Les plus grands experts de l’antiterrorisme européen obligés de fuir la fac de Jussieu sous occupation islamique

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 novembre 2019

Quand tu arrives en France mais que tu n’es pas invité

Officiellement, la France est une démocratie libérale.

Officieusement, c’est une poudrière balkanique où la moindre administration est tétanisée à l’idée de voir une émeute raciale éclater sous l’influence d’islamistes et de racisés avec l’aide de brigands anarcho-communistes.

Le dernier exemple en date est l’annulation d’une très sérieuse conférence internationale sur le thème du terrorisme, à l’université de Jussieu.

« Trop dangereux ».

C’est vraiment digne de la 4ème dimension.

En fait, à bien des égards, la France est déjà dans la 4ème dimension.

La réaction autistique de ce boomer est assez révélatrice. Je crois que la meilleure partie est celle-là :

Le terrorisme est un sujet de société qui intéresse tous les Français dans un pays qui vit sous la menace terroriste […] Nous avons réuni les meilleurs experts et acteurs institutionnels européens dans le cadre d’une approche scientifique du sujet. Il n’a jamais été question d’en faire un sujet de polémique, nos travaux depuis des années en témoignent.

C’est-à-dire, « Jean-Charles », que les Français ont passablement bronzé ces dernières décennies et que leur susceptibilité a évolué dans des proportions non-négligeables.

« Les meilleurs experts européens » ne sont pas en mesure de faire changer d’avis nos compatriotes.

Et si d’aventure la « communauté stratégique » commence à se justifier sur la base « d’une approche scientifique », les choses vont rapidement tourner au vinaigre.

Cette nouvelle fatwa s’ajoute à l’annulation de la venue de Hollande à la fac de Lille 2 et à celle de la femme de Jospin à Bordeaux.

« On dirait des crouilles, non ? »

Les grands bourgeois de l’établissement français commencent à découvrir ces objets qui étaient jusqu’à lors de très théoriques sujets de discussion pour eux et que l’on appelle communément les bougnoules.

Ces invités que nous n’avons pas invité représentent, pour la seule saveur islamique, 10 millions d’âmes en France. Ces Français ne perçoivent pas exactement Daech ou Al Qaeda dans les mêmes termes que Jean-Charles et ses collègues européens.

En fait, aux yeux de ces « étudiants » de Jussieu, Daech fait davantage partie de la solution que du problème.

Le problème est d’ailleurs plus sûrement incarné par Jean-Charles et ses collègues européens que par les compagnons de route du Calife.

Et si vous leur parlez de « terrorisme », vous allez rapidement entendre parler de l’Afghanistan, de l’Irak, de la Libye, de la colonisation, de la Palestine, des migrants, des contrôles au faciès.

Apporter la contradiction à ces Français est plus délicat que de monologuer à « C dans l’Air ».

Ces arabes ne comptent pas restés passifs

La réalité jusqu’à lors cantonnée aux HLM et autres résidences pavillonnaires pour ouvriers débarque en force dans les salons les plus feutrés de France.

Et même, en plein centre de la capitale, sous le nez des bourges républicains.

Les mêmes bourges qui ont passé ces 40 dernières années à dégueuler sur les prolos lepénistes commencent à trouver l’expérience beaucoup moins plaisante à présent qu’ils doivent également consommer une part de ce gros gâteau à la merde.

Pour en revenir à cette affaire, les autorités françaises, sous le regard probablement édifié du gratin antiterroriste européen, ont dû parquer en urgence tout ce petit monde en territoire militaire.

Je suis certain que ces experts européens ont senti que l’antiterrorisme n’était pas seulement une science très complexe et très technique, mais aussi et surtout un véritable mode de vie en France.

Un challenge typiquement hexagonal.

Hélas, chers lecteurs, vous savez que les places sont limitées dans les forteresses de l’armée et vos piteux comptes bancaires ne vous rendent pas éligibles. Désolé, cela fait partie des mystères de l’égalité républicaine.

Comme vous ne songez pas davantage à devenir président de la République, je crains hélas que vos opportunités en termes sécuritaires ne soient condamnés à se faire maigres, très maigres.

Vous devrez donc vous habituez à vivre avec le terrorisme. Eventuellement, vous pouvez essayer de voir les choses du bon côté en vous disant que c’est une des contreparties pour expérimenter la promesse du vivre ensemble citoyen et solidaire.

Plus prosaïquement, vous allez devoir survivre avec des bougnoules totalement fanatisés qui, de temps en temps, se mettent des ceintures d’explosifs autour de la taille pour prendre un ascenseur direct pour le paradis d’Allah, vierges à la clef.