Les Talibans corrigent les traînées qui veulent détruire l’Afghanistan en imposant l’éducation des femmes

La rédaction
Démocratie Participative
03 novembre 2022

 

Pour les Talibans, vaincre l’armée américaine et l’OTAN après 20 ans de combats sanglants était la partie facile de la libération de l’Afghanistan.

Maintenant, ils doivent affronter une menace infiniment plus terrible.

Les traînées du pays.

Des étudiantes tentent d’entrer dans leur université à Badakhshan, mais elles sont fouettées par un membre des Talibans qui les empêche d’entrer. Les femmes scandent « l’éducation est notre droit » et « femme, vie, liberté », ce que les manifestants en Iran ont également scandé.

Un homme avec un fouet fait fuir 200 de ces harpies comme une volée de moineaux.

Imaginez que les hommes blancs ont capitulé devant les leurs.

L’éducation des femmes entraîne mécaniquement l’effondrement des sociétés.

Du jour au lendemain, elles accèdent à tous les postes et mettent la société à la disposition de leur hypergamie. Dix ou vingt ans plus tard, la natalité s’écroule.

Au bout d’un demi-siècle de ce régime de dépeuplement, le pays est un EHPAD submergé par les races étrangères.

Le capital converge naturellement avec l’hypergamie féminine, d’autant qu’il la libère.

Les poufs surconsomment et les mettre au travail, c’est l’assurance de maximaliser la consommation.

Ensuite, le capital n’a pas de vision à long terme, le profit est son seul principe de fonctionnement. Peu importe au capital de saccager un pays de façon irréversible en le dégradant racialement (et même écologiquement) s’il peut faire un bénéfice immédiat.

Pour les femmes, comme pour le capital, l’immigration du tiers-monde est la variable d’ajustement idéale.

Pour ne rien arranger, depuis 1945 l’Occident a été infecté par le stato-socialisme, avec ses programmes sociaux financés par la dette. Sans actifs pour rembourser cette dette, faute de naissances, le système entre en crise.

Face à la dépression démographique, les états socialisés, le capital et les femmes blanches convergent pour nous noyer sous les métèques, chacun pour ses raisons propres. Les états pour avoir des contribuables, le capital des consommateurs et des larbins, les femmes blanches pour pouvoir faire n’importe quoi avec leur vagin grâce la natalité par procuration des gens marron.

Sans parler des boomers, pour avoir des retraites, et des juifs, parce qu’ils sont juifs et veulent instinctivement détruire la race blanche.

Les sociétés occidentales ne peuvent pas et ne veulent pas changer ça. Ces blocs d’intérêts sont déterminés à maintenir ce système jusqu’au bout.

Donc, le nombre de gens marron ne peut qu’augmenter de manière exponentielle, avec les contradictions internes que ce processus provoque, comme par exemple avoir la société hédoniste du social-capitalisme féministe et en même temps l’islam médiéval au coin de la rue.

Vous voyez la bourgeoisie réclamer plus d’immigrés musulmans d’un côté, et cette même bourgeoisie se plaindre que cette immigration musulmane transforme la société de l’autre.

Cette contradiction sera résolue par le renversement du régime républicain au profit du nouvel ordre de choses généré par l’immigration.

Le marais électoral ne peut pas sauver le régime de son décalage avec la nouvelle réalité.

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