Les flics procèdent à des arrestations politiques de masse

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 décembre 2018

Comme je l’ai expliqué hier, la mobilisation de samedi a été une victoire globale en dépit du succès tactique des flics sur les Champs-Elysées.

Ce que les gens découvrent maintenant, c’est comment et à quel prix ce succès tactique a été obtenu. En résumé : en arrêtant des milliers de gens partout, sans autre motif que de s’opposer au gouvernement.

Le Parisien :

Éric, 45 ans, mécanicien dans l’industrie, avait fait le déplacement avec sa femme et son fils depuis l’Alsace pour manifester à Paris. Interpellés à leur arrivée, il dénonce une garde à vue abusive.

Samedi, ils étaient encore nombreux à manifester à Paris pour l’acte 4 de la mobilisation des Gilets jaunes. Une journée, une nouvelle fois émaillée de violences dans Paris notamment, et qui a donné lieu à près de 2 000 interpellations dont plus de 1 700 gardes à vue à travers toute la France, selon les derniers chiffres du ministère de l’Intérieur, donnés dimanche matin. Parmi eux, Éric*, mécanicien dans l’industrie, est venu d’Alsace pour manifester. Il a été placé en garde à vue avec sa femme et son fils pendant 14 heures avant d’être relâché. En colère, il témoigne pour Le Parisien.

« Je suis écœuré : on nous a empêchés de manifester. Cela conforte ce que je pense depuis un bout de temps : il n’y a pas de réelle liberté d’expression en France. Ce qui s’est passé samedi, c’est digne de la Corée du Nord ou de la Russie.

Je tiens à corriger ici : la Corée du Nord est beaucoup plus libre que la France parce qu’elle n’est pas aux mains des juifs.

Nous venions de nous garer, rue de la Bienfaisance, à Paris dans le VIIIe arrondissement. Nous étions à 200 m de la voiture quand les gendarmes nous sont tombés dessus. Ils nous ont collés contre le mur, fouillés et nous ont demandé notre carte identité que nous avons fournie. Nous n’avions rien de compromettant sur nous. Ils ont exigé que nous ouvrions notre coffre de voiture. À l’intérieur, il y avait trois masques de peintre encore dans leur emballage, et des lunettes de protection. On les avait laissés dans la voiture, car durant le trajet, on avait appris par la radio que c’était interdit.

Les gendarmes nous ont parlé d’armes de première catégorie et nous ont placés en garde à vue pour participation à un attroupement en vue de commettre un délit ou un crime. Ils nous ont conduits dans une rue perpendiculaire où nous sommes restés alignés face à un mur avec une dizaine d’autres manifestants durant plus de deux heures. Après nous avons été conduits en fourgon cellulaire au commissariat du XIIIe arrondissement et placés en cellule.

J’étais avec mon fils, mais ma femme était seule. Elle est encore très choquée, elle ne s’était jamais retrouvée en garde à vue. Elle est agent de production. Heureusement qu’un ami nous a trouvé un avocat, sans lui, je pense que nous serions encore en garde à vue. Nous étions une vingtaine dans une cellule qui était faîte pour en accueillir moitié moins. Des manifestants pacifistes comme nous. L’un d’entre nous a été interpellé avec un casque alors qu’il venait de cadenasser sa moto, un autre a été arrêté sans raison alors qu’il avait sur lui une pièce d’identité et 100 euros. Nous avons été libérés à 22 heures, avec un rappel à la loi. Moi, j’ai refusé de signer la procédure.

Ce rappel à la loi consiste donc à signifier aux Français qu’ils n’ont pas le droit de défier le gouvernement de cette république juive en manifestant pacifiquement.

C’est une honte. Quelle image mon fils va avoir désormais de la police, de la justice. J’ai été Casque bleu lors de la guerre en ex-Yougoslavie. Jamais je n’ai vu l’armée se comporter avec les populations comme les forces de l’ordre, ce samedi. Cela ne nous empêchera pas de revenir, nous ne lâcherons pas, nous irons jusqu’au bout. Le système est pourri, on méprise les petites gens. Nous travaillons pour rien. Heureusement nous sommes frontaliers du Luxembourg et de l’Allemagne. Nous allons à la pompe au Luxembourg et faire nos courses en Allemagne. Pour deux cents euros, nous avons le double dans le caddie, comment vous expliquez cela ? »

Nouvelle correction : les Français travaillent pour Goldman Sachs, Soros ou Rothschild.

Et ils doivent rester dociles.

Cette république se judéo-bolchevise à marche forcée comme nous l’avons répété sans cesse ici depuis plus d’un an.

Maintenant, pour mater le peuple, avoir un gilet jaune en sa possession – comme la loi y oblige pour les propriétaires de véhicules – suffit pour être traîné devant le tribunal rabbinique.

Tout cela est parfaitement assumé.

Vu la coloration ethnique de (((France Info))), ce silence est logique.

Dès vendredi, des rafles ont eu lieu partout en France pour empêcher les gens de rejoindre la manifestation parisienne.

Les opérations de la police contre les Français se poursuivent d’ailleurs encore à cette heure.

Sans parler bien sûr des tirs des CRS dans la tête des Gilets Jaunes.

Ces CRS ont choisi leur camp : celui du régime.

Quand cette république juive sera tombée, il faudra lancer une vaste purge de la police. Notamment en extirpant de son sein tous les éléments de la maçonnerie.

Pendant ce temps-là, Castaner cherche à rassurer sa base.

Les métèques donc.

Si vous suivez les réseaux sociaux, vous réalisez que le coût politique est énorme pour Macron.