Les goys désormais déchus de leurs droits civiques s’ils résistent à l’invasion du tiers-monde musulman

Wolf
Démocratie Participative
26 juillet 2017

 

 

C’est une attaque d’une brutalité inédite de la part de la vermine cosmopolite contre la population française de souche.

Sur un ton triomphal, la juiverie organisée a proclamé ce qu’elle considère comme sa victoire politique définitive sur le peuple français dans un communiqué.

Licra :

Depuis plusieurs années, la LICRA milite pour que les délits liés au racisme, à l’antisémitisme, au négationnisme, à la xénophobie et à toute forme de discrimination conduisent à l’inéligibilité de leurs auteurs. Un pas historique vient d’être franchi avec l’adoption de l’article 1 de la loi « de confiance dans l’action publique » par l’Assemblée Nationale.

En effet, par leur vote, les députés ont instauré une peine d’inéligibilité de 10 ans pour les personnes condamnées pour : Injure publique à caractère racial (Article 33 alinéa 3 de la loi du 29 juillet 1881), Injure publique à caractère homophobe (Article 33 alinéa 4 de la loi du 29 juillet 1881), Diffamation publique à caractère racial (Article 32 alinéa 2 de la loi de 1881), Diffamation publique à caractère homophobe (Article 32 alinéa 3 de la loi de 1881), Provocation publique à la discrimination, à la haine ou à la violence à caractère racial (Article 24 alinéa 7 de la loi de 1881), Provocation publique à la discrimination, à la haine ou à la violence à caractère homophobe (Article 24 alinéa 8 de la loi de 1881), Apologie de crimes contre l’humanité (Article 24 alinéa 5 de la loi de 1881), Contestation de crimes contre l’humanité (Article 24 bis de la loi de 1881), Discrimination (Article 225-1 et 225-2 du code pénal).

Il s’agit là d’une avancée historique dans la lutte contre le racisme.

Une avancée historique contre la race blanche, faut-il comprendre.

Et c’est l’immonde Jakubowicz qui a été le plus loin dans l’ignoble :

Pour Alain Jakubowicz, président de la LICRA, « le Gouvernement se proposait de rétablir la confiance entre les Français et leurs élus mais limitait cette question à la probité financière des élus. Pourtant, être probe, ce n’est pas seulement être en règle avec Bercy. C’est aussi l’être avec la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. En matière de dégradation morale, d’atteinte à la dignité du débat démocratique et de perte de confiance dans la parole publique, un raciste vaut bien un corrompu. Le même sort doit être réservé à l’un comme à l’autre. Les députés, et notamment Olivier Dussopt, Pierre-Yves Bournazel, Jean-Michel Mis et Naïma Moutchou ont fait un travail considérable d’amélioration du texte en reprenant les propositions de la LICRA. Le message adressé à nos concitoyens est clair : la République Française proclame que désormais les noms des racistes, des antisémites, des négationnistes, des homophobes n’ont rien à faire sur un bulletin de vote ».

« Raciste » ne renvoie à rien d’autre qu’à un Français de race blanche qui se défend face à la submersion nègre et islamique qu’encourage de toutes ses forces la juiverie politiquement organisée telle que représentée par Jakubowicz.

La « dignité du débat démocratique » suppose donc, pour les descendants de ceux qui ont édifié la France, d’être déchus de leurs droits au moment où toute la pouillerie afro-orientale clandestine est accueillie en libératrice par cette même vérole.

Le complot contre les autochtones de la part de cette ligue cosmopolite s’expose au grand jour, avec ce juif glorieux et triomphant en guise de porte-étendard.

En substance, les juges rouges pourront interdire – sur ordre de la Licra – à tous les opposants d’agir politiquement sur la base de procès de Moscou qu’ils auront monté au préalable.

Ceci étant posé, il s’agit d’une grossière erreur de calcul de cette coalition infernale. Elle pousse irrémédiablement tous les contestataires et opposants dans les bras des révolutionnaires. Nombre de gens qui, même dans des partis comme le Front National, espéraient pouvoir « agir » dans le cadre existant en seront privés. Même Marine Le Pen y sera tôt ou tard soumise à sa mise à l’écart brutale.

En d’autres termes, l’illusion démocratique se dissipe comme jamais : tous doivent se soumettre à la tyrannie judéo-républicaine telle que nous la voyons se former. Ce qui signifie d’accepter la réduction en esclavage par la tenaille judéo-maçonnique et islamique. Sinon, la répression la plus impitoyable et la mise à mort sociale.

C’est-à-dire ce qu’ils annoncent très exactement :

D’ici peu, vous devrez abandonner vos villes et villages pour les céder aux nègres sous la supervision de commissaires politiques juifs tels que Jakubowicz.