Les juifs décrètent un train de sanctions économiques contre le journal contresémite Rivarol

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 avril 2022

 

 

Le juif Mendès en charge de la censure des médias audiovisuels, écrits et numériques en France occupée avait exigé la fin des tarifs spéciaux accordés au journal Rivarol conformément à la législation en vigueur.

Le temps que les demandes soient transmises aux fonctionnaires de l’administration coloniale juive et la suspension est déjà prononcée.

Rivarol :

CE N’EST PAS UN POISSON D’AVRIL. Le vendredi 1er avril, nous avons reçu à nos bureaux une lettre recommandée avec demande d’accusé de réception de la Présidente de la CPPAP, la Commission paritaire des publications et agences de presse, Madame Laurence Franceschini, conseiller d’Etat, indiquant qu’« en application de l’article 12 du décret n°97-1065 du 20 novembre 1997 relatif à la Commission paritaire des publications et agences de presse, il a été décidé de réexaminer le certificat délivré à la publication “RIVAROL” (n° 0223 C 82763) avant le terme de sa durée de validité. » Nous reproduisons la lettre en intégralité en page 2 de ce numéro. « En cas de non-réponse dans le délai imparti (qui est d’un mois à réception de la lettre), la publication sera radiée et la décision sera dûment notifiée à La Poste et à l’administration fiscale. »

Cette missive, à la sécheresse toute administrative, et qui n’émet aucun grief explicite, apparaît à l’évidence comme une réponse à la tribune parue dans Le Monde daté du 8 mars 2022 cosignée par trente-quatre personnalités, dont les époux Klarsfeld, Tristan Mendès France, le président de la LICRA, Mario Stasi, qui vient d’être réélu pour un nouveau mandat à la tête de son organisation, et Dominique Sopo, président de SOS Racisme et enjoignant à la CPPAP de nous radier purement et simplement (voir RIV. 3510 du 16 mars 2022). Afin que nous soyons exclus de la vente en kiosques et dans les supermarchés, maisons de presse, enseignes culturelles, etc., et que nous perdions le bénéfice d’un taux réduit de TVA sur chaque exemplaire vendu, taux qui passerait alors de 2,1 % à 20 % et de tarifs avantageux de La Poste pour les abonnements.

Il s’agit de nous liquider, sans le dire ouvertement (l’hypocrisie est en effet totale dans cette affaire et les non-dits systématiques), car cette perte du certificat délivré à l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne conduirait à des frais supplémentaires considérables et à des rentrées bien moindres si notre présence en kiosque est supprimée ou entravée. Le manque à gagner serait d’au moins cent mille euros annuels, peut-être plusieurs centaines de milliers si nous perdons totalement l’accès à la vente autre que par abonnements. Car les kiosquiers, les marchands de journaux, les grands magasins n’auraient plus l’obligation de nous vendre, ce qui était le cas jusque-là dans la mesure où nous étions considérés comme une publication d’information politique et générale (IPG) protégée à ce titre par la loi Bichet (1947) qui impose de ne pas refuser de vendre et d’exposer un journal politique ayant l’agrément de la CPPAP. Et on peut aisément imaginer que des coteries, des associations, toujours les mêmes, pourraient faire pression sur les enseignes de distribution, sur les maisons de la presse et même sur les kiosquiers indépendants si ceux-ci consentaient, malgré tout, à nous vendre encore, en leur disant qu’ils n’ont pas moralement le droit d’exposer sur des tourniquets ou dans des rayons et de mettre à la vente une publication « négationniste et antisémite » ayant perdu l’agrément de la CPPAP. Et ainsi le tour est joué.

LES RÉDACTEURS de la tribune en forme de pétition et de délation parue en toute confraternité (cela aussi, c’est un signe des temps !) dans Le Monde le 8 mars 2022 mettaient explicitement et fortement la pression sur le ministère de la Culture et sur la direction de la CPPAP pour que nous soit retiré en toute urgence ce certificat : « Conformément au règlement de la commission paritaire des publications et agences de presse, Mme Roselyne Bachelot et Mme Laurence Franceschini, présidente de la CPPAP, auraient dû demander la réunion extraordinaire des membres de ladite commission pour acter l’exclusion de RIVAROL, comme ce fut le cas en 2015 pour Valeurs actuelles, condamné pour racisme anti-Roms. […] Nous appelons donc la CPPAP à prendre ses responsabilités en réexaminant dans les meilleurs délais le certificat d’IPG et l’immatriculation de RIVAROL. » Dans sa lettre recommandée, la présidente de la CPPAP reprend mot pour mot, de manière télécommandée, la demande de Klarsfeld visant à “réexaminer” en toute urgence notre certificat. Sauf miracle, la réponse ne fait guère de doute. Ne soyons pas naïfs ; tout est probablement déjà plié et décidé. Il s’agit seulement de respecter les formes de manière minimale.

A la vérité, il n’y avait dans cette décision aucune espèce d’urgence et de nécessité. La fin de la période de validité de notre agrément était dans quelques mois seulement, en février 2023. N’était-il pas possible d’attendre au moins jusque-là avant de prendre une décision définitive ? Mais ce que Klarsfeld veut, il l’obtient. Nous bénéficions de ce certificat depuis l’année de notre création en 1951. Il a été renouvelé tous les cinq ans sans aucune difficulté ni aucun retard, ni aucune condition restrictive jusque-là. Et malgré l’ajout le 20 novembre 1997 d’un nouveau critère restrictif dans la charte de la CPPAP concernant « les publications négationnistes, incitant à la haine raciale, à la xénophobie », à la suite de la promulgation, sept ans plus tôt, de la scélérate loi Rocard-Fabius-Gayssot, cela ne nous avait nullement empêché de voir renouvelé fort normalement et très régulièrement notre certificat en 1998, en 2003, en 2008, en 2013 et encore en 2018. Pourquoi ce qui était parfaitement acceptable hier, alors même que la ligne éditoriale du journal n’a nullement changé depuis, ne l’est plus désormais ? Si ce n’est parce qu’une certaine coterie, toujours la même, qui fait la pluie et le beau temps, ne souffre plus qu’existe encore une publication libre, indépendante et insolente comme la nôtre. Aussi modeste soyons-nous (quelques milliers de lecteurs seulement), c’est encore trop pour elle, il faut nous faire taire. Elle veut tout contrôler, tout verrouiller, tout écraser, comme les Palestiniens sous les roues de ses chars ensanglantés.

TOUT EST FAUX dans cette tribune de Klarsfeld et compagnie : jamais Valeurs actuelles, d’orientation zemmourienne et nationale-sioniste, n’a perdu le certificat de la CPPAP. C’est un pur mensonge. Il a perdu temporairement en 2015 l’accès aux aides directes de l’Etat, aux subventions publiques de la presse écrite que nous n’avons pour notre part jamais obtenues ni sollicitées en 71 ans d’existence et de parution ininterrompue. Il n’a jamais été question de remettre en cause, à quelque moment que ce soit, l’agrément de la commission paritaire pour Valeurs actuelles. Il est incroyable que les trente-quatre cosignataires de la tribune du 8 mars puissent mentir à ce point, ou à tout le moins, faire preuve d’une telle légèreté au point de ne pas vérifier une information de cette importance, pourtant si facile à trouver !

Ces signataires mentent également en affirmant que votre serviteur a été exclu de l’Education nationale (ils reprennent même ce mensonge en gras dans l’intertitre de leur texte). Il eût pourtant été facile de vérifier auprès du ministère de l’Education nationale ou auprès de l’intéressé qui n’a jamais subi ni mise à pied, ni suspension, ni exclusion et dont les rapports de l’inspection académique étaient tous excellents. Là encore, ils ne se sont nullement donné la peine de vérifier la véracité de ce qu’ils écrivaient. Quel manque de sérieux ! Ils mentent encore, ils mentent toujours en assénant que nous ne remplissons pas les critères d’une publication d’information politique et générale alors qu’il suffit de nous lire régulièrement de manière objective pour se rendre compte que nous traitons chaque semaine depuis janvier 1951 de l’actualité nationale et internationale, que nous y consacrons de longs articles, des analyses fouillées et que nous abordons également l’histoire, la littérature, les sujets de société. C’est donc là encore un pur mensonge.

MAIS PEU IMPORTE pour les auteurs de la tribune qui ne sont pas là pour servir la vérité mais simplement pour accomplir une sale besogne : intimider la commission paritaire pour qu’elle nous donne le coup de grâce. Et quoi de mieux pour intimider un tiers, pour l’amener à faire ce que l’on veut, que d’agiter le chiffon rouge de l’antisémitisme. L’emploi seul de ce mot suffit à ouvrir toutes les portes. C’est un passe-partout auquel ne résiste aucune serrure, un talisman qui assure à l’avance de toutes les victoires, un bélier auquel rien ni personne (ou presque) ne résiste à notre époque. Lutte contre l’antisémitisme : que de crimes commet-on en ton nom ! Combat contre la (prétendue) haine : que d’infamies l’on multiplie en ton nom ! Rejet du (prétendu) négationnisme : que d’injustices, que d’ignominies, que de perfidies on justifie en ton nom !

La nonagénaire Ursula Haverbeck vient à 93 ans d’être à nouveau emprisonnée en Allemagne pour une durée d’un an. Elle a déjà passé plus de trente mois en prison pour révisionnisme. Cette Dame Courage a été à nouveau condamnée à douze mois de prison ferme par un tribunal de Berlin qui a considéré qu’elle devait retourner derrière les barreaux car elle n’avait montré aucun remords, ni aucun signe de changement d’opinion lors des audiences d’appel. Les magistrats n’ont tenu aucun compte de son grand âge, à la joie non contenue des organisations de la Mémoire et de comptes Twitter comme celui intitulé Jugé coupable (tout un programme !) tenu par les Likoudniks anonymes de BTA (Balance Ton Antisémite ) et dont voici le commentaire tout en finesse et en humanisme : « Aucune pitié pour ces ordures ! Avis aux amateurs. Au trou, la vieille ! Ce n’est pas parce qu’elle a 93 ans que son négationnisme est moins répugnant ni moins condamnable. La négationniste méga-multirécidiviste Ursula Haverbeck est donc (légitimement) renvoyée en prison ». Pendant ce temps, la très soumise Marine Le Pen disait sur la chaîne israélienne I-24 qu’elle était la meilleure candidate « pour protéger la communauté juive ». Nous le croyons volontiers, même si la concurrence est particulièrement rude sur ce sujet. Car, une chose est sûre, quel que soit celui des douze clampins qui sera élu le dimanche de Quasimodo, « l’influence puissante et nocive du lobby juif » (dixit feu François Mitterrand) sur la politique française et internationale, sur la destruction des libertés les plus fondamentales, sur la persécution des esprits libres amoureux de la vérité ne sera ni réduite ni contenue, ni annihilée. Bien au contraire, et ce quel que soit le gagnant de cette sinistre farce à laquelle, pour notre part, nous ne participerons en aucune manière. 

Telle est la réalité de ce pauvre pays tombé aux mains de la race la plus cruelle et la plus maléfique que la terre ait jamais portée.

Rivarol n’est pas un média de masse, comme le dit Jérôme Bourbon. Le journal tire à quelques milliers d’exemplaires. Mais pour la race juive, c’est une question d’arrogance coloniale : sa main mise doit être spectaculairement absolue et son étreinte mortelle toujours plus tapageuse.

Le juif paranoïaque ne peut trouver le sommeil sans s’assurer que sa dictature raciale soit hermétiquement totale. Trois personnes murmurant à son sujet quelque part suffisent à le plonger dans la détresse émotionnelle la plus complète.

Le juif, inversement persuadé que sa domination est naturelle et légitime qu’il est haï de tous, a besoin de compenser par la terreur le déficit de sympathie que ses agissements suscitent naturellement chez les peuples qu’il opprime. « Mieux vaut être craint qu’être aimé », résume le plus parfaitement l’histoire de ce peuple systématiquement expulsé de toutes les nations qu’il a essayé de réduire en esclavage.

Le juif n’agit jamais de lui-même. Il lui faut de lâches et veules traîtres pour faire ses volontés, ce que les démocraties lui permettent de recruter par légions entières.

Si la France est devenue l’antre satanique qu’elle est aujourd’hui, c’est parce que le juif, plus parfaitement qu’ailleurs, y a établi ses quartiers sans opposition depuis trois quarts de siècle.

La France putréfiée de 2022 est le visage de l’âme juive : tout y est tordu et grimaçant, comme une toile de Soutine.

Cette France est, pour le juif, un véritable paradis. Tout ce qui sent la mort attire naturellement le juif comme la lumière le papillon de nuit. Le juif ne prospère que sur de la chair en décomposition. Il se délecte des jus de tripes pourries comme l’Aryen d’un grand vin.

Il n’y a pas de problème d’antisémitisme en France.

Il y a un problème de sémitisme en France.

Le destructeur hébraïque de culture y a fait des merveilles d’anéantissement sous les applaudissements des masses de goyim lessivées.

Dans la France juive, tout ce qui se revendique du « patriotisme » a logiquement muté en forme la plus agressive du sémitisme. Quel est le carré le plus extrémiste du sémitisme ? L’extrême-droite de la France hyper juive, bien sûr !

 

En France, le « patriotisme » parle yiddish, au point d’être caporalisé par un séfarade.

Paradoxalement – et quoi qu’on en dise – c’est un autre hyper sémitisme qui va abattre l’actuel. Les masses femelles chrétiennes ayant formellement apostasié pour servir à chaudes larmes l’Ancien Testament, c’est le coran qui forme à présent la force qui conteste la domination juive sur la France et qui en a les moyens démographiques.

Vous voyez tous ces Ukrainiens hachés pour la gloire du juif Zelensky ? C’est le sort qui attend les derniers restes de viande blanche qui se piquent de « patriotisme » en France. Envoyés en rangs d’oignon protéger les rentes du maître, le temps d’assurer son repli ordonné vers une autre nation à piller.

Assemblez l’ost ! Le rabbin appelle à l’aide.

EELB sera bientôt de retour

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