«Les racistes ont perdu leur combat, la France est métissée !» : le réalisateur juif Mathieu Kassovitz nous explique sa satisfaction à l’idée de génocider les Blancs

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 août 2020

Wikipédia

Le réalisateur juif Mathieu Kassovitz est satisfait depuis qu’il a acquis la certitude que les Français de race blanche sont irréversiblement condamnés au génocide.

Il s’en explique dans Le Parisien où il réitère sa foi dans une guerre raciale apocalyptique qui se terminerait par l’extermination des Blancs en France.

Le Parisien :

Les mobilisations autour du comité Vérité pour Adama prouvent que «La Haine» est toujours d’actualité…

Oui. Je soutiens le comité à 100 %. D’ailleurs, il y aurait un film à faire sur l’histoire d’Assa Traoré, la sœur d’Adama, son combat, la violence étatique autour de cette histoire, le manque d’éthique et de respect pour des gens qui souffrent… C’est ça qui n’a pas changé depuis vingt-cinq ans.

Je comprends que Kassovitz soutienne Assa Traoré puisqu’en tant que salariée de la banque Rothschild, elle réalise l’œuvre religieuse que poursuivent les juifs en France.

C’est parfaitement cohérent.

Les juifs produiront sûrement un film sur cette mythomane africaine et son gang tribal pour les besoins de la guerre raciale qu’ils alimentent contre les populations blanches. Le registre dans lequel s’est justement fait connaître Kassovitz.

Le trio principal de «La Haine» est composé d’un Juif, d’un Arabe et d’un Noir. Est-ce qu’aujourd’hui, vous écririez un tel scénario ?

C’était déjà un peu tiré par les cheveux à l’époque : dans les quartiers, il y avait très peu de familles juives traditionnelles. Mais je voulais écrire un conte universel. « La Haine » ne s’adresse pas aux gens de banlieue, mais surtout aux bourgeois du VIIe arrondissement. Le but, c’était de leur dire « Ces mômes ne sont pas des criminels, ils sont comme les vôtres. Ils sont nés ailleurs, c’est tout… » C’est très facile de dire qu’ Adama Traoré était un voyou qui n’a eu que ce qu’il méritait. Mais si tu connais sa famille, sa sœur, son histoire, tu ne vas pas supporter qu’il se fasse tuer comme ça.

Ils sont comme ça, les juifs. Ils produisent des histoires « tirées par les cheveux » dans lesquelles ils s’inventent des rôles de chefs hissés à la tête de bataillons entiers d’allogènes qui sèment l’anarchie raciale par haine des Blancs qu’ils veulent anéantir. Ce qui n’est rien d’autre que l’antique message de la Torah.

Ce conte n’a donc rien « d’universel ». C’est un conte hébraïque écrit par un juif pour des juifs. Un conte sur la révolution raciale pensée par la juiverie pour détruire toute forme de civilisation aryenne.

Il suffit de posséder les clefs d’interprétation pour déchiffrer le yiddish utilisé par Kassovitz.

Vous avez signé en février une tribune dénonçant la sous-représentation des acteurs afro descendants dans le cinéma français

Oui, je n’aurais pas dû : ce n’était pas la bonne année puisque Roschdy Zem a remporté le César du meilleur acteur et « Les Misérables » celui du meilleur film. Mais c’est un problème de manière générale. En France, contrairement aux États-Unis, on ne peut pas obliger les gens à en engager d’autres parce qu’ils sont Noirs. Mais l’intégration se fera de manière organique. De toute façon, la France est métissée : les racistes ont perdu leur combat, leur discours est obsolète.

Les « racistes » ici ne sont rien d’autre que les Français de race blanche. Kassovitz semble jubiler à l’idée que les viols, assassinats, émeutes raciales et autres attentats bourgeonnent sur tout le territoire français, visiblement excité à la vue du sang blanc coulant sur les trottoirs. L’idée de la submersion migratoire l’enchante, n’ayant visiblement pas grande considération pour les Français de souche au sein desquels il vit quotidiennement.

Cependant, la France n’est pas « métissée » à proprement parler, elle est racialement balkanisée. Ce qui est très différent et n’est pas de nature à éteindre le racisme, bien au contraire.

Ceci dit, Kassovitz n’entend pas goûter les fruits de cette œuvre religieuse juive.

Dans Libération, il explique en effet :

Fils de ses parents, «qui ont semé tout ce qui allait devenir la gauche bobo», il a longtemps habité le XXe arrondissement métissé, qu’il a récemment quitté pour le confort de Vincennes. «On avait mis des grillages au-dessus de l’école, les mecs jetaient leurs ordures dans la cour de récréation.» Ceux qui les balançaient étaient «des cons», et «il y a des cons partout».

S’il y a des cons partout, pourquoi Mathieu Kassovitz a-t-il fui plutôt que de relativiser comme il le fait a posteriori dans les colonnes du journal de l’oligarque juif Patrick Drahi ?

Mystère.

En tout cas, depuis le calme de Vincennes, il prêche l’abolition de la police pour que les allogènes puissent agir à leur guise.

Plus de sécurité pour les exploiteurs blancs au SMIC nous dit le réalisateur millionnaire Kassovitz.

Cette interview est à mettre en perspective avec une autre nouvelle.

C’est toute l’histoire des juifs : les goyim qui ont le malheur de se laisser hypnotiser par les mensonges du vampire hébraïque périssent, vidés de leur sang, tandis que le meurtrier s’en va en quête d’une autre proie.

Mais je laisse le mot de la fin à Mathieu Kassovitz :

Vous avez envie de faire quoi aujourd’hui ?

Rien. Je suis ravi… J’ai envie de m’occuper de mes enfants, de mes chiens, de faire de la boxe… et allez tous niquer vos mères (rires) !

Encore une fois, le juif s’exprime de manière cryptique. Lisez « Psychanalyse du judaïsme » d’Hervé Ryssen, vous découvrirez la clef d’explication.

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