Les globalistes se mettent d’accord sur la femme blanche écolo-marxiste qui succèdera à Merkel

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 avril 2021

 

Maman Merkel est sur le départ en Allemagne.

Son peuple est triste.

Ils ne seront pas tristes longtemps.

En septembre prochain, le pays sera dirigé par un nouveau chancelier qui sera en fait, sauf accident, une chancelière d’extrême-gauche venue des Verts – une formation politique qui veut imposer le communisme à cause de la température de l’air.

Cette femme sera un tout petit peu plus à gauche qu’Angela Merkel qui était pourtant tenue pour une rouge radicale par ses collègues de l’université Karl Marx de Leipzig.

Merkel avait été recyclée au sein de la CDU est-allemande – l’équivalent des LR en France – par un type, ami de son père, qui sera plus tard démasqué comme un agent de la Stasi : Lothar de Maizière. La « droite chrétienne » d’Allemagne de l’Est était en fait depuis longtemps totalement contrôlée par les services de renseignements bolcheviques. Le père de Merkel, un pseudo pasteur protestant, était si extrémiste que même en Allemagne de l’Est, il était surnommé « le Rouge ».

Le fait intéressant dans cette transition est que deux hommes s’affrontaient pour succéder à Merkel à la tête de ce parti :  le très impopulaire centriste Armin Laschet et le très populaire président de Bavière Markus Söder.

Si la CDU choisissait Söder, elle était donnée à 38% dans les sondages : un record. Avec le tocard Laschet, elle était donnée à 27%.

Söder était partisan d’un très gros virage à droite, notamment pour contenir l’AfD qui a fortement progressé en Bavière.

Plutôt que de choisir ce candidat ultra-populaire avec le plus de chances de succès, la CDU, qui n’est qu’une vitrine de la CIA en Allemagne, a sciemment choisi le tocard Laschet pour s’assurer que Merkel bis l’emporte : Annalena Baerbock.

Les résultats dans les sondages ont été immédiats : le tocard fait plonger la CDU à 21% dans les sondages tandis que la candidate écolo-marxiste s’envole à 28%.

C’est ainsi que fonctionne la démocratie allemande. Les juifs peuvent bricoler n’importe quoi avec des tas de partis.

Parmi les objectifs des extrémistes verts soutenus par les saboteurs atlantistes de la CDU figure la suspension du gazoduc germano-russe Nord Stream 2 que les juifs de Washington veulent neutraliser pour continuer de toucher des milliards de dollars de taxes qu’ils perçoivent sur les gazoducs ukrainiens.

Dans l’absolu, cette décision des oligarques globalistes de la CDU de saborder leur propre parti pour mettre en place le Great Reset voulu par le parti de Davos que sont les Verts est une bonne nouvelle : tous les électeurs déçus se précipiteront vers l’AfD.

Ce qui est très positif car l’AfD vient d’adopter un programme nouveau qui fait de la sortie de l’UE la priorité, avec la fin de l’immigration de masse et la fin de la dictature sanitaire.

Le journal juif Le Monde s’en plaignait longuement l’autre jour.

Le Monde :

Premier point : la sortie de l’Allemagne de l’Union européenne (UE). Jusque-là, celle-ci n’était présentée que comme une « option ». Mais l’aile radicale du parti a imposé ses vues, et mis en minorité le président du parti, l’eurodéputé Jörg Meuthen, partisan de réformer les institutions existantes en se rapprochant d’autres partis européens. A l’instar du Fidesz du premier ministre hongrois Viktor Orban, en qui le chef de l’AfD voit un potentiel allié depuis sa rupture avec le Parti populaire européen (PPE).

Deuxième proposition-clé : l’interdiction de tout regroupement familial pour les réfugiés. S’agissant du « secours humanitaire », l’AfD n’envisage de l’accorder qu’à des personnes « sélectionnées pour leur bagage culturel et religieux compatible avec le système de valeurs de la société allemande ». Dans le même ordre d’idées, le parti d’extrême droite réclame des contrôles systématiques aux frontières de l’Allemagne, allant jusqu’à la mise en place de « barrières physiques ».

Depuis le début de l’épidémie de Covid-19, l’AfD est la seule formation représentée au Bundestag qui s’oppose frontalement aux restrictions, jusqu’à dénoncer la mise en place d’une « coronadictature », selon les mots de son président d’honneur, Alexander Gauland. Dans leur programme, les 600 délégués du parti ont fait inscrire : « Nous nous opposons à l’obligation de porter le masque. »

C’est encore très insuffisant mais c’est un très bon début.

Notez d’ailleurs qu’en comparaison, Marine Le Pen est une ultra de la dictature sanitaire.

Il sera toujours possible de discuter ultérieurement de la purification ethnique de l’Allemagne et de l’abolition de la démocratie juive.

En attendant, nous allons avoir une Allemagne gouvernée par une version de Merkel encore plus radicale dont la politique se résumera à deux objectifs : la bolchevisation verte de l’économie allemande et l’importation encore plus massive de barbares musulmans pour remplacer les Allemands. Avec une troisième option : déclencher une guerre contre la Russie pour organiser une parade d’homosexuels et de travestis dans les rues de Moscou.

Il est également possible qu’elle fasse pression sur Macron pour qu’il lui cède quelques millions de nègres prélevés sur nos propres stocks stratégiques. Si c’est le cas, je sais que Marine Le Pen déclenchera une très violente campagne anti-allemande sur le thème « Pas touche à ma francophonie, sale boche ! ».

Ce qui est sûr, c’est que l’Union Européenne ne survivra pas à cette femme Baerbock manipulée par les juifs de Washington.

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