Les macronistes et les juifs fondent un plomb après l’officialisation du rachat de Twitter par Elon Musk

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 avril 2022

 

Musk a officiellement finalisé son accord pour le rachat de Twitter.

Il lui a fallu trois semaines pour obtenir la capitulation de la direction homo-gauchiste de ce réseau social devenu pratiquement inutilisable depuis l’élection de Trump.

Les gauchistes sont fous de rage. Musk justifie ce rachat par son intention d’éradiquer la modération néo-communiste qui bosse pour le compte du Parti Démocrate américain – c’est-à-dire des ashkénazes de la CIA.

Ce retour possible de la liberté d’expression sur Twitter « inquiète les défenseurs des droits de l’homme ».

Les fiottes, les juifs et les antifas donc.

Les journalistes de (((BFM Drahi))) sont au bord de la crise nerveuse.

Ce matin, au bout de 30 secondes du segment sur le rachat, ils gémissaient sur le fait que Twitter était « déjà » un « déversoir d’antisémitisme ».

Je me demande pourquoi ils parlent immédiatement d’antisémitisme dès que la question de la liberté d’expression est évoquée.

Tous ces journalistes de merde ont des pastilles bleues sur ce réseau. C’est leur réseau et c’est comme ça qu’ils le perçoivent. C’est là-dessus qu’ils se reniflent mutuellement l’anus quotidiennement.

Le juif Mendès entend siffler le train.

RTL :

« Elon Musk est un libertarien. C’est un maximaliste de la liberté d’expression. Il a une vision radicale de la liberté d’expression qui doit être totale, à la limite de l’injonction judiciaire. Il est en confrontation avec les stratégies des grandes plateformes sociales de s’impliquer dans la modération des contenus au-delà du droit commun. Il épouse cette idée qui anime l’extrême-droite américaine que les plateformes sociales sont soumises à l’idéologie progressiste et par là, qu’il y a un bâillonnage des discours de droite« , explique à RTL Tristan Mendès-France, maître de conférence associé à l’Université de Paris, spécialiste des cultures numériques.

Il n’y a pas d’idéologie progressiste.

Il y a un programme d’ingénierie sociale juif visant à dissoudre les sociétés blanches en les fragmentant à l’extrême pour les dominer.

Seul ce programme peut avoir libre cours sur les plateformes du système.

Ces dernières semaines, Elon Musk a largement communiqué sur les nouveautés qu’il souhaite mettre en place sur Twitter. En matière de modération, d’abord, où les progrès de Twitter sont déjà maigres, le milliardaire préconise de « laisser le tweet exister en cas de doute » sur un contenu. L’idée est de délester la plateforme de tout ce qui peut s’apparenter à de la censure, dans la limite du respect du droit commun. Il est aussi fermement opposé aux bannissements permanents, comme celui de l’ancien président américain Donald Trump début 2021, auxquelles il préfère des exclusions temporaires.

Elon Musk entend aussi rendre Twitter plus transparent en ouvrant ses algorithmes de recommandation, « pour que chacun puisse comprendre pourquoi la portée d’un tweet est accentuée ou diminuée et pour éviter toute manipulation secrète, qu’elle soit automatique ou manuelle », expliquait-il récemment.

Le milliardaire s’oppose ici au « shadow banning » qui permet aux plateformes de limiter la visibilité d’un contenu sans le supprimer. Un point sur lequel le règlement Digital Services Act (DSA) adopté récemment devrait bientôt imposer de nouvelles obligations aux plateformes dans l’Union européenne.

Autre projet évoqué avant le rachat, l’ajout d’une fonction pour éditer un tweet après sa publication. Une perspective à laquelle les dirigeants de Twitter se sont toujours opposés jusqu’ici dans un souci de transparence pour préserver la spontanéité et l’intégrité de la plateforme face au fléau de la désinformation.

Les médias du système ne désinforment jamais.

Signé : les médias du système

En mettant la main sur Twitter, Elon Musk s’offre une arme de communication sans équivalent pour influer sur le terrain médiatique. Sa prise de pouvoir a d’ailleurs été saluée par de nombreuses figures de l’extrême-droite, aux États-Unis comme en France, où certains y voient le prélude à un retour sur Twitter des indésirables qui ont migré vers leurs propres plateformes – même si Donald Trump a fait savoir qu’il souhaitait tout de même privilégier son propre réseau social – voire la constitution d’un terrain favorable aux idées de l’alt-right américaine en vue des prochaines élections.

Le juif Mendès veut croire que la censure opérée par de l’UE et de l’Etat Français sera capable de préserver la domination hébraïque en Europe.

« Reste à savoir quelle sera la position d’Elon Musk à l’international ? », s’interroge Tristan Mendès-France. « Cette liberté d’expression à l’américaine peut éventuellement être infléchie sur le sol américain mais quid d’une plateforme mondialisée soumise à des législations nationales ? Et quelle va être la position d’Elon Musk si on assiste à la duplication de la séquence vécue en 2020-2021 avec Donald Trump lors de la prochaine élection américaine ? Il risque d’être dans une position extrêmement délicate ».

Plus largement, le rachat de Twitter par Elon Musk signifie que « deux milliardaires contrôleront bientôt quatre des principales plateformes sociales de la planète », a expliqué sur Twitter le professeur américain Ethan Zuckerman, spécialiste des réseaux sociaux. « Mark Zuckerberg a un droit de veto fonctionnel sur une grande partie des décisions de Facebook, WhatsApp et Instagram. Un Twitter privé donnera probablement à Elon Musk un pouvoir similaire », selon lui. La sociologue Shoshana Zuboff, auteure de L’âge d’or du capitalisme de surveillance, voit pour sa part dans cette prise de contrôle de Twitter par une personnalité comme Elon Musk « un monopole incompatible avec la démocratie » car il n’y aurait pas, selon elle, de contrepoids interne ou externe susceptible de freiner le pouvoir énorme conféré par la propriété d’un média social à même d’influencer l’opinion publique et les comportements du monde réel.

Ce n’est pas compatible avec la (((démocratie))), goy !

Il ne faut pas influencer l’opinion publique ou le monde réel, c’est un privilège de droit divin réservé au peuple élu !

Ethan Zuckerman

Shoshana Zuboff

Tristan Mendès 

C’est étrange, quand RTL donne la parole à des « professeurs américains », des « professeurs français » et à des « sociologues », ce sont tous des juifs.

Après 5 ans de censure étroitement coordonnée par les juifs, toute forme d’opposition sur YouTube, Twitter, Facebook, Instagram a été purgée. Ils peuvent y déverser tous leurs mensonges sans avoir à affronter de contradiction.

Si Twitter cesse de censurer les contenus non autorisés par la doxa homo-gauchiste provax, ce réseau aura un avantage comparatif énorme sur ses concurrents. La censure, c’est la création d’un monopole sur les idées par la coercition. Pour qu’un monopole fonctionne, il doit supprimer la possibilité de la concurrence. S’il y a un trou dans la raquette, les créateurs de contenus migreront en masse des autres réseaux vers celui là. Très vite, les autres réseaux subiront l’effet délétère du contraste entre des plateformes chiantes tenues par des fiottes et des juifs hystériques qui censurent tout arbitrairement et une plateforme libre.

Du moins, si Twitter devient une plateforme libre. Le système ne va pas tranquillement laisser Musk défaire ce qu’ils ont mis des années à construire. Il peut dégager Twitter des stores et le placer sous embargo.

En fait, il peut même bannir le nom de domaine de Twitter.

Le joker sur lequel les juifs vont miser, c’est leur fameuse directive au niveau de l’UE pour rendre obligatoire la censure totale de tout ce que disent les goyim sur internet.

Le coréen de Macron est déjà en train de gémir au nom du gouvernement français.

« Tu n’as pas le droit de gérer ta boîte US comme tu veux, parce qu’on a fait une loi entre nous à Paris pour décider comme elle fonctionne »

Cédric Mangeur de chiens

Ce truc est délirant.

C’est comme obliger un patron de bar de faire taire des clients qui ne répètent pas les slogans du système dans leurs discussions.

C’est la « liberté d’expression » que l’UE et les macronistes entendent mettre en place.

Je ne sais pas comment Musk va réagir. Je n’imagine pas qu’il a investi 44 milliards de dollars dans un réseau social américain pour laisser une poignée de fonctionnaires homosexuels assis à Bruxelles décider de ce qu’il va faire.

Et encore moins Macron.

Le plus probable, c’est qu’il ne tienne pas compte de leurs menaces et qu’il aille au clash, ne serait-ce que pour faire monter les enchères.

On va voir.

Ce que je sais, c’est que si Musk va au bout, nous serons également sur Twitter pour y parler librement des juifs, des fiottes, du Great Reset, du Grand Remplacement afin d’appeler à la révolution.

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