Les parasites du « Secours Catholique » rappellent que les Français de souche « n’existent pas » mais qu’ils doivent raquer pour se faire envahir de nègres clandestins

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 mai 2019

« C’est la lutte finale »

La branche armée de la secte bergoglienne en France s’est livrée à une série de tweets particulièrement vindicatifs à l’endroit des Français ces derniers jours.

Au cas où vous l’ignorez, cette branche armée porte le nom de « Secours Catholique » ou encore « Caritas » et a principalement recours à de l’armement biologique et bactériologique pour perpétrer ses crimes.

Les nègres donc.

Cette organisation profite des élections européennes pour rappeler la mission de la France : déifier le nègre.

Je trouve que ça manquait dans le débat. On parle trop peu souvent de cette obligation morale qui nous incombe : offrir notre pays, nos femmes, notre argent au Dieu Nègre.

Soyons honnête, notre église rencontre un problème : il y a encore des polythéistes, repliés dans leurs campagnes inhospitalières, qui ne croient pas en l’unicité du dieu négroïde.

Des athées du négrisme. Des fous, si vous voulez.

Cette race païenne ose s’appeler communément « française de souche ».

Cela fait des siècles que la France est construite par l’immigration.

Tous nos paysages en témoignent, nos villages. Des dizaines de millions de migrants, au fil des siècles, ont construit la France.

Prenez toutes ces belles cathédrales construites par des migrants. De quoi aurions-nous l’air si nous n’avions pas eu tous ces gens pour apporter leur culture et enrichir une France en friche, stérile ?

Nos vignerons sans-papiers n’auraient pas pu façonner nos paysages.

On aurait l’air frais.

Nous sommes, tous, des migrants. Nous sommes de passage. Se croire « propriétaire » de la France, c’est réfléchir en petit possédant mesquin sur la base d’un fantasme qui n’a pas le moindre début de réalité.

Je suis quand même content de voir, à la veille d’élections cruciales pour la démocratie et les droits de l’homme, que l’Eglise Catholique maintient le cap de l’une-et-indivisibilité du nègre et qu’elle rappelle que nous ne sommes pas chez nous.

Prenez n’importe quel document d’archive : je vous mets au défi de me trouver un « Français de souche » comme disent les Nazis.

C’est bien simple, ça n’existe pas.

Ni le « Grand Remplacement » d’ailleurs. Comment peut-on remplacer des êtres humains par des êtres humains puisque, par définition, ils sont pareils et interchangeables ?!

Voilà.

Alors, le Secours Catholique, qui dépend exclusivement des dons des grand-mères françaises de 85 ans pour nourrir nos frères migrants et les aider à prendre possession de ce qui leur appartient, rappelle solennellement que sa tâche consiste à pomper autant de mélanine que possible.

 

Une belle mission religieuse que celle-là.

Si pour une raison X ou Y vous pensez que ces marxistes à la solde de Bergoglio sont des parasites au service de la finance juive, alors il ne vous reste qu’une option : appelez sur l’heure vos proches pour qu’ils cessent de verser ne serait-ce qu’un centime à cette bande.

Ah, si d’aventure vous vous rendez dans une église, faites disparaître tous ces affreux flyers de Caritas que l’on trouve à l’entrée.

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