Les jeunesses judéo-macronistes du SNU tombent comme des mouches après quelques minutes au soleil

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 juin 2019

J’en parlais avant-hier, les jeunesses judéo-macronistes du « SNU », avant-garde de la république turbo-négrifiée, sont l’objet d’une vrombissante campagne de promotion médiatique.

Bon, je vous rassure, nous n’avons à faire aux volontaires de l’An II.

Le contexte

Pour l’occasion à Evreux se tenait l’inauguration d’un insolite grigri gaulliste, pour faire pleuvoir je présume, sous le patronage du petit-fils de rabbin Jean-Louis Debré.

Mais c’est la suite qui est édifiante.

Toute la troupe de branleurs multicolores assemblés pour l’occasion a commencé à défaillir au bout de quelques minutes.

Le motif en est qu’il y avait du soleil dans le ciel.


 

Et ils ont tous des casquettes.

Mes enfants, si les Prussiens revenaient, un régiment de 2000 types équipés de balais prendrait la France en deux semaines.

Juste en parlant fort.

Oubliez les paysans gaulois enterrés dans des tonnes de boue, grignotés par les rats et couverts de poux : on a plus ça en stock.

Maintenant, on a de belles tafioles de 20 piges, des grosses verrues en surpoids absolument dégueulasses à queue de cheval, des bordées mirifiques de négresses tirant sur le violet.

Si, sur le violet.

Elle est peut-être transgenre celle-là

Le plus grand Leroy Merlin de France n’a pas l’étendue de la palette chromatique de nos bataillons créoles. Des mauves, des bleus, des noirs tellement noirs que même le charbon jurerait sur eux, des gris, véritablement gris, grimaçant de pesanteur.

Et la viande blanche, rétamée.

Si ces gens arrivent à courir 20 minutes sans s’effondrer faute de sucre blanc, les youtres pourront se mettre à genoux et louer Yahvé.

Le juif s’assure d’une garantie.

La plus importante : mettre les Blanches à portée du nègre.

Le juif ne varie pas : sa boussole raciste guide l’initiative.

Ce SNU n’est qu’une opération de traite des Blanches qui ne dit pas son nom.

Extirper les Blanches en masse de leurs familles sidérées pour les faire sauter par la basse humanité négroïde que le juif a assemblé à cette fin depuis les banlieues extra-européennes de l’Hexagone.

« Mixité sociale » oblige, ces régiments de nègres vont recevoir leur livraison annuelle de jeunes Gauloises.

C’est une simple réalité statistique : le juif sait que de ce cheptel de Blanches régulièrement écrémé, il peut exposer chaque année 20 ou 30% du lot au nègre en rut. Et même retirer, pour 5% du lot, l’objet dont sa cervelle hébraïque brûle de désir : un bâtard mulâtre.

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