Les juifs fuient en masse la France après la levée (temporaire) du confinement

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 août 2020

Les rats quittent le navire après avoir ruiné votre pays.

L’Orient-le-Jour :

Le Français Dan Bocobza songeait encore à la possibilité de faire son « aliyah », mais la pandémie de Covid-19 a fini par le convaincre : il a déposé une demande d’immigration auprès des autorités israéliennes, qui se préparent aujourd’hui pour une nouvelle vague d’immigration juive « post-corona ». Entrepreneur à Strasbourg, dans l’est de la France, et père de sept enfants, Dan Bocobza jonglait avec l’idée de faire son « aliyah », littéralement son « ascension » en Terre sainte. Et puis il y a eu la pandémie. En France, pays de 65 millions d’habitants, le virus a fauché plus de 29 000 personnes, et la communauté juive a été particulièrement touchée, selon des organisations locales. Avec ses neuf millions d’habitants, Israël a réussi, du moins jusqu’à présent, à endiguer la pandémie, les autorités dénombrant 301 morts, soit un ratio de morts 13 fois inférieur. « La mauvaise gestion en France face au Covid-19 a joué, mais surtout le fait de sentir que soudain les portes s’étaient fermées », explique au téléphone M. Bocobza, à propos de la fermeture des frontières israéliennes pendant plusieurs mois.

« On a toujours voulu partir, Israël était une destination possible, mais la crise nous a mis face à une situation inédite, celle de ne plus pouvoir voyager car les portes étaient fermées, ça a été une vraie claque pour moi », explique-t-il.

J’ai souvent discuté de la question juive avec des goyim naïfs et j’ai systématiquement constaté que les plus véhéments avocats des juifs étaient également ceux qui connaissaient le moins la race d’Abraham ou, pire, s’aveuglaient volontairement sur leur véritable nature. L’argument le plus odieux – qui est d’ailleurs celui des juifs eux-mêmes – est que les non-juifs sont tout simplement « jaloux » de la juiverie, d’après eux aussi talentueuse et laborieuse qu’inaccessible au vice et au mensonge.

Si cela peut faire sourire les combattants antisémites les plus aguerris, il n’en demeure pas moins que ces braves philosémites y croient dur comme fer. J’avoue qu’avec le temps, j’éprouve la même empathie pour les philosémites que celle que je ressens pour un enfant attardé : on ne peut pas haïr un enfant manifestement handicapé mentalement.

Cet article me permet de briser une nouvelle fois les idées les plus éculées sur la question. Ce brave Dan Bocobza, brûlant à l’évidence du plus ardent patriotisme français au point de vous insulter si vous en doutiez, a été frappé de stupeur par une seule chose lors de cette pandémie : non pas par ce « virus » mais par la fermeture de la frontière. Pas parce qu’il serait un étranger désireux de venir s’établir en France comme un migrant soudanais, mais bien parce que la perspective de ne pas pouvoir détaler avec ses coffres remplis d’or lui a glacé la pierre qui lui sert de cœur.

Vous avez là devant les yeux la principale raison du sans-frontiérisme que professent hypocritement les bouches menteuses de la Synagogue avec leurs slogans cosmopolites martelés tous les jours dans leur presse. Le juif sait mieux que quiconque l’étendue de ses escroqueries, montages financiers, cabales politiques, meurtres par procuration. Il sait aussi qu’il faut surveiller l’Aryen comme le lait sur le feu, ce dernier ayant tendance, lorsqu’il est définitivement ruiné par l’avidité de son « hôte », à s’emparer de quartiers juifs entiers pour assassiner tout ce qui s’y trouve.

Le juif sait qu’aussi longtemps qu’il foulera le sol de cette planète, une Saint Barthélémy pèsera au dessus de chaque ville où sa race trafique.

Les propagandistes juifs consacrent énormément d’énergie à dissimuler les raisons de ces innombrables insurrections antisémites qui se sont déroulées à toutes les époques, dans toutes les régions, peu importe la langue, la culture ou la religion de la société au sein de laquelle ils étaient soudainement pris à partie.

Mon fils innocent a été exclu de 109 établissements scolaires parce que les élèves et les professeurs étaient tous jaloux de son talent. Vous devez lui donner une 110ème chance.

Il n’y a que deux explications possibles : soit l’humanité pose problème, soit le juif pose problème. Face à cette équation, le juif effronté répond avec aplomb que c’est bien l’humanité qui échoue à mesurer toute sa bonté et l’étendue de son talent, rongée qu’elle serait par la haine et la jalousie, omettant toutefois de rappeler son statut d’étranger fraîchement débarqué en terre goye. C’est exactement le même argumentaire qu’utilise le maghrébin, quoique de manière moins sophistiquée, pour se justifier devant ses juges à chaque fois qu’il vole, viole ou surine. C’est la racine commune du sémitisme dont la seule variable est le QI.

On peut mesurer la stupidité d’un goy à sa crédulité face à cette question qui relève d’un simple exercice de logique qui ne peut jamais se conclure à l’avantage du juif.

Le juif veut pouvoir s’enfuir et disparaître dans la nuit, sans prévenir. Ce n’est pas au juif, le roi du larcin, que l’on apprendra l’art de la fuite. Que ce soit après 3 ans dans un pays ou deux siècles, c’est du pareil au même : le nomade juif ne se plante jamais éternellement au même endroit et ne jure fidélité qu’à sa propre cause.

Antisémitisme, crise économique, idéologie religieuse ou sioniste : autant de motifs poussant jusque-là des juifs à immigrer en Israël… Aujourd’hui, c’est la peur du Covid-19 qui pourrait aussi les encourager à le faire.

Lors d’une réunion mardi au Parlement israélien, des responsables de l’aliyah ont exigé des budgets plus conséquents pour faire face à une vague d’immigration massive. « Avant la crise, nous n’avions pas assez d’argent, et là nous avons de plus en plus de demandes d’ouverture de dossiers », souligne Neta Briskin-Peleg, responsable de Nativ, un organisme d’État chargé de vérifier la validité des demandes d’aliyah en provenance des pays d’ex-URSS. Selon Shay Felber, cadre de l’Agence juive, l’organisation paragouvernementale chargée de l’immigration juive, « il y a trois fois plus de demandes d’aliyah de France depuis la crise du corona ». Selon des chiffres officiels, environ 700 dossiers ont été ouverts en mai 2020 contre 130 en mai 2019 dans les bureaux de l’Agence juive en France, pays qui avait fourni un contingent record (7 900) en 2015, année des attentats du Bataclan, de Charlie Hebdo et de l’Hyper Casher. « Les effets de la crise du coronavirus sont sûrement plus forts pour les juifs de France que ceux qui ont suivi les attentats en 2015 », pense Ariel Kandel, directeur de Qualita, association d’aide à l’intégration des juifs de France et des pays francophones.

Toute personne juive, ainsi que des enfants et petits-enfants de juifs peuvent bénéficier de la « loi du retour » et obtenir automatiquement la nationalité israélienne. « D’ici à fin 2021, nous nous attendons à l’arrivée de 90 000 personnes, contre 35 463 en 2019 », a pronostiqué mercredi au Parlement la nouvelle ministre de l’Immigration, Pnina Tamano-Shatta. Le plus grand réservoir de candidats potentiels pour l’aliyah est aux États-Unis où vit la plus grande communauté juive hors Israël au monde. Or les États-Unis ont été particulièrement touchés par le nouveau coronavirus.

Selon, Ronen Foxman, membre de l’association Nefesh Benefesh, qui s’occupe de l’émigration vers Israël des juifs d’Amérique du Nord et de Grande-Bretagne, les demandes d’aliyah en provenance de ces pays ont augmenté de 400 % ces derniers mois. Mais l’absence de reconnaissance et d’équivalence en Israël de certains diplômes est un handicap sérieux à l’immigration, souligne-t-il. Une opinion partagée par Ariel Kandel qui préconise notamment un allégement du processus d’équivalence de diplômes et davantage d’aides pour les candidats à l’aliyah. « Sans budget de l’État, ces gens ne pourront pas venir », dit-il. En pleine crise économique liée à la pandémie, le gouvernement israélien doit voter sous peu son budget. La ministre de la Diaspora, Omer Yankelevich, a plaidé pour un engagement clair des autorités : « Nous devons dire aux juifs de la diaspora que nous sommes avec eux dans ces moments critiques, quand les communautés juives sont en détresse à cause du coronavirus. »

Le coronavirus ne met pas plus en danger les juifs que les goyim parce que ce virus n’est pas plus létal qu’une grosse grippe. En revanche, il est la cause de la plus formidable crise économique de l’histoire, déclenchée sciemment par un carré d’oligarques. Ce que ces départs discrets préfigurent, c’est le carnage financier dans les pays concernés.

La juiverie évalue jusqu’à quel point elle a pu presser le citron au sein telle ou telle nation, fait ses calculs, déplace ses capitaux et s’évapore. Au petit matin, leurs serviteurs découvrent que le maître est parti et se retrouvent seuls face à la foule grossissante des escroqués venus réclamer solde de tout compte.

S’il faut être fou, cliniquement, pour accepter de lier sa destinée à pareille race d’escrocs, bizarrement, chaque nation produit son lot de shabbat goyim. Ce sont les virulents porte-voix de la juiverie, du temps de sa cruelle grandeur, qui soudain découvrent avec horreur que l’enchantement a cessé, qu’il faut faire face à ceux qu’ils persécutaient avec le regard approbateur du tyran hébraïque.

Pourquoi croyez-vous que Manuel Valls se soit envolé en Catalogne ?

Le terrain n’est plus très sûr.

En France, la juiverie vote avec ses pieds et pour arrogante et vindicative qu’elle soit dans sa presse, ses bataillons s’amaigrissent à vue d’œil. D’autant que pour un juif envolé en Israël, un nombre bien supérieur s’en va pour un de ses bastions secondaires que sont le Royaume-Uni et surtout l’Amérique, seconde patrie du juif édifiée sur le Dollar, c’est-à-dire Mammon.

Après avoir pourri votre pays de mahométans en vous couvrant d’injures, le juif s’enfuit sans un mot.

Si vous avez encore des illusions sur cette race, mieux pour vous de les dissiper au plus tôt si vous voulez comprendre ce qui se passe.

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