Les goyim censés censurer Facebook pour le compte des juifs deviennent antisémites en réalisant que les contenus supprimés disent la vérité

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 février 2019

Ces sales goyim, on ne peut jamais leur faire confiance.

Le Point :

C’est l’une des nombreuses entreprises à qui Facebook a délégué sa modération. Son nom ? Cognizant. Elle emploie plusieurs milliers de contractuels pour contrôler chaque jour les contenus du réseau social aux 2,3 milliards d’utilisateurs. Dans une vaste enquête menée auprès d’une douzaine de collaborateurs, le site spécialisé The Verge détaille à quel point les recrues finissent traumatisées par l’expérience. Contrat précaire, isolement, travail surveillé, exposition continue à du contenu choquant laissent les salariés dans un piteux état. « On les incite à ne pas discuter du poids émotionnel que leur travail leur impose, même avec leurs proches », explique notamment le journaliste.

Il n’existe que deux différences entre la censure communiste chinoise et la censure juive occidentale. Mais elles sont majeures.

Premièrement, la censure chinoise n’implique que des censeurs chinois.

Les juifs emploient à la place des nègres, des chieurs de rue, des musulmans ou des femmes marrons.

La raison derrière ce recours aux gens colorés pour surveiller et censurer le net occidental est assez simple à comprendre : pour faire taire les Blancs, il faut une main d’oeuvre motivée. Et les gens marrons ont un intérêt évident à s’assurer que les Blancs ne puissent pas parler de leurs problèmes, i.e. les gens marrons.

Si vous ne savez pas comment ça marche, un rapide coup d’oeil :

La seconde différence, c’est que l’Occident sous occupation juive privatise sa censure.

Pour une raison évidente : les juifs tiennent beaucoup à une de leurs traditions qui consiste à faire de l’éradication des Blancs un business lucratif.

Ce n’est pas pour rien que cette race est impliquée depuis des millénaires dans le trafic d’esclaves.

Les juifs ont donc créé ces kolkhozes capitalistes d’où opèrent leurs nouvelles bêtes de somme.

Les 1 000 contractuels employés dans le centre de Phoenix (Arizona) disposent d’une formation de quatre semaines au bout de laquelle ils ne sont pas sûrs d’être embauchés. Leur salaire  ? 28 800 dollars par an, quand les salariés de la maison mère de Facebook tournent autour de 240 000 dollars annuellement.

Désolé, goy…

…tu travailles, les juifs récoltent.

Dans son enquête, The Verge raconte la pression mise sur l’ensemble des modérateurs qui contrôlent chaque jour 8 000 messages, photos, vidéos diffusés sur le réseau social. Résultat, un salarié explique passer environ 30 secondes par post pour atteindre 400 traitements par jour. The Verge raconte comment la politique de Facebook en termes de liberté d’expression s’avère parfois contradictoire, ce qui place les modérateurs dans des situations aberrantes. Ainsi, un message comme « Les personnes autistes devraient être stérilisées » ne sera pas retiré, alors que « Je déteste tous les hommes » viole la politique du site. Et attention aux erreurs d’appréciation : les modérateurs qui prennent trop de « mauvaises décisions » risquent le licenciement.

N’oubliez pas que cet article du Point reprend l’enquête de The Verge qui est dirigé par le juif Topolsky.

Donc, quand ces plumitifs juifs disent, « oh, ils laissent en ligne des appels au meurtre d’autistes mais ils n’autorisent pas à promouvoir la haine des hommes », il faut comprendre que l’accusation qui est portée ici, c’est que la censure qui frappe les Blancs est encore trop coulante.

Et parfois, il y a des dysfonctionnements.

Devant la prolifération des théories conspirationnistes en ligne, plusieurs contractuels ont avoué douter de plus en plus des versions officielles. Un salarié se balade dans le bâtiment en expliquant que la Terre est plate. Un ancien raconte qu’il a commencé à se poser des questions sur certains aspects de l’Holocauste. Un autre, qui dort avec une arme à feu, a déclaré que l’attentat du 11 septembre 2001 n’était sûrement pas une attaque terroriste.

Ce truc est vieux comme le monde.

La CIA utilisait déjà la dissémination de théories délirantes au sujet de l’assassinat de Kennedy dans la presse pour faire passer ceux qui posaient trop de questions pour des dingues.

Cette histoire de Terre Plate est l’exemple le plus loufoque que ces juifs ont trouvé à promouvoir pour discréditer les 6 trillions de juifs transformés en savon ou que le 11 septembre 2001 a été orchestré par trois bédouins planqués dans une grotte en Afghanistan.

Mais le fait est que ces modérateurs, en étant simplement au contact des éléments occultés par les médias juifs, connaissent un choc cognitif énorme.

Soudainement, les pièces du puzzle commencent à s’assembler. Et le juif se trouve toujours dans le voisinage au moment où cela se produit.

A ce moment-là, vous avez deux types de réactions :

  1. le déni,
  2. mettre un portrait d’Adolf Hitler en fond d’écran

Nous sommes tous passés par ce processus.

Il n’est pas étonnant que les ouvriers recrutés pour maintenir l’infrastructure de la matrice juive en place découvrent avec effroi qu’ils sont eux-mêmes des esclaves des juifs.

Ils le découvrent d’autant mieux qu’ils sont payés pour supprimer tous les contenus qui remettent en cause l’intégrité de cette matrice et voient donc ce qui est effectivement dangereux pour elle.

La répétition de la tâche finit par convaincre les moins  idiots de ce qui se passe.

L’anxiété qui règne dans l’entreprise ne laisse pas les anciens modérateurs indemnes. Plusieurs racontent souffrir de syndromes de stress post-traumatique et de crises d’angoisse en public : « Je ne pense pas qu’il soit possible de faire ce travail et de ne pas en sortir avec un trouble de stress aigu », explique un employé.

Et pour cause : chaque Occidental est programmé pour réagir à certains stimuli.

Tout le système judéo-démocratique repose sur la création d’un traumatisme collectif grâce au martèlement incessant, dès le plus jeune âge, de contes dantesques à base de juifs incinérés.

Les monstres dévoreurs d’enfants de jadis ont été remplacés dans la psychée des gamins occidentaux par des hommes blancs en uniforme noir dirigés par Adolf Hitler tandis que les juifs sont institués comme des semi-divinités inaccessibles au mal.

La propagande juive répète, chaque jour, que ces monstres peuvent ressurgir à tout moment si le juif est contrarié d’une façon ou d’une autre. La peur terreur inculquée dans l’inconscient durant l’enfance de ceux qui y ont été exposés se réactive, c’est alors que les juifs se tiennent prêts pour leur donner la liste exacte des ordres à suivre pour conjurer la matérialisation de cette menace.

Le traumatisme de masse sur lequel est édifié cette reprogrammation juive des esprits blancs plonge celui qui rencontre le moindre élément contradictoire dans un état de stress intense.

Exactement comme ces censeurs de Facebook.

Les juifs savent pertinemment que seule la terreur peut réellement empêcher quelqu’un de se distancier des mensonges hébraïques suite à une exposition à la vérité.

La terreur est à l’épicentre de ce système d’oppression psychologique de masse.

C’est pourquoi la priorité numéro 1 de la juiverie internationale est désormais de contrôler totalement l’internet en Occident.

Car ces sales goyim ne doivent pas savoir que cette terreur repose sur une illusion et que le juif, une fois cette illusion dissipée, n’est qu’un avorton impuissant.

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