Les commissaires politiques juifs annoncent la mise en place d’un outil de surveillance mondial

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
29 janvier 2018

Les choses se précisent.

Jforum :

Naftali Bennett, ministre israélien des Affaires de la Diaspora, a dévoilé jeudi un nouvel outil développé par le gouvernement israélien au cours de l’année écoulée, capable de fournir des données et des analyses en temps réel sur l’antisémitisme en ligne.

“Braquer un projecteur sur leurs agissements est le meilleur désinfectant. À partir d’aujourd’hui, tous les antisémites en ligne doivent savoir qu’il sont repérés et que la haine qu’ils diffusent est connue et qu’ils en seront tenus pour responsables et devront en répondre”, a déclaré Bennett.

“Il est temps de mettre nos ennemis devant un miroir et de montrer au monde le visage hideux de l’antisémite moderne. Celui qui tweete des croix gammées au lieu de les marquer dans la rue, sera pris sur le fait. A partir de maintenant, nous saurons qui sont les principaux antisémites et quand et où ils agissent et ils seront traités comme tels », a-t-il ajouté.

Le système, appelé Système de surveillance du cyber-antisémitisme (ACMS), qui a été développé avec le ministère israélien de la Défense, fournit des cartes interactives en temps réel montrant l’activité antisémite. Il peut disséquer et afficher les informations en fonction de plusieurs facteurs, y compris la géographie, la langue, la date et plus encore.

Le programme de ce petit bijou d’’intelligence artificielle, peut reconnaître des mots-clés et des modèles, tout en analysant le texte contextuel dans lequel ils ont été écrits. L’ACMS utilise la définition en usage de l’antisémitisme adoptée par l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste et surveille les publications en anglais, français, allemand et arabe.

Au cours d’un projet pilote d’un mois, 409 000 messages et tweets antisémites, écrits par quelque 30 000 personnes, ont été suivis et analysés. Le système a révélé que les trois villes les plus antisémites étaient Santiago (Chili), Denipro (Ukraine) et Bucarest (Roumanie), tandis que Paris et Londres étaient identifiées comme les villes les plus antisémites d’Europe occidentale. Le système a trouvé une légère hausse dans l’antisémitisme en ligne suite à la reconnaissance par le président Donald Trump de Jérusalem comme capitale d’Israël le 6 décembre.

“L’antisémitisme n’a pas disparu, il a changé de forme et il s’est déplacé de la rue à la toile. Surtout pendant la semaine commémorant la Journée internationale du souvenir de l’Holocauste, nous devons mettre en lumière les lieux d’où nait puis se propage l’antisémitisme, au nom de la responsabilité et de la solidarité des Juifs les uns envers les autres “, a déclaré Bennett.

Nous parlons ici d’une politique d’état qui consiste à s’ingérer, au niveau mondial, dans les affaires intérieures de tous les pays afin de persécuter ceux qui regardent d’un peu trop près ce que trament les juifs.

Dans le reportage suivant, il est dit qu’une fois « identifiés », les « antisémites » doivent être livrés en pâture aux gouvernements qui collaborent avec les juifs.

Je suis absolument convaincu que si les juifs le pouvaient, ils mettraient en place une police politique mondiale en charge de faire extrader vers leur colonie juive tous ceux qui peuvent opposer une forme de résistance. Dans les pays musulmans, c’est peine perdue à ce stade. Il en va très différemment des démocraties occidentales.

La solution actuelle, qui consiste à utiliser des collaborateurs locaux, est une solution intermédiaire.

Lorsqu’ils prirent le pouvoir en Russie, en octobre 1918, ils interdisèrent immédiatement toute manifestation « d’antisémitisme », rendant de fait toute critique du nouveau système.

Si vous étudiez brièvement l’activité de la juiverie mondiale, vous découvrirez qu’elle est dans un état de guerre permanent quoique non déclaré. Chaque jour, partout sur la planète, ses organisations écrans lancent des assauts contre des gouvernements, des personnalités, des groupes politiques, etc.

Ils attaquent, indifféremment, Corbyn, le chef de la gauche anglaise, la Pologne, désormais désignée comme responsable de « l’holocauste », la France, pour faire disparaître Maurras de commémorations, un club de foot italien pour un obscur autocollant, etc. Ceci, pour les seules dernières 48 heures.