Les flics mendient du blé auprès des juifs pour avoir « empêché l’Elysée de brûler »

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 décembre 2018

Les flics offrent une nouvelle fois un pitoyable spectacle.

Ils se sont rendus auprès de leurs maîtres pour leur signifier que, sans eux, la république judéo-financière se serait déjà écroulée depuis plusieurs semaines.

Ils ont été rémunérés en crachats.

Ha !

Effectivement, cette république doit avoir un recours permanent et massif aux flics pour tenir en respect le peuple.

20 Minutes :

Lancé lundi par Alliance, rejoint depuis par Unité, le mot d’ordre « fermons les commissariats » est maintenu pour mercredi. Les discussions entre le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner et les syndicats policiers qui réclament de meilleures conditions de vie et de travail dans le sillage de la mobilisation des « gilets jaunes » ont été suspendues mardi soir et reprendront donc le lendemain, ont annoncé les seconds.

« Il n’y a pas de rupture. Il y a poursuite des discussions avec interruption car le ministre doit demander des arbitrages sur nos propositions », a déclaré Jean-Claude Delage, secrétaire général du syndicat Alliance, à l’issue de trois heures de réunion place Beauvau avec Christophe Castaner, le secrétaire d’Etat à l’Intérieur, Laurent Nuñez, et deux autres syndicats, Unité et Unsa-Police.

« Nous appelons tous les policiers, adhérents, sympathisants et non-syndiqués à se joindre au mouvement initié par Alliance demain matin. Il faut maintenir la pression », a déclaré Yves Lefebvre, secrétaire général d’Unité. « Il n’y a rien de concret pour l’instant. il y a un ministre qui a été à l’écoute ce soir et qui s’est engagé à obtenir des arbitrages dans la nuit », a-t-il ajouté. L’Unsa-Police maintient elle aussi son mouvement « service minimum – 100 % prévention » entamé dès mardi.

Confronté à sa première crise interne dans ce ministère, Christophe Castaner avait affirmé plus tôt dans la journée vouloir ouvrir le chantier des heures supplémentaires dans la police, qui représentent une dette de quelque 275 millions d’euros. Le gouvernement, par le biais d’un amendement au projet de budget 2019, prévoit également une prime exceptionnelle de 300 euros pour les 111.000 policiers et gendarmes mobilisés pendant la crise des « gilets jaunes » qui dure depuis plus d’un mois. Le principe de cette prime avait été annoncée par le chef de l’Etat, le 3 décembre.

Les syndicats policiers réclament des « avancées sociales » et un « retour sur investissement » pour récompenser leur mobilisation lors des manifestations de ces dernières semaines.

Bref, ces syndicats profitent simplement de la mise en difficulté de Macron pour lui soutirer le cash qu’il refuse de leur donner depuis des mois.

Ils ne cachent même pas leur fonction de garde prétorienne du régime, bien au contraire.

Ils appellent ça « défendre la république ».

Macron va rapidement trouver une ligne de crédit. Sans les flics, ce régime finira par tomber.