Les juifs font de l’état français judéo-mulâtre le fer de lance de l’éradication des Blancs en Europe

Captain Harlock
Démocratie participative
18 juillet 2018

C’est un sujet sur lequel je suis revenu hier. Du moins ai-je écrit un petit préambule expliquant la dialectique de la négrification mentale des masses françaises et les saines réactions racistes des Italiens au sujet de l’équipe de France de football.

J’aurais d’ailleurs dû souligner le rôle de l’Affaire Dreyfus dans la formation de l’antiracisme juif comme fondement de l’idéologie actuellement dominante en France.

Je veux maintenant revenir sur la conséquence de ce que j’expliquais hier, à savoir que les juifs, perdant la tête suite à l’avancement de cette négrification raciale de la France incarnée par cette histoire de Coupe du Monde, préparent déjà les esprits à l’extension de la guerre raciale contre l’Europe.

La juiverie, certaine de tenir fermement la France entre ses mains, veut s’en servir comme principal bélier pour soumettre le continent à son joug en abâtardissant les peuples blancs qui y vivent.

Dès lors, toute manifestation d’un instinct de conservation raciale par les Européens déchaîne la haine de presse juive.

Je vais citer ici le juif Alexandre Lévy dans « Courrier International » qui porte décidément bien son nom :

Les Bulgares ont soutenu, corps et âme, l’équipe croate. Un engouement partagé par de nombreux Européens de l’Est qui ont surtout vu chez les Bleus trop de… Noirs. Leur déception est à l’avenant.

Dimanche 15 juillet au soir à Sofia. Il est logique que les Croates soient tristes et abattus, écrit un chroniqueur du quotidien en ligne Dnevnik : ils viennent de perdre la finale contre l’équipe de France, un événement qualifié en Croatie “d’aussi important que l’indépendance du pays en 1991”. Ils peuvent d’autant plus l’être qu’ils ont, de l’avis général, très bien joué – et manqué un peu de chance. Mais pourquoi, poursuit l’auteur, cette même déception d’avoir raté le rendez-vous d’une vie semble partagée de façon aussi intense et intime par les supporters bulgares ? Il a fait chaud ce dimanche dans la capitale bulgare ; toutes les fenêtres étaient grandes ouvertes. “Et on entendait clairement les bordées d’injures et les cris de colère des spectateurs, après chaque but français”, poursuit-il.

À part le sentiment partagé d’une vague appartenance balkanique (que les Croates récusent), la Bulgarie n’a jamais été proche de Zagreb, ce qui n’est pas le cas avec la France. Solidarité orthodoxe ? Surtout pas : les premiers sont orthodoxes, les seconds (fervents) catholiques. Pourquoi alors cet engouement pour les Croates ? Selon une carte, publiée par le quotidien croate Jutarnji List avant la finale, une écrasante majorité de pays européens allaient soutenir l’équipe de Luka Modric plutôt que les Bleus.

“Si la finale était sur le même principe que l’Eurovision, nous aurions déjà gagné”, écrivait le journal. Une carte intéressante : certains pays sont partagés, comme la Grèce ou le Portugal, mais la plupart apportent leur franc soutien aux joueurs au maillot à damier rouge et blanc. À l’exception notable de la Serbie voisine – cas très particulier –, dont le président Aleksandar Vucic a lui-même précisé qu’il soutenait inconditionnellement l’équipe russe lors du match contre les Croates. La “solidarité slave”, avancée par le journal pour expliquer cet engouement pour les “Vatreni” s’avère donc à géométrie variable.

Un coup d’œil sur les réseaux sociaux bulgares apporte un début de réponse. L’arbitre de la finale, Néstor Pitana, y est souvent présenté comme le “meilleur joueur de l’équipe de France”. Mais ce n’est pas tout. Des photomontages de macaques tenant la Coupe du monde représentent les Bleus. Les commentaires sont à l’avenant, d’un racisme franc et décomplexé. Le leitmotiv ? L’équipe de France représente davantage l’Afrique que l’Hexagone. C’est une équipe d’immigrés à la différence des Croates qui, eux, sont de vrais Européens.

De manière encore plus troublante, au lendemain de la finale le quotidien populaire Standart de Sofia titrait en une : “L’Afrique exulte”, en précisant que 15 des 23 joueurs français étaient originaires du “continent noir”. Ce titre n’est pas passé inaperçu, bon nombre de commentateurs s’indignant que le journalisme bulgare “puisse tomber aussi bas”. D’autres ont néanmoins rappelé que de tels titres ont été produits par la presse française – et n’ont pas été jugés racistes. Dans un papier publié le 14 juillet, le très sérieux quotidien Sega de Sofia avait également abordé la question des étrangers dans l’équipe de France, en précisant que “seuls 6 des joueurs de Didier Deschamps sont des Européens pur jus”. Les autres auraient très bien pu jouer dans la sélection du Mali, de la RDC, du Cameroun, du Togo, de la Guinée, etc.

Cette question de la mixité et, plus généralement, de la représentativité ethnique des sélections nationales n’est pas nouvelle – notamment pour ce qui concerne l’équipe de France (un Jean-Marie Le Pen se fendait de commentaires à l’avenant il y a encore quelques années). Il y a aussi la question du conflit de loyautés : comme dans le cas des joueurs kosovars dans l’équipe suisse. Dans ce rejet des Bleus (chez lesquels il y a décidément trop d’Africains), le chroniqueur de Dnevnik voit, lui, une “frustration typiquement balkanique” : un exutoire, et une façon de fermer les yeux face à ses propres problèmes et défauts en s’en prenant à cette bande de “noirpiots prétentieux”. Le problème, à en croire la carte de Jutarnji List, est que ce sentiment semble partagé dans bien d’autres pays de cette “autre Europe”, chère au hongrois Viktor Orbán, dans laquelle il y a bien trop d’immigrés et de moins en moins d’autochtones. Et que ce sont bien les premiers qui ont gagné.

Voici la fameuse carte.

Ici, il y a deux dynamiques à l’oeuvre.

Tout d’abord, celle des mercenaires des juifs : les nègres. Bien évidemment, tous les nègres soutenaient l’équipe de France car elle était majoritairement de race noire. Nous l’avons largement démontré ces derniers jours.

Ils ont revendiqué la victoire comme étant celle de leur race.

 

L’état d’excitation de tous ces nègres a été parfaitement illustré dans les rues françaises la semaine passée.

Mais ce sont les juifs qui sont véritablement à la manoeuvre et aucune forme de nationalisme noir n’a les faveurs des juifs. Il est simplement toléré dans la mesure où il sert les intérêts des juifs et excite la haine des masses noires contre les autochtones blancs.

Cette stratégie a déjà été employée par les juifs aux USA. Tous les agitateurs racistes noirs désirant s’émanciper des juifs ont été invariablement brisés par eux : Marcus Garvey, Malcolm X ou Louis Farrakhan.

Car à un certain stade d’avancement, les leaders nègres voulant réellement exercer un contrôle sans partage sur les masses noires découvrent que le juif a déjà étendu son empire sur elles. A l’instant où ces leaders évoquent le rôle des juifs dans cette domination, ils deviennent instantanément démonisés par la presse juive.

Le but des juifs en Europe : détruire la race blanche sous le masque démocratique

 

Pour les juifs, l’idée centrale consiste à abattre la race blanche en France, à briser l’homogénéité de son peuplement originel pour lui substituer un salmigondis de peuplades hétéroclites et concurrentes qu’ils pourront aisément dominer en les poussant les unes contre les autres, au gré des circonstances.

Le juif a toujours agi ainsi, agira toujours ainsi. Il est dans sa nature de parasite que de n’avoir de fidélité qu’envers lui-même, quitte à plonger le monde entier dans le chaos.

Les masses aryennes de France, progressivement encagées dans cet enfer multiracial, ne peuvent plus s’ébrouer de ces parasites coalisés au sein du régime démocratique que les juifs agitent pour leur compte.

Pour la juiverie il est donc crucial de faire passer l’invasion arabo-nègre en contrebande en proclamant, encore et toujours, la « francité » des métèques qu’elle infiltre sur le territoire français.

L’araignée juive et son golem nègro-républicain

 

L’enjeu est d’édifier en France un état mulâtre sous direction sémitique, futur marchepied de la destruction finale de la race blanche en Europe. Ce processus doit impérativement passer, aux yeux des juifs, par le maintien de la fiction qu’est la légalité démocratique. C’est le seul système qui lui permette d’infiltrer le corps social des peuples ennemis en le concassant de l’intérieur via l’individualisme libéral qui est le pilier du démocratisme hébraïque.

Dans le même temps, il se ménage des blocs raciaux compacts auxquels il promet butins et pouvoir.

La République Française est plus que jamais un état juif. Il est l’assurance vie des juifs en Europe en plus d’être son réservoir de supplétifs contre l’Europe. Si d’aventure l’Allemagne sous occupation judéo-américaine devait sortir de sa dormition, à l’instar de l’Italie, les juifs ont la certitude d’avoir en France une forteresse d’où ils peuvent continuer d’empoisonner le sang européen.

Les juifs vont intensifier la dissémination des métastases raciales que sont ses mulâtres. Bientôt, chaque ambassade de France deviendra un poste avancé des juifs chez les nations européennes d’où ils expédieront leurs troupes de choc.

Rien d’autre que cet enjuivement de l’Etat Français n’explique la montée croissante des tensions entre la France et le reste du continent. Le juif, cet éternel fauteur de guerre, sait que son projet de guerre raciale amènera une résistance de la part de l’humanité blanche.

C’est pourquoi il guette, avec l’oeil vide de l’araignée, le moindre mouvement de sa proie aryenne. La plus légère manifestation de défense chez elle mobilise sur le champ tous les petits youtres actifs dans sa machine de propagande.

Il va donc pousser cet état français sémitisé et négrifié contre le continent, utilisant tous les leviers de pouvoir et d’influence de cet état contre toutes les forces qui veulent lui résister.

Chacun peut mesurer à quel point la destruction du pouvoir juif en France est fondamentale pour quiconque veut stopper l’offensive finale de la juiverie en Europe.