Les djihadistes appellent à éradiquer Zemmour et les « sionistes » au pied de Canal+

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 novembre 2019

Nous sommes à deux doigts d’assister à de véritables scènes de pogrom en France.

Je ne sais pas si vous avez suivi mais les djihadistes et l’extrême-gauche manifestaient ensemble samedi devant Canal+ pour exiger le gazage immédiat d’Eric Zemmour.

Je dois dire qu’il devient difficile de distinguer certaines zones de France avec les zones sous administration djihadiste de Syrie ou d’Afghanistan.

Tous ces gens identifient Zemmour à Israël.

Pour eux, c’est la même chose.

Tout y passe : les sionistes, SOS Racisme, etc..

Quand bien même les juifs ne soutiennent pas Zemmour dans ses sorties les plus anti-islam, les réactions des maghrébins les pétrifient.

Les juifs connaissent très bien leurs frères de race arabo-musulmans. Ils savent à quel point ils sont émotionnellement volatiles.

Les arabes ne sont pas exactement ce que l’on peut appeler des acteurs rationnels. Quand une situation devient trop stressante, leur réflexe consiste à tuer des gens au couteau pour évacuer la frustration.

J’insiste sur ce point : au couteau.

Le couteau est probablement l’élément le plus important de la culture islamique. On peut dire que l’islam est intégralement construit sur cet instrument archaïque.

Je vais vous expliquer comment ça marche.

Le père ou le grand-père achète un petit agneau et le donne au tout jeune garçon de la famille. Le gamin crée un lien d’amitié très fort avec le petit animal, comme avec un petit chien.

Et puis, un jour, lors de l’Aïd, le gosse arabe reçoit l’ordre formel de l’égorger au nom d’Allah. Il n’y a pas moyen de se défausser sauf à insulter Allah, être maudit et renier sa famille et son père.

C’est une véritable épreuve psychologique qui marque à vie le gosse qui conservera toujours la vision du couteau et de ses mains ensanglantés avec son petit agneau égorgé à ses pieds.

Et puis, ensuite, il faut le dévorer. En famille.

Imaginez que vos parents vous donne un chiot avant de vous demander, quelques mois plus tard, de l’égorger et de le manger en famille.

Et bien, c’est ce que l’on appelle l’islam.

Soit le gosse le vit mal, soit il le vit au contraire très bien. S’il le vit très bien, il sera un très bon musulman et pourra faire un moudjahidine, un égorgeur d’Allah qui alignera les têtes d’infidèles, éprouvant un puissant sentiment de satisfaction à la vue du sang d’infidèle coulant à flots sur le sol.

Ce rite initiatique constitue tout ce qu’il y a à savoir de l’islam et des musulmans.

C’est le seul héritage de 13 siècles d’histoire islamique.

Une religion qui consiste à saigner son gosse au couteau n’est pas vraiment une religion de gens pacifiques ni rationnels, n’est-ce pas ?

La question n’est donc pas de savoir si un arabe vous plantera une lame de 30 centimètres dans le dos mais quand. Cela peut prendre 40 ans ou trois jours, selon les circonstances.

Et surtout selon les ordres de l’imam.

Si par extraordinaire vous êtes vraiment très ami avec un arabe, l’arabe sera un peu malheureux de devoir vous planter et il essaiera de ne pas trop vous faire souffrir. Pour un arabe, sadique par nature, ne pas faire souffrir sa victime est la plus grande preuve de charité qu’il puisse donner.

C’est comme de se priver de chocapics pour vous en laisser, en somme.

C’est le maximum de ce que vous pouvez espérer d’un de ces sémites d’Allah.

Dans la tête de l’arabe, la lame est prête, toujours prête à égorger l’infidèle. C’est une pensée qui traîne toujours dans un coin de sa cervelle.

Poser une lame sur une table devant le nez d’un arabe et regardez sa réaction. Vous verrez à quel point cet objet exerce sur son cerveau un irrésistible pouvoir d’attraction. Ce n’est pas l’arabe qui prend le contrôle du couteau mais bien le couteau qui prend le contrôle de l’arabe.

Les juifs connaissent parfaitement ce que je viens de vous expliquer. En premier lieu parce qu’Abraham, l’égorgeur de mouton, est leur propre père. Ensuite, parce qu’ils ont l’habitude de devoir gérer les accès de sauvagerie islamique en Orient.

Un accès de sauvagerie mahométane se traite d’une seule façon : par une répression 100 fois plus sauvage.

L’arabe retourne tabasser Fatima et vous n’en entendez plus parler pour les six prochains mois avant que ses nerfs ne se remettent à le travailler.

Les juifs ne se font aucune illusion à propos des leurs frères sémites mais ils savent que le potentiel de cette violence est limité de par son caractère irrationnel et impulsif.

Mais nos juifs, en France, ont un peu perdu l’habitude des pogroms et des flambées de violence de rue caractéristiques du monde arabo-musulman et cette manifestation au pied de Canal+ préfigure la suite.

Évidemment, pour nous, Aryens, plus ces gens se dévorent entre eux, mieux ça vaut.

Pousser juifs et mahométans à s’affronter est la meilleure façon d’anéantir le sémitisme en France et d’exploiter la brèche.