Les plumitifs rouges de Reporters Sans Frontières appellent l’Etat à censurer CNews

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 avril 2022

 

La fonction des journalistes consiste désormais à interdire aux gens de parler.

Au nom de la liberté d’expression, les plumitifs rouges de Reporters Sans Frontières appellent l’Etat Français à censurer CNews, la seule chaîne qui donne la parole à une poignée de gens de droite.

Le motif qu’ils invoquent est que CNews est « politisé ».

Le Monde :

Le 30 novembre 2021, Reporters sans frontières (RSF) avait écrit au Conseil supérieur de l’audiovisuel pour solliciter « l’engagement d’une procédure de mise en demeure envers la chaîne de télévision CNews », au motif que la chaîne d’information du groupe Canal+ ne respectait pas « ses obligations légales, réglementaires et conventionnelles ». Il semble que la réponse de l’instance, entre-temps devenue l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom), n’ait pas convaincu l’organisation non gouvernementale (ONG). Mercredi 13 avril, elle a saisi le Conseil d’Etat d’un recours « pour contester le refus de l’Arcom d’agir contre les manquements de CNews à ses obligations ». « De notre point de vue, sur la base du droit existant, l’Arcom peut faire plus que ce qu’elle fait aujourd’hui, justifie Christophe Deloire, le secrétaire général de RSF. On veut qu’elle soit à la hauteur de son rôle. »

Le premier des arguments défendus par l’ONG n’est pas sans rappeler le débat sur le sexe des anges : elle demande à l’Arcom de remarquer que CNews n’est plus un média d’information, mais une chaîne d’opinion (ce que la loi française ne permet pas). A l’appui de sa démonstration, une multitude d’articles de presse qui en ont dressé le constat, mais aussi une étude menée ad hoc par le sémiologue François Jost, fondée sur l’analyse d’une semaine de diffusion de la chaîne, début février. Lors de sa demande de mise en demeure de la fin 2021, RSF évoquait déjà la « diffusion massive d’opinions subjectives orientées », au mépris « de l’indépendance, de l’honnêteté et du pluralisme de l’information » auxquels CNews est tenue.

L’audace de ces gens.

Depuis des décennies, l’intégralité des médias français diffusent en permanence un torrent de propagande de gauche en faveur de l’abolition des frontières, du remplacement de population et du sexe anal entre hommes.

France Inter est quasiment la radio officielle des mélenchonistes. Quand vous voyez cette bande derrière ses micros, on se croirait dans une salle de profs avec leurs private jokes merdiques de gauchistes syndiqués.

La tête à claques gauchiste Guillaume Meurice peut y déverser – sur fonds publics – ses insultes à flots continus contre les deux tiers des électeurs.

Avec toujours une obsession : submerger l’Europe de millions de métèques, de préférence mahométans.

Toujours sur cette radio publique, la beurette à juifs Sophia Aram.

Elle est « humoriste ».

C’est sans parler des autres médias, intégralement contrôlés par les juifs. Que ce soit C à Vous avec la hyène Patrick Cohen, Europe 1 avec le rabbi Enthoven, BFMTV avec la goule Ruth Elkrieff et bien sûr LCI avec la gouine Fourest, la créature de Bernard-Henri Lévy.

En parallèle, les réseaux sociaux ont été massivement purgés pour s’assurer que seule cette caste enjuivée détienne le contrôle de l’information.

CNews admet quelques droitistes et c’est la panique.

Dans sa réponse à l’association, envoyée le 5 avril, l’Arcom rétorque que la convention (le texte contractuel) signée par la chaîne « ne fixe pas d’obligation quantitative ou qualitative » à la diffusion d’une information « réactualisée en temps réel ». Autrement dit : sans obligation d’atteindre un quelconque palier, il n’y a pas de contrevenance qui tienne. « Si l’Arcom n’est pas plus claire dans la rédaction d’une convention, alors que c’est elle qui veille à son application, c’est comme si elle formulait des incantations ou des vœux pieux », fustige Christophe Deloire. Dans cette lettre, loin de convaincre de son efficacité malgré le détail des différentes décisions qu’elle a prises envers la chaîne, l’autorité « justifie son inaction », estime l’ancien journaliste.

Christophe Deloire a une tête de hyène haineuse et insolente, parfaitement représentative d’un journaliste français en 2022.

Pour résumer, RSF, un groupuscule qui se met à hurler dès la suppression d’un tweet quelque part au Cambodge, n’a pour seule activité en France que d’exiger la censure d’une chaîne de télévision car trop à droite.

Là, j’ai vraiment des flashs qui me traversent l’esprit.

Les journalistes sont des terroristes qui devraient tous être arrêtés – sans exception – et juger par un tribunal révolutionnaire et, dans un état normal, condamnés à mort avec exécution publique et immédiate de la sentence.

Je ne comprends même pas que des insurgés n’aient pas encore envahi les bureaux de tous les médias de France pour procéder au jugement de ces ennemis du peuple au service de l’hyperclasse.

Ces ordures puent l’arrogance de classe avec leur mépris affiché pour la plèbe qui refuse de subir les conséquences de leurs névroses idéologiques.

Les politiciens sont bien moins nuisibles que les journalistes. Les politiciens sont des opportunistes qui suivent le sens du vent. Les journalistes sont des prêtres fanatisés qui placent la société sous la menace permanente de leur tribunal médiatique.

La révolution ne commencera que lorsque la plèbe traînera par les cheveux ces ordures jusque dans les rues pour procéder à leur jugement.

C’est sûrement l’un des avantages réels si Marine Le Pen était élue : cette classe de plumitifs entrerait en guerre contre la France périphérique. Le niveau d’hystérie judéo-marxiste serait délirant.

Sous une présidence Le Pen, les flics ne feraient pas de zèle pour protéger des plumitifs de gauche qui passent leur temps à dénoncer les ‘violences policières’ contre les bougnoules.

Les choses commenceraient à devenir intéressantes.

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