Les juifs de Sleeping Giants appellent à boycotter « Valeurs Actuelles »

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 décembre 2019

Les juifs de Sleeping Giants ont probablement commis une erreur psychologique en s’en prenant à la droite réactionnaire lambda.

Ces terroristes s’étaient jusqu’à présent contentés de cibles sans intérêt.

Slate :

Après Boulevard Voltaire, Breiz Atao et plus récemment l’émission avec Éric Zemmour sur CNews, les Sleeping Giants, des activistes anonymes qui veulent lutter contre le financement des discours de haine sur internet et dans les médias, ciblent désormais un journal. Depuis ce lundi 2 décembre au matin, le collectif a lancé une nouvelle opération contre Valeurs actuelles, dont il estime que le contenu n’a «rien à envier» à celui des publications d’extrême droite comme «Boulevard Voltaire, Minute ou Rivarol».

Ces gens ne sont que partiellement anonymes.

Le patron est un juif américain.

Matt Rivitz.

Le nez crochu, la bouche lippue : le masque du crime

Les juifs cherchent à rester « anonymes » lorsqu’ils empoisonnent les puits des goyim pendant la nuit.

Ces derniers mois, la méthode de ces activistes a été abondamment décortiquée. Dans les grandes lignes, leur objectif est de «taper au portefeuille», afin de tarir les sources de ce que d’aucuns appellent «l’argent de la haine».

L’embargo économique.

La signature habituelle du juif qui se place aux points où s’articulent les flux financiers.

Concrètement, les activistes choisissent une cible propageant, selon leur opinion, des discours de haine (site internet, émission télé, etc.) et répertorient les entreprises dont les publicités sont, bien souvent à leur insu, accolées à ce contenu. Le collectif interpelle alors publiquement ces marques sur Twitter et les invite à faire leur choix en toute connaissance de cause: maintenir leurs pubs, au risque de voir leur image associée à ce contenu, ou les déprogrammer, si elles considèrent que cela contrevient à leur éthique.

Depuis leurs débuts en 2017, le collectif des Sleeping Giants a, selon les statistiques qu’il nous a communiquées, convaincu des milliers de marques, pour un seul refus «prononcé». Il se heurte toutefois aussi à l’incompréhension de certaines entreprises, par exemple chinoises, avec lesquelles le dialogue est compliqué.

Notez bien ça.

Les Chinois vont nous être d’une aide précieuse dans les années à venir.

«En télévision, quand une marque profite de l’audience générée par le buzz de propos abjects, elle paie proportionnellement à cette audience, donc elle amène plus d’argent à la chaîne et récompense ainsi sa stratégie», souligne Rachel*, au nom des Sleeping Giants français, pour expliquer l’action contre l’émission d’Éric Zemmour. «L’argent de son budget publicitaire, ce sont les consommateurs, vous, nous, qui le leur procurons. Se taire reviendrait à cautionner également. C’est un droit et un devoir de se faire entendre, de demander à la marque de se positionner, de montrer que si elle a signé une charte éthique en interne, ce n’est pas pour financer exactement l’opposé.»

Une méthode simple mais qui a un gros impact. Outre la forte couverture médiatique de l’opération Zemmour, en quelques semaines seulement les Sleeping Giants ont atteint leur but. La majorité des annonceurs s’est retirée et il ne reste plus guère que le groupe Canal (auquel appartient CNews) pour continuer à diffuser de la publicité autour de l’émission. Une fuite qui représente une importante perte de revenu pour la chaîne. Combien précisément? Silence radio du côté du groupe Canal, mais La Lettre A avance le chiffre de 600.000 euros.

Oh, je vous rappelle qu’il est interdit de boycotter Israël en France.

En revanche, le boycott de tout ce qui peut contribuer à défendre les intérêts des populations blanches est parfaitement légal et encouragé.

Par les juifs.

Dans les faits, la reconnaissance SPEL de Valeurs actuelles arrive à échéance très prochainement, en janvier 2020. Un «hasard», répond Rachel, précisant que l’action déclenchée par le collectif n’est en rien une injonction aux autorités de reconsidérer cette reconnaissance.

«Il y a souvent une incompréhension de notre action. Lorsqu’une publication, une émission télé ou autre diffuse un message qui nous paraît ignoble, tendancieux et haineux, mais que ce message reste dans les limites de la légalité, nous ne réclamons pas une censure. Nous désirons seulement que les sources de financement soient informées et consentantes, et que chacun prenne la pleine mesure de ses décisions», rétorque-t-elle.

Et de poursuivre: «La rédaction de Valeurs actuelles a choisi une ligne éditoriale dont elle sait qu’elle va attirer un certain lectorat et en faire fuir un autre. Pourquoi n’en serait-il pas de même pour les annonceurs publicitaires? Si trop d’annonceurs les fuient, et que la publicité programmatique [automatisée, ndlr] n’est plus rentable pour eux, ils ont le choix de trouver d’autres moyens de financement comme les abonnements, dons, vente de t-shirts, tombola ou autres qui s’accordent avec leurs décisions stratégiques

Ha ! une « tombola » !

« Rachel » est bien aussi stupide qu’une sale youpine peut l’être.

Le complexe de supériorité de la juiverie est décidément son point faible. Le besoin sadique d’humilier sa victime qu’éprouve le juif pousse à bout le goy le mieux disposé à son égard.

Son insolence finit toujours par se retourner contre lui.

La preuve : toute la droite pro-israélienne s’est mise à contre-attaquer furieusement.

C’est bien fait pour tous ces gens inféodés aux juifs dont ils espéraient la bienveillance. Aucun d’entre eux n’a dénoncé la censure que nous avons subit et continuons de subir, à Démocratie Participative, à cause de ces sales juifs.

Ces « philosémites » peuvent désormais apprécier l’expérience par eux-mêmes.

La méthode a fait ses preuves, et essaime donc. Le projet Stop hate money, piloté par l’universitaire Tristan Mendès France, a ainsi vu le jour cet été avec l’objectif lui aussi de «responsabiliser les acteurs et les intermédiaires financiers qui facilitent (parfois sans le savoir) la propagation des discours de haine en ligne».

Tiens, le juif Mendès, descendant de trafiquant d’esclaves noirs de Bordeaux.

Contacté ce lundi 2 décembre au matin, Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction de Valeurs actuelles, a réagi en dénonçant des méthodes qualifiées de «terrorisme intellectuel» et un «sabotage industriel». «Nous ne comptons pas porter plainte mais nous allons nous battre sur le fond, car ces méthodes sont scandaleuses», ajoute-t-il. Puis de conclure: «Nous allons riposter en enquêtant sur ces gens.» 

Fort bien. C’est au moins une façon de se racheter en partie après n’avoir rien fait ni dit contre la censure hébraïque ces dernières années.

La divulgation des identités des terroristes juifs qui se trouvent derrière « Sleeping Giants » devrait faire la joie de beaucoup de gens, jusqu’à nos lecteurs qui ont un esprit très pratique.

Beaucoup de gens sont frustrés et ne demandent qu’à connaître les noms de ceux qui les font souffrir.

Cela s’annonce très drôle.