles sont les filles d’huiles locales de l’ancien régime avec lesquelles ils composent.

Les déporter dans les montagnes pour servir dans les harems de seigneurs de la guerre afghans est pourtant la meilleure solution pour en finir avec ces folles.

L’enjeu dont les Talibans sont les redécouvreurs, c’est d’arrêter avec ce concept de femmes qui vont à l’école pour ensuite les « salarier », voire, comble de la stupidité, les « élire ».

La seule chose qui en ressort, c’est la chute de l’ordre social.

Les femmes doivent être à la maison, occupées à faire des enfants et s’en occuper. C’est la dimension intérieure qui leur échoit. La dimension extérieure, publique, revient à l’homme.

Les fameux bougnoules mentaux de la Grèce classique l’avaient parfaitement compris.

Nous devons retourner à ce modèle-là.

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