Les juifs nationalisent les Invalides pour célébrer Claude Lanzmann

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
12 juillet 2018

 

Israël vient de nationaliser les Invalides.

Ce bâtiment appartenait jadis à la France, plus précisément à ses armées.

Wikipédia :

L’hôtel des Invalides est un monument parisien dont la construction fut ordonnée par Louis XIV par l’édit royal du 24 février 16701, pour abriter les invalides de ses armées. Aujourd’hui, il accueille toujours des invalides, mais également la cathédrale Saint-Louis des Invalides, plusieurs musées et une nécropole militaire avec notamment le tombeau de Napoléon Ier. Cet immense complexe architectural, conçu par Libéral Bruand et Jules Hardouin-Mansart, est un des chefs-d’œuvre les plus importants de l’architecture classique française.

C’est effectement là où repose Napoléon.

C’est assez beau.

Mais enfin, tout ceci est quand même un peu moisi.

Surtout cette chapelle Saint Louis, du nom de ce monarque antisémite français.

Fort heureusement, de nos jours, la démocratie éclaire la terre promise de toute éternité au peuple juif.

20 Minutes :

La cérémonie d’hommage sera marquée par un discours du Premier ministre, précédé d’un éloge funèbre du philosophe Bernard-Henri Lévy, surnommé BHL, qui devrait saluer l’« intellectuel querelleur » et le « jeune maquisard, bouillant d’intrépidité et de vie » que fut Claude Lanzmann. Le professeur Didier Sicard, ancien président du Comité consultatif national d’éthique, rendra lui aussi hommage à ce témoin qui a traversé le XXe siècle.

« Ils s’aimaient énormément avec BHL, malgré leur différend au moment de la Libye. Quant à Didier Sicard, il saura lui aussi trouver les mots dans ces circonstances », a souligné Dominique Lanzmann. Le cortège funéraire se rendra ensuite au cimetière Montparnasse où aura lieu l’enterrement à 17h30 (15h30 GMT) dans le caveau familial, non loin de celui de Simone de Beauvoir. Le Grand Rabbin de France Haïm Korsia dirigera la cérémonie religieuse.

Claude Lanzmann laisse derrière lui une œuvre de mémoire avec Shoah, le grand documentaire sur l’extermination des Juifs d’Europe par les nazis. Un film entré dans l’histoire du cinéma par sa durée (9h30), sa forme (pas d’images d’archives) et son propos : raconter « l’indicible ».

C’est tout de même heureux. Après quatre siècles d’usurpation, ce palais retourne à son légitime propriétaire.

Il y a tout un tas d’autres monuments qui sont encore en possession des Français, du moins, théoriquement. Plutôt que de se perdre en débats juridiques interminables, le mieux serait de les remettre d’un bloc au gouvernement israélien.

Pour faire bonne mesure, la question des réparations devrait également être posée.